Finalement : ce soir au Canton (www.maslecanton.com et non l'adresse que j'avais mise dans le message).
A la demande générale de Sarkoprout, je vais former Luc au blogage...
Demain : Cavalaire.
La connerie étant le seul chemin susceptible de nous faire entrevoir une parcelle de vérité, utilisons la par des moyens de communication efficaces. Le temps qu'on remplisse nos verres.
17 août 2006
09 août 2006
Demandez le programme !
Pour ma première fois de ma vie, je planifie à l’avance des vacances. Faut dire que, comme un con, je prévoie d’aller passe le week end du 15 août près de Lourdes !
Le hasard du calendrier.
Alors, pour ceux que ça intéresse (et pour me rappeler si j’oublie) :
Le hasard du calendrier.
Alors, pour ceux que ça intéresse (et pour me rappeler si j’oublie) :
- Ce soir : Bordeaux (je vais me faire inviter par mon pote Jeff).
- Le 11 : Tarbes (une envie subite de Pyrénées… ça fait 12 ans !)
- Le 15 : Millau (ben oui… je ne peux quand même pas passer des vacances sans voir le Pont, les Causses et les Cévennes !)
- Le 17 : passage par le canton (www.lecanton.fr)
- Le 17 au soir : Nimes (connais pas…)
- Le 19 : Cavalaire chez Michel et Régine pour une petite semaine
- Vers le 24 retour à Paris (le 25, il faut que j’achète une cave à vin).
Et hop ! 3000 km...
Ca sent un retour sur le blog vers le 24 !
07 août 2006
06 août 2006
Brian on the blog

Nous, adultes responsables, avons rapidement mis un arrêt brutal à cette agression en règle et cette perversion de mineur.
Je dis ça pour faire sérieux dans le blog, en fait ça nous faisait bien rigoler d’autant que les parents de ces lurons hirsutes étaient occupés à de nobles tâches et qu’il ne restait plus que notre bande de quadragénaires à tenir la buvette pendant que les anciens roulaient sur la piste.
On y a mis absolument aucun arrêt. Ni encouragement, ça aurait été superflu. Juste un benoît ricanement. A propos de Benoît, le cousin des autres lascars, je me demande s’il n’est pas un peu un coupable aussi celui-là.
Ca nous a surtout fait rigoler parce que Brian après avoir déposé une couche d’engrais sur les rosiers (d’après l’expression et la rumeur réunies, il n’y avait en fait aucun rosier) a vite compris que, je cite : bah, l’alcool, faut être con pour se mettre dans des états pareils. Du coup, c’est le grand frère qui s’est retrouvé bêtement assez rapidement avec un QI rapprochant assez bien celui d’un lapin de six semaines ou d'un illustre habitant du Goëzeux en ayant lui-même trop consommé de boissons gazeuses parfumées au houblon.
Je disais donc que les parents étaient occupés à de nobles tâches. Je parle pour la mère, Jocelyne, le père, Yann, étant occupé à surveiller de près les capacités du frigo à faire redescendre le rosé à une température buvable.
Je dis ça pour faire joli : il était en fait bêtement occupé à prendre des photos avec son appareil numérique ce qui n'est pas spécialement original. Moi, au moins j’ai une noblesse dans l'usage de mon appareil photo : chercher des expressions cocasses à diffuser sur le blog. Ce coup-ci j’ai fait la moisson, c’est dommage que je sois en vacances.
J'ai donc menti sur l'activité de Yann, comme je vais mentir sur les voitures des anciens ci-dessous, tout comme je reconte des bêtises sur l'état de certains dans ce billet. C'est pour rigoler.
Il faut néanmoins savoir que Jocelyne et Yann n’étaient pas les seuls organisateurs de cette sauterie à avoir des enfants sympathisant avec des boissons d’une belle couleur blonde généralement servies à la pression. A titre d’exemple, je cite Bruno, qui, à la fin de la soirée a réprimandé son jeune fils : « Arrête – hic – de – hips – boire ! ».
Le jeune fils en question, j’ignore totalement quel âge il a, mais la dernière fois que je l’avais vu, il n’était pas bien vieux. C’était à l’occasion des 40 ans du sus-nommé Bruno, de la sus-nommée Jocelyne, ce n’est pas grave s’il y a beaucoup de sus-nommés aujourd’hui, de Mimi, également mère d’un jeune sus-cité, puisque quelques années auparavant elle était spécialement chargée de la finition des enfants de Bruno et de Michel. Non ! Pas des enfants de Michel. Michel était le quatrième individu à fêter ses 40 ans.
C’était il y a dix ans.
