Une gamine (18 ans ?), à l'instant : il faut encore que j'aille faire les courses de ma mère alors que je veux plus. C'est toujours pareil. Un cubi de 10 litres de rouge. J'ai honte.
La connerie étant le seul chemin susceptible de nous faire entrevoir une parcelle de vérité, utilisons la par des moyens de communication efficaces. Le temps qu'on remplisse nos verres.
29 novembre 2014
Brèves de comptoir
Un copain en début de soirée (21 h ?) : je ne suis pas un alcoolique, il m'arrive de ne boire qu'un verre de vin en mangeant.
28 novembre 2014
La stratégie 2048
Je vous l'ai dit, je joue beaucoup au 2048, ce jeu qui a moins d'un an et qui a eu un très grand succès. Il est très particulièrement addictif mais ce n'est pas très grave. Je ne joue plus qu'à ce jeu. Le seul problème est que les parties peuvent être assez longues...
Tiens ! Calculons la durée d'une partie. Pour fait un 4, il faut deux 2. Pour faire un 8, il faut deux 4. Donc trois coup. Pour faire un 16, il faut deux huit. Donc 7 coups. Pour faire un 32, il faut deux 16, donc 15 coups. Pour faire 64, il faut deux 32, donc 31 coups,... Tu as vu la suite ? Pour faire 2048, il faut deux 1024 donc 1023 coups au minimum (mon résultat est pas exact, pour plusieursraisons : il arrive que des 4 sortent à la place des deux, on ne fait pas une combinaison à chaque coup et on n'a jamais les combinaisons idéales vu qu'il n'y a que 16 cases. Des gens ont fait le calcul, j'ai trouvé le nombre théorique minimum sur internet).
Des braves ont gens ont calculé qu'il faut plus de 6 heures pour faire un 2048 avec de la méthode, c'est-à-dire en étant à peu près sûr de réussir. Ça vous surprend ? Normal vous êtes comme moi, quand vous faites un 2048, vous le faites en une demi heure par hasard en appliquant la stratégie du coin. Et comme vous étiez à fond dedans, ça vous a paru durer 10 minutes.
Vous êtes comme moi. Mais je le suis plus que vous. Et paf ! Bon pour les modernoeuds. Je me comprends. Je suis informaticien (donc fasciné par ce qu'on peut faire avec des puissances de 2) et statisticien (donc...).
J'étais en train de jouer à 2048 dans mon TGV qui me tgvise jusqu'en Bretagne. J'ai fait un 2048 et j'ai battu mon record en points sur iPad (mais j'ai fait mieux sur iPhone, de l'ordre de 33000 (les points ne servent à rien). Mais j'ai eu une pensée bizarre, j'étais même presque frustré de ne pas en faire plus souvent. Alors je me suis demandé si ma stratégie est la bonne.
J'applique celle du coin. Il s'agit d'entasser les gros chiffres dans un coin et de n'avoir que des séries croissantes (ou décroissantes selon le coin choisi).
Ainsi, j'ai eu l'idée de chercher "stratégie 4096" dans Google (je n'ai pas fait exprès, je me suis trompé de puissance de 2 !). La stratégie du coin est la bonne. On y arrive tous par instinct. Une dame dans un bistro que son mari lui avait dit qu'il fallait regrouper les gros sur un bord. Elle avait tort mais elle mériterait un billet de blog entier.
La stratégie du coin est la bonne mais n'est pas suffisante. Notons que, sauf lors des premiers coups, si le gros se barre du coin, vous auriez tout intérêt à abandonner immédiatement. Impossible n'est pas Français mais la probabilité que vous le fassiez rentrer dans ses pénates est dérisoire.
Arrêtons de stigmatiser les gros.
Il y a trois règles à respecter dont celle de la stratégie du coin.
Petit 1 : il faut tenter de faire des suites. Par exemple, avoir 64 - 32 - 16 - 8 sur une ligne ou une colonne est préférable à 512 - 64 - 16 - 2.
Petit 2 : il faut faire le ménage en permanence pour laisser un maximum de case vide.
Et on fait tous les mêmes erreurs : on se précipite pour faire des 256, 512 ou 1024 et on se fout du ménage car on sait que la grille peut se vider ou presque en trois coups.
En fait, à chaque coup, il faut réfléchir à ce qu'on doit faire. Faire une suite est préférable que de faire un 1024. C'est con hein mais il fallait y penser. Tans pis si les boches nous piquent nos deux 512 voisins. L'objectif n'est pas 1024 mais 2048.
Alors, j'ai essayé. A chaque coup, j'analyse les trois déplacements possibles (un sens est impossible, on perdrait notre coin... Sauf que, des fois, on n'a pas le choix). C'est trop chiant. A raison d'une seconde par analyse de chaque déplacement, plus deux secondes pour faire le choix et le mouvement : 5 secondes par coup. Plus de 6 heures pour une partie.
