La connerie étant le seul chemin susceptible de nous faire entrevoir une parcelle de vérité, utilisons la par des moyens de communication efficaces. Le temps qu'on remplisse nos verres.
29 février 2012
J'ai testé pour vous : la soirée techno chez les ploucs
My god ! J’ai oublié de vous narrer ma participation à
la soirée, samedi soir. Il y avait plein de jeunes gonzesses comme MHF, Rachel, Juju, Sasa,
Mrs Clooney, Céline, Apo, Céline (une autre), Marie et Trub
mais accompagnées d’un troupeau de types mal rasés et visiblement éméchés, tels
que Cyril, Lolo, Eric, Nicolas, Dada, Le Pudding, Stef, Tambour Major et Dominique.
La musique (on va appeler ça comme ça pour ne froisser
personne) a commencé vers 22 heures. Contrairement à ce que je pensais, ce n’était
pas assourdissant. Ou alors je suis devenu sourd en début de soirée. J’ai pu
discuter avec l’ancien patron. Je ne sais pas pourquoi, il titubait un peu à la
fin.
Progressivement, la salle a commencé à se combler. Les
jeunes (ben oui, j’avais plus du double de la plupart des clients) sont arrivés
par vagues. Ils tournaient entre les quatre bistros du patelin qui avaient des
soirées techno. La plupart buvait des Mojitos ce qui fait que les trois
serveurs étaient accaparés à faire des cocktails et que j’avais un mal de chien
à commander mes bières. Je n’aime pas les jeunes mais si, en plus, ils m’empêchent
de boire, je me fâche.
Ce que j’ai d’ailleurs fait lorsque deux petits cons m’ont
piqué ma place au comptoir alors que, pour une raison inconnue, il a fallu que
je passe changer l’eau des patates aux toilettes. Ils devaient faire 50 kilos
chacun voire à eux deux. Je les ai pris par les épaules et je les ai écartés pour me glisser
délicatement entre eux. Ils m’ont pris pour Bud Spencer (notre illustration) et n’ont pas
bronché.
Il y avait également quelques types de mon âge, des habitués
des lieux que je connais depuis une trentaine d'années. En début de soirée, j’ai dit à un que ça me faisait chier, cette
soirée. Il m’a dit, mais non, tu vas voir, c’est bien. J’ai dit ah mais non, c’est
du bruit, c’est un truc de jeunes. Il m’a dit oui mais on n’est toujours jeune.
Je lui ai rappelé qu’on avait le double de l’âge des autres clients. Il m’a dit
que ça ne le dérangeait pas et qu’il est toujours jeune dans sa tête. Quand un
type de 45 ans vous dit ça, il y a des chances qu’il soit déjà devenu un vieux con. Je suis vieux. La preuve :
je passe mes soirées au bistro comme si j’avais 18 ans.
Le gars m’a dit que ces musiciens n’étaient que les
dignes successeurs de Kraftwerk
qu’on écoutait il y a 25 ans. Il m’a dit que j’en étais surement fan. J’ai dit
oui, mais j’avais ce groupe de pseudo machin en horreur.
Musicien ! C’est le mot employé par le gars. Je suis
désolé. Il parlait des deux gugusses qui réglaient des machines électroniques
pour passer des morceaux de musique qui sortaient d’un ordinateur portable. Je
croyais qu’il fallait des platines pour tripatouiller des pauvres vinyles qui n’avaient
rien demandé, voire des CD. Même pas. La musique est purement électronique.
Tout est prévu à l’avance. Je suppose que les « DJ » sont là
uniquement pour le décor.
La veille au soir, Ludovic Bource avait obtenu le César pour
la bande originale de The Artist (le lendemain, il allait avoir l’Oscar).
Organiser une soirée techno à Loudéac, patelin natal de Ludovic Bource, semble
être l’insulter.