Et nous étions donc réunis, hier, pour fêter les cinquante ans de ces quatre associés, auxquelles s’étaient joints Anita et Jean-François, eux-aussi béats quinquagénaires, ce qui est une preuve irréfutable du vieillissement de la population : il y a plus de quinquagénaires maintenant que de quadragénaires il y a dix ans.
A noter que pour le prénom d’Anita, je ne suis plus trop sûr, c’est la première fois que je rencontrais cette charmante personne et, sur la centaine de personnes présentes, je n’ai pas pu retenir le prénom de toutes !
Déjà, à l’issue de cet interminable préambule, nous avons compris pourquoi Anita, Jocelyne, Mimi, Bruno, Jean-François et Michel ont indiqué sur les cartons d’invitation que les enfants n’étaient pas les bienvenus pour des raisons de sécurité. C’est parce qu’ils avaient assez à faire à surveiller leur propre descendance. Moi qui croyais que c’était pour avoir la paix !
Au cours de ce long préambule, nous avons aussi noté le vieillissement des enfants. Quitte à vous inquiéter : il n’y a pas que les enfants qui vieillissent.
Sur les cent participants (un peu moins en fait), il y a avait une dizaine de « jeunes » (les rejetons des organisateurs, leurs cousins, copains et autres), quelques « à peu près quadragénaires » (je vais compter : Soizic, Dédé, Gilles, Laurent, Patrick, Philippe, Rémi et moi). Il reste donc environ soixante-dix gugusses entre cinquante et soixante balais.
C’est mathématique.
Soixante-dix gugusses qui, pour la plupart, font la fête ensemble depuis plus de trente ans, et s’imaginent qu’ils n’ont pas changé, ce qui est en partie vraie, notamment pour l’aspect festif !Pour le reste, la toison s’est raréfiée et a blanchi pour ce qui n'ont pas découvert les vertues du héné… Ils ont troqué la Simca 1000 par des Zopel Zafira, …
Mais c’est très difficile de constater le vieillissement de gens que l’ont croise au quotidien. Attachons-nous alors à l’observation de gens qu’on ne connaît pas : les nouveaux conjoints des membres de la meute, les nouveaux copains, collègues de bureaux, … et tous ceux qu’on a oublié (on ne voit certains que tous les dix ans).
Eh bien ! A une fête, je n’avais pas encore vu autant de monde que je ne savais pas si je pouvais les tutoyer par sympathie ou si je devais les vouvoyer par respect pour leur âge !
Ce qui n’empêche pas… Vivement les soixante ans ! Des fêtes comme ça, ça s’attend avec impatience !
Merci Anita, Jocelyne, Mimi, Bruno, Jean-François et Michel !
P.S. : Pour les soixante ans, le couchage sous tente me paraîtrait assez peu recommandé, sauf pour les futurs quinquagénaires et vos enfants et petits enfants (ben oui, on y vient). Pour le menu, il serait sage de choisir une soupe en entrée, suivie d’un hachis Parmentier et d’une mousse au chocolat.
Merci Anita, Jocelyne, Mimi, Bruno, Jean-François et Michel !
P.S. : Pour les soixante ans, le couchage sous tente me paraîtrait assez peu recommandé, sauf pour les futurs quinquagénaires et vos enfants et petits enfants (ben oui, on y vient). Pour le menu, il serait sage de choisir une soupe en entrée, suivie d’un hachis Parmentier et d’une mousse au chocolat.

04 août 2006
Némo
01 août 2006
Le chat
Dans un précédent billet, je vous renseignais sur l'état de santé du beauf qui s'est fracturé le tibia et les Pyrénées, et il va falloir que j'ouvre un dictionnaire pour savoir comment s'écrit péroné atlantique.
Malgré ma réputation d'odieux pince sans rire, j'ai été pris d'une crise de fou rire à midi à la Comète. Le chat du beauf a décidé jovialement de sauter du quatrième étage en la présence de la copine qui assurait l'intérim...
Le chat s'est cassé la jambe. Et le voila dans une clinique vétérinaire.
Un partout.
Malgré ma réputation d'odieux pince sans rire, j'ai été pris d'une crise de fou rire à midi à la Comète. Le chat du beauf a décidé jovialement de sauter du quatrième étage en la présence de la copine qui assurait l'intérim...
Le chat s'est cassé la jambe. Et le voila dans une clinique vétérinaire.
Un partout.
29 juillet 2006

Je vais retourner le steak et je reviens. Ca y est.
Je vais quand même me limiter à la semaine, faut pas abuser.