La presse locale était contente. On a eu droit à la bio du
lascar et une interview d’un ancien prof de musique à lui, que j’avais eu
également en 5ème. M. Raffray. Je me rappelle qu’il n’était pas
souvent présent. C’est lui qui nous avait appris Yellow Submarine des Beatles pour
qu’on défile lors de la fête des écoles.
Je crois que je commençais à être réactionnaire, déjà, à cet
âge.
Bref ! C’était un prof de musique. A l’époque, je
jouais du violon, figurez-vous. J’ai arrêté quand j’ai eu le bac. Je n’étais
pas doué et ce n’était pas la peine d’insister. Surtout que je logeais en cité
universitaire, les voisins n’auraient pas été contents. Ce qui ne m’empêchait
pas d’écouter du rock’n roll et absolument jamais de musique classique. J’en
jouais. Je n’en écoutais pas. Tout juste si je n’allais pas dans les concerts
où je jouais avec des boules Quiès pour ne pas écouter les autres quand ce n’était
pas mon tour. Je suis comme ça. Je n’étais donc pas totalement réactionnaire.
Je crois donc pouvoir dire que je sais à peu près ce qu’est
la musique. A part Yellow Submarine que j’ai fredonné tout le week-end à cause
de l’interview de mon ancien prof de musique au collège. Pire ! Ca m’a
remis en mémoire la version des Compagnons de la chanson. Tu parle d’un
week-end musical.
Je peux donc en tirer une première conclusion : la
techno n’est pas de la musique.
En fin de soirée, à partir de 1h30, les jeunes ont commencé
à partir. Les autres vieux s’étaient barrés depuis longtemps.
Une bonne moitié était saoule ce qui est la moindre des
choses. Surtout qu’il faut bien picoler pour supporter le bruit qu’on a pu
entendre toute la soirée. 3h30 de techno…
Ce qui m’amène à la conclusion suivante, presque
scientifique. Je devrais d’ailleurs la publier dans une revue scientifique.
Prenez des notes.
Le type de 18 ans de 50 kilos qui boit du Morito tient moins
bien la marée que le type de 45 ans et de 100 kilos qui boit de la bière.
Surtout en écoutant de la techno.
Bon anniversaire @Chouyo !
26 février 2012
25 février 2012
Les copains, les bistros... et la techno
J'aime bien ces week-ends en Bretagne !
Pour un tas de raisons, pas seulement pour faire des billets à
propos de mes voitures de location ou voir la famille : il y a
aussi les copains ! J'aime ces longues soirées au bistro où
l'on refait le monde jusqu'à ce qu'on soit foutu dehors par le
patron, à une heure du matin.
En près de 30 ans de bistro, à
Loudéac, j'ai été très client dans trois. L'Atelier, la
Grenouille puis le Vincennes, devenu le 1880 Café, il y a bientôt
trois ans lorsque le fils a repris l'affaire de son père. Je m'y
pose le vendredi et le samedi, une première fois de 17h30 à 19h
puis de 20h30 à la fermeture, à une heure du matin.
Depuis 1984 (l'année de mes 18 ans),
on est à peu près la même bande. Tiens ! Hier soir, j'étais
avec Serge. Il a un an de plus que moi mais nous étions dans la même
école. Ca fait donc probablement plus de 40 ans qu'on se connait.
Comme il était voisin de mon « meilleur copain » à
l'école, on est probablement potes depuis le milieu des années 70,
mais sans être vraiment proches, sauf depuis quelques années... La
bande s'étant disséminée au fur et à mesure du mariage des uns et
des autres, nous sommes les derniers fidèles. Tiens ! Serge
habite toujours chez ses parents...
Un peu après, Dominique est arrivé.
Nous nous sommes connus aux éclaireurs à la rentrée 1977. Nous
n'étions pas très proche à l'école. Lui, le fils de paysans et
moi le fils de prof, c'était incompatible. Par contre, on était
toujours fourrés ensemble, les samedis après-midis et nous sommes
devenus très proches à la fin des années 80. Quand je dirigeais
des centres de vacances, toujours avec les Eclaireurs, il était
toujours là, à côté de moi, pour m'aider sur la partie technique.