Et encore, cette semaine, je n’étais pas là, mais il s’est quand même passé un truc qui mérite d’être raconté sur le blog : Monsieur Jean a perdu son téléphone portable. Ca ne s’invente pas. Lui, au demeurant très sérieux a perdu son téléphone, à un tel point que dorénavant on l’appelle Jacques, par référence au vieux Jacques, ce que je précise pour les lecteurs qui ne sont pas habitués à ce blog. Pendant l’orage, il s’est penché pour déboucher l’évacuation de flotte de son bistro et son téléphone est tombé de sa poche.
Passionnant non !
Avant maintenant de raconter ce week-end, je vais raconter un événement du week-end dernier. Franck, dit le beauf, rapport à ce qu’il est le beau-frère de son beauf, jouait avec Jim, déjà connu pour son œil dans le présent blog et son fils. Pas le fils au beauf, celui à Jim. Le ballon de foot est parti sur le balcon du voisin. Le beauf a escaladé le balcon en question pour le récupérer. En descendant, il a glissé ! Fracture du tibia et des Pyrénées si j’ai bien compris, mais vous savez, moi, la géographie…
Suivez bien, la fracture sociale est importante pour la compréhension de la suite.
Le beauf, c’est le type qui est sur la photo en haut à droite.
J’en reviens à moi-même, qui, au soir d’une passionnante journée de travail, hier, me retrouve en vacances après une année de dure labeur à gagner beaucoup de sous en faisant croire à mon patron et à mes clients que je suis exceptionnel.
Je me dis : « tiens ! Allons fêter ça avec les amis ». C’est exceptionnel : normalement je vais au bistro par réflexe, là c’était par réflexion.
Je débarque donc chez Abdel, non aimable patron de l’aéro. Le grand Jean-Claude (2 mètres, 130 kilos) était saoul comme une vache. Faut dire que la dernière fois que je l’avais vu, c’était à la Comète le matin en allant au boulot, il buvait déjà des bières.
Ne supportant pas les ivrognes quand je suis moi-même à jeun, je m’en vais. Le paragraphe suivant, c’est Loïc qui me l’a raconté. Je vais essayé d’être court.
Abdel vire Jean Claude qui s’en va à l’Amandine qui va fermer. Abdel n’a plus de monnaie et envoie le gros Loïc en chercher chez XXX, un autre bistro, que je ne peux pas nommer. Le gros Loïc va chez XXX et voilà Christophe, notre gros con de la commune, qui est sorti il y a quelques temps de prison où il était rentré après avoir frappé sa femme et sa fille de 9 ans. La RATP en a profité pour le licencier. Faut le faire. Tout le monde s’engueule dans le bistro et le Christophe en vient à traiter un client, d’origine nord africaine de fils de pute, ce qui est mal apprécié dans ces pays là. Ce gars sort en invitant le Christophe le rejoindre, mais il refuse. Cela dit, le patron ayant vu Christophe foutre la m… dans son bistro le vire. L’autre l’attendait dehors et lui a donné une raclé mémorable. Christophe appelle donc la police. Je vous ai dit qu’il était con. Dans l’intervalle, Loïc remonte chez Abdel avec la monnaie, mais en chemin, tombe sur Jean Claude qui titubait sur le trottoir et qui l’invite à boire un coup chez XXX. Vous me suivez toujours ? Loïc accepte, mais en fin limier des bistros boit son coup vite fait et abandonne Jean Claude. A ce moment, la BAC (Brigade Anti Criminalité) débarque suite à l’appel de Christophe et commence à faire son boulot dans le bistro. Un beau bordel. Il n’y en a qu’un qui a fini la nuit au poste : le Christophe.
Je raconte ça, c’est juste pour ceux que ça intéresse.
Pendant ce temps, j’étais en face, chez Jean à la Comète. Essayez de suivre : Jean, celui qui a perdu son portable dans les égouts. On arrosait mes vacances paisibles avec quelques individus dont Djibril, le vieux Jacques et Tonnegrande.
On se met d’accord pour se retrouver demain à 11 heures à l’Amandine pour aller voir le beauf à l’hosto.
Passons maintenant à la narration du samedi matin.
On se retrouve à 11 heures. Djibril n’est pas là. Jacques fait la gueule (c’est rituel). On va donc à l’hôpital avec Tonnegrande. En passant, on se demande ce qu’on pourrait ramener au beauf pour lui faire plaisir. On hésite. Des fleurs ? Non, le beauf n’est pas assez poète. Un livre ? Non, c’est écrit avec des lettres. Et voila comment, mesdames, messieurs, je me suis retrouvé à acheté des bouquins de cul avec un grand black ce matin. Si vous nous avez croisé, vous avec peut-être eu des pensées dégueulasses ! Non. C’est vous qui l’êtes, pas Tonnegrande et moi.