On s'était plus ou moins perdus de
vue, pendant quelques années, ayant des nouvelles par
l'intermédiaire de Gilles. Il faut dire qu'il avait arrêté de
venir au bistro. Les femmes... Il a recommencé il y a quelques mois
et on se voit à chaque fois que je rentre à Loudéac.
Gilles ? C'est peut-être celui
avec lequel je suis le plus proche. Je l'ai connu, aux Eclaireurs à
la rentrée 1978. J'ai rendez vous avec lui à 17h30. Depuis trois
ans, il vient un peu moins au bistro, il a acheté une maison à une
quinzaine de kilomètres de Loudéac. Sortir n'est pas simple pour
lui. Il n'empêche que pendant des années – celles qui ont suivi
nos départs des Eclaireurs – nous partions tout le temps en
vacances ensemble et tout ça...
Ce ne sont pas les seuls, il y a Karine
et Fabienne, aussi, que j'ai connues à la même époque (Karine est
assez fidèle, le samedi, vers 18 heures), Philippe (comme moi, il ne
rentre plus très souvent et on se croise moins) et d'autres...
Ce soir, avec Gilles, après une
première partie dans une demi-heure, on va se retrouver à 20h30,
comme à peu près tous les samedis quand je suis à Loudéac depuis
1984, quand j'ai quitté la maison pour les études à Vannes. 28 ans
(jusqu'en 96, je rentrais toutes les semaines).
On aurait du être là, ce soir, à
partir de 20h30, aussi. On aurait raconté un tas de bêtises sans le
moindre intérêt, discuté les uns avec les autres.
Ca va se terminer à 22h00, ce soir.
C'est abominable : il y a un
concert de musique techno dans le bistro. On aurait pu se retrouver
ailleurs mais TOUS les bistros ouverts le soir ont un concert de
musique techno. Voir l'illustration (je ne sais pas pourquoi elle est à l'envers, sur le PC elle s'affiche normalement). Une espèce de festival, pour le
dernier week-end des vacances.
C'est une catastrophe.
Un seul truc me remonte le moral :
la fermeture sera à 2 heures du matin, au lieu d'une heure et je ne
prends pas la route demain donc n'aurai pas besoin d'être
spécialement en forme.
Si vous voyez ce que je veux dire.
24 février 2012
Loudéac au centre du monde cinématographique !
On a un César ! Et il y en a encore qui disent que Gégé ne fait rien pour la ville...
D'un autre côté, ma famille est à Loudéac depuis 60 ans et je n'avais jamais entendu parler de la famille Bourse. Pourtant c'est la vie.
Mais mon copain Serge était un copain de son frère. J'ai assez d'informations pour gagner de l'oseille avec mon blog people.
Par exemple, Ludovic Bourse a vécu dans le quartier de la Corderie et son père vendait des Renault alors que la société était encore publique.
J'ai aussi des anecdotes grivoises.
D'un autre côté, ma famille est à Loudéac depuis 60 ans et je n'avais jamais entendu parler de la famille Bourse. Pourtant c'est la vie.
Mais mon copain Serge était un copain de son frère. J'ai assez d'informations pour gagner de l'oseille avec mon blog people.
Par exemple, Ludovic Bourse a vécu dans le quartier de la Corderie et son père vendait des Renault alors que la société était encore publique.
J'ai aussi des anecdotes grivoises.
Voiture louche
Suis-je le seul à avoir une voiture de location avec le GPS mais pas de dispositif de réglage ? J'ai une belle carte qui s'affiche et me confirme que je suis sur la route et me prévient quand je fais des excès de vitesse (ce qui est rare, vu que je roule avec le régulateur) et quand j'approche d'un radar mais la voiture n'est pas assez haut de gamme pour avoir le boîtier de commande.
Ceci est véridique. J'ai bien vérifier le manuel. Voir la photo du tableau de nord et du manuel.
Suis-je le seul blogueur à faire un billet dans sa voiture avec le moteur qui tourne parce que j'ai eu une idée de billet en la démarrant ?
Ceci est véridique. J'ai bien vérifier le manuel. Voir la photo du tableau de nord et du manuel.
Suis-je le seul blogueur à faire un billet dans sa voiture avec le moteur qui tourne parce que j'ai eu une idée de billet en la démarrant ?
23 février 2012
Je ne suis plus un gros frisé

A part ça, Shaya a un nouveau blog. C'est ici que ça se passe : http://shayalandie.fr/ ! Isabelle a aussi créé un nouveau blog : http://iboux.blogspot.com/ !
On s'abonne, on bloguerolle et on boit un coup.
Au fait, j'espère que vous suivez le nouveau blog de Xapur ! Par contre, aux dernières nouvelles, Thierry n'a pas créé de nouveau blog.
Louis est repris par News Republic, de même que Romain Blachier, depuis aujourd'hui. Yann et moi, ça fait quelques temps. Dedalus a relancé son blog politique. Sarkofrance compte les jours avant la libération. Ces nouvelles s'arrosent.
Parmi les mauvaises nouvelles : El Camino a cassé son engin. Ca ne l'empêche pas de boire.
Dans mes activités, je travaille maintenant aussi sur le blog de Loïc Cauret, socialo costarmoricain.
Et voilà le blog de Laurent qui est passé à la Comète, hier soir.
22 février 2012
The Perfect Beer is in Paris !
Voila une information qui fera plaisir à Férocias, Aurel, Nicocerise, Laurent, Mike, Homer, Elmone, Jean, Dedalus, Xapur, Thierry, mtislav et Guillaume, je la présente donc
ici telle que je l’ai reçue…
Oh My God ! The Perfect Beer is in Paris !
(Traduction :
Tonnerre de Brest ! On fête la St Patrick en avant-première à Paris !)
Mousse Touch, le concept de soirées
gourmandes dédiées à la bière.
Le Mercredi 07 Mars 2012, Paris
accueillera l'événement organoleptique incontournable de ce début d'année : la
réunion des meilleures brasseurs bretons, irlandais et britanniques.
Pour sa troisiéme édition, Mousse Touch
accueillera des marques et des brasseurs de renommées mondiales, réunis
pour la première fois dans la capitale. Vous pourrez savourer des bières aux
flaveurs étonnantes comme :
·
Guinness et Kilkenny ,
·
Spitfire ,
·
Murphy's ,
·
Brewdog ,
·
Mac Ewan's
·
ou encore le cidre Magner's !
Et
de nombreuses autres bières ...
Les brasseurs Irlandais et Anglais seront
accueillis, selon la tradition Mousse Touch, par leurs confrères
bretons. La Brasserie Lancelot présentera ses bières artisanales qui
puisent leurs noms dans les légendes de la fôret de Brocéliande et l'histoire
de la Bretagne. La Brasserie des Côtes d'Armor Val de Rance, présente
dans plus de 20 pays sur 5 continents, exposera son cidre naturel certifié
« Qualité France ».
Mousse Touch a choisi un lieu
parisien à la hauteur de l'événement : Le Bateau Concorde Atlantique !
Mousse
Touch – Soirée « St Patrick avant l'heure »
le Mercredi 7 mars 2012
de 19h à minuit
Bateau Concorde
Atlantique
Port Solférino – Face
au 23 quai Anatole France
Parking devant la
péniche - 75007 Paris
Accès : Métro (ligne 12) Assemblée Nationale ou RER C Musée
d'Orsay
En savoir
plus sur le concept Mousse Touch :
Mousse Touch a pour
vocation de promouvoir avec enthousiasme la culture de la bière, comme boisson
de dégustation et de gourmandise. Qu’elle soit artisanale, régionale,
internationale, la bière est synonyme de convivialité, de fête, et de partage !