On arrive à l’hôpital. Je dois préciser que l’hôpital de Bicêtre est très grand. On trouve le bâtiment où est le beauf. On entre, on se rapproche des ascenseurs, et un d’eux s’ouvre brusquement. Qui en sort ? Le vieux Jacques ! Qui faisait la gueule et qui nous avait dit qu’il ne voulait pas venir. Sans doute parce qu’il aurait honte d’aller acheter des bouquins de cul avec nous.
On va voir le beauf, on discute le bout de gras. Tout d’un coup, son voisin de chambre se lève pour aller fumer une cigarette. Je dis « se lève » c’est une image. Il s’assoit dans une chaise roulante. Il aurait eu du mal à se lever, le pauvre, il lui manquait la moitié d’une jambe. C’est ce que je n’aime pas dans les hôpitaux, les gens que l’on croise sont rarement bien portants. J’en suis resté sur le cul ! Lui aussi d’ailleurs.
Le diabète nous apprend le beauf.
Bon ! On y va !
On part de l’hôpital avec Tonnegrande et le vieux Jacques, et rassurez vous, j’ai bientôt fini, … Mais ceux qui connaissent notre petit monde se feront une joie d’apprendre la suite.
Jacques, qui, pour nous doubler, était venu en voiture, appuie sur le bouton « moins un » de l’ascenseur. Tonnegrande et moi, on ne réfléchit pas, on se dit « le vieux a garé sa voiture dans le parking au sous-sol ». On arrive donc dans le sous-sol en question et on suit Jacques bêtement. Il nous fait traverser le parking, puis un ou deux couloirs… On se moque de lui : « il a perdu sa voiture, nananère ! ». Il nous indique que non ! il est garé dehors et nous engueule parce qu’on l’a fait sortir par le parking…
On arrive à trouver la sortie du parking. La voiture n’est pas là. On commence à chercher. Catastrophe. Je connais un peu l’hôpital (tiens ! si vous n’avez rien à faire pendant les journées du patrimoine…). Je fais expliquer à Jacques ce qu’il a fait en rentrant dans l’hôpital. Il m’a dit, j’ai pris à gauche, j’ai pris une grande descente, et je me suis garé sous un porche. On a fini par retrouver la voiture : garée en hauteur, en plein air, et à droite en rentrant.
Avec Tonnegrande, nous sommes des pédestres en ville et comme le vieux est fâché avec Abdel chez qui nous avons envie de prendre une bière avec toute cette marche dans l’hôpital… on décide de rentrer à pieds.
Le vieux, qui voulait nous rendre service en nous ramenant, se vexe !
On débarque chez Abdel, où se trouvent Jean Claude et le gros Loïc qui nous racontent l’épisode de la veille chez XXX.
Abdel fait la gueule. Comme nous débarquons à 12h30, il est persuadé que nous avions l’apéro ailleurs et que nous ne faisions que passer chez lui le faire ch… avant de rentrer à la maison.
On se casse.
On va aux Monts d’Aubrac
Où on retrouve le vieux… qui avait oublié qu’il était fâché et ne nous adressait plus la parole.
Tout fini bien.
Vous avez tout compris ? Ne venez pas encore dire que je suis incomplet !

28 juillet 2006
Partageons les progrès technologique
Blogger me permet maintenant d'envoyer des billets en les envoyant par mail à une adresse que je ne vais probablement pas vous communiquer, n'étant pas totalement fou !
Je suis donc maintenant en train de réaliser un essai. Ce n'est pas le premier. Ni le dernier. Mais la précédente fois ça n'avait pas marché !
Veuillez donc considérer ceci comme un message de service.
Et excusez le choix des polices de caractères, c'est pour voir si ça marche.
Nicolas
25 juillet 2006
Vieux ? Moi ?
J'ai horreur de l'été : c'est la période des stagiaires d'été qui font des remplacements dans les boites.
Pour la vue, je ne dis pas ! Pour l'esprit non plus...
Mais c'est la première fois que je bosse avec des énergumènes qui ont vingt ans de moins que moi, pour vous dire à quel point j'ai le double de l'âge.
Ils m'appellent "Monsieur" et n'arrivent pas à me tutoyer.
Ils viennent en "pantacourt" ou en "shortlong", je ne sais jamais, alors que je suis obligé d'avoir un truc noué autour du coup.
Je vais déprimer.
Pour la vue, je ne dis pas ! Pour l'esprit non plus...
Mais c'est la première fois que je bosse avec des énergumènes qui ont vingt ans de moins que moi, pour vous dire à quel point j'ai le double de l'âge.
Ils m'appellent "Monsieur" et n'arrivent pas à me tutoyer.
Ils viennent en "pantacourt" ou en "shortlong", je ne sais jamais, alors que je suis obligé d'avoir un truc noué autour du coup.
Je vais déprimer.
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