Ces
soirées ont également pour mission de rassembler les amateurs comme les
connaisseurs autour des brasseurs et des spécialistes de la bière, pour
échanger informations, impressions, et faire rimer bien boire avec bien manger
!
Enfin,
Mousse Touch souhaite développer la connaissance de la bière en France, faire
connaître la créativité brassicole par des manifestations à caractère culturel,
gastronomique, médiatique, et touristique.
Retrouvez
tous les informations sur l'événement, les brasseurs présents et les bières sur
le site http://www.mousse-touch.net/
21 février 2012
La RATP m'énerve !
J’avais un truc à faire à Nogent sur Marne en début d’après
et je pensais y consacrer une grosse heure et demie. De fait, si j’avais
regardé un plan de métro et de RER et n’avais pas fait confiance au site de la
RATP, je n’aurais pas perdu une heure et demie supplémentaire…
Je devais y aller ce soir mais je me suis dit que c’était
aussi bien d’éviter le RER A les jours de grève.
Je prends donc la ligne 8 juste qu’à Opéra. J’achète un
ticket de RER. Je grimpe mais je confonds Neuilly sur Marne et Nogent sur Marne…
qui ne sont pas sur la même branche. Par chance, je m’en rends compte à
Val-de-Fontenay. Je descends de la rame et veut sortir pour la prendre dans l’autres
sens : impossible. J’avais acheté un ticket pour Nogent sur Marne, je n’avais
pas le droit de sortir à Val-de-Fontenay. Une petite dame était d’ailleurs dans
le même cas que moi. Par chance, un portillon était ouvert.
Je sors. Je vais pour reprendre le train dans l’autre sens !
Mon billet ne passe évidemment pas. J’en achète un nouveau pour Nogent sur
Marne (5 minutes à la caisse). Je repars et change à Vincennes pour la bonne
direction.
Je sors à nouveau et dois me taper un bus. Je ne le trouve
pas. Je vérifie : je m’étais planté de station pour descendre mais le
papier que j’avais imprimé à partir du site web de la RATP n’indiquait pas à
gare je m’étais planté. Je regarde Internet avec l’iPhone : la station RER
la plus proche du lieu où j’allais n’était pas près de la ligne A, d’où le bus.
Je regarde l’itinéraire : 2 km, une histoire de 25 minutes… Sauf que l’application
« Plan » de l’iPhone n’indique pas les côtes !
1h50.
Au retour, je vais à la gare la plus proche et grimpe pour
la première fois de ma vie dans le RER E. Ca s’arrose. Une demi-heure après, j’étais
à Saint-Lazare. Je consulte un plan, le mieux était de prendre la ligne 8, mais
elle n’est pas « fléchée »… Dépité, je décide de prendre la ligne A
du RER et de changer à Condorde pour reprendre la 8…
Arrivé après une « longue marche », je vois des
flèches indiquant la ligne 8. Je prends.
Durée totale : 50 minutes. Et encore, j’en ai bien
perdu 5 à Saint-Lazarre…
De retour j’ai consulté Internet à nouveau pour voir si je n’avais
pas fait une erreur. En variant l’heure de départ, le site propose différentes
variantes mais toutes avec deux changements (j'avais fait une joli illustration pour vous le prouver mais je l'ai perdue, du coup, je vous mets une photo de Nicolas Dupont-Aignan issue d'une billet que je voulais faire mais je n'ai pas eu le temps à cause du travail en retard à cause de ce temps perdu), sans prendre
en compte le fait que la ligne 8 et le RER E se croisent à Saint-Lazare et que
l’endroit où j’allais était à 100 mètres d’une gare RER E...
Ca m’énerve.
N.B. : la photo de NDA est issue de cet article. Il s'est fait piégé par Gérald Dahan qui se faisait passer pour Cantonna et a dit plein de mal de Nicolas Sarkozy.
N.B. : la photo de NDA est issue de cet article. Il s'est fait piégé par Gérald Dahan qui se faisait passer pour Cantonna et a dit plein de mal de Nicolas Sarkozy.
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