Mais il y a des gens qui le font.
27 novembre 2014
26 novembre 2014
La genèse de la grande cuisine
Hier soir, rentrant à la maison à une heure un tantinet tardive vu que Jean-Claude étant malade, j'ai préféré servir de chaperon à la patronne qui faisait la fermeture toute seule, j'avais faim. J'ai donc regardé le contenu de mon réfrigérateur pour un état les lieux. J'avais bien un certain nombre de conserves (que je range au frigo vu qu'il est trop grand pour mes besoins de célibataires) et des produits frais (j'entends par là qu'ils ne se conservent pas indéfiniment ; les surgelés se trouvant dans la catégorie "produits frais") qu'il me fallait terminer dans la semaine vu que je vais en Bretagne ce week-end.
Il me restait, outre des pommes de terre (mon côté Breton), des saucisses de Frankfort, des andouillettes et du rôti de porc cuit. Sans compter du surimi. Le surimi me gonfle mais j'ai horreur de manger du poisson quand il n'est pas préparé par ma mère. Du coup, j'achète du surimi pour me donner bonne conscience.
J'ai donc décidé de manger des saucisse de Frankfort avec des patates. Je colle donc mes Frankfort dans de l'eau pour les réchauffer et je me prépare à mettre trois pommes de terre au microonde. C'est alors que je dis mon calcul. Le surimi se conserve bien moins que nos produits parmentieresque, j'ai donc décidé de remplacer les patates par du surimi pour aller avec mes Frankfort.
J'ai donc mangé mon premier bâton de surimi avec de la mayonnaise en attendant que les saucisses se réchauffent. J'ai trouvé ça bien fade. J'ai donc décidé d'ajouter de l'échalote et du poivre.
C'est alors que j'ai eu l'idée de génie. J'ai haché l'échalote et le surimi et ai foutu le tout dans la casserole où chauffaient les saucisses. Et du poivre. Beaucoup de poivre (j'aime ça). J'ai attendu que ça arrive à ébullition. J'ai goûté. Les Frankfort chaude avec de la mayonnaise froide, ce n'est pas bon. J'ai donc placé ma casserole sous l'eau froide et le contenu dans une passoire. échalotes, Frankfort et surimi. Hop.
Le tout arrivant à une température comestible (contrairement au thermomètre qui n'est pas comestible mais anal), j'ai servi le tout dans une assiette et j'ai ajouté de la mayonnaise (en boîte). J'ai mélangé le tout.
C'était très bon et je vous le conseille. Sans les échalotes si vous comptez baiser ensuite mais c'est moins bon.
Ce qui est la preuve qu'il ne faut pas être obsédé par le cul mais c'est dommage.
Il me restait, outre des pommes de terre (mon côté Breton), des saucisses de Frankfort, des andouillettes et du rôti de porc cuit. Sans compter du surimi. Le surimi me gonfle mais j'ai horreur de manger du poisson quand il n'est pas préparé par ma mère. Du coup, j'achète du surimi pour me donner bonne conscience.
J'ai donc décidé de manger des saucisse de Frankfort avec des patates. Je colle donc mes Frankfort dans de l'eau pour les réchauffer et je me prépare à mettre trois pommes de terre au microonde. C'est alors que je dis mon calcul. Le surimi se conserve bien moins que nos produits parmentieresque, j'ai donc décidé de remplacer les patates par du surimi pour aller avec mes Frankfort.
J'ai donc mangé mon premier bâton de surimi avec de la mayonnaise en attendant que les saucisses se réchauffent. J'ai trouvé ça bien fade. J'ai donc décidé d'ajouter de l'échalote et du poivre.
C'est alors que j'ai eu l'idée de génie. J'ai haché l'échalote et le surimi et ai foutu le tout dans la casserole où chauffaient les saucisses. Et du poivre. Beaucoup de poivre (j'aime ça). J'ai attendu que ça arrive à ébullition. J'ai goûté. Les Frankfort chaude avec de la mayonnaise froide, ce n'est pas bon. J'ai donc placé ma casserole sous l'eau froide et le contenu dans une passoire. échalotes, Frankfort et surimi. Hop.
Le tout arrivant à une température comestible (contrairement au thermomètre qui n'est pas comestible mais anal), j'ai servi le tout dans une assiette et j'ai ajouté de la mayonnaise (en boîte). J'ai mélangé le tout.
C'était très bon et je vous le conseille. Sans les échalotes si vous comptez baiser ensuite mais c'est moins bon.
Ce qui est la preuve qu'il ne faut pas être obsédé par le cul mais c'est dommage.
Le sèche-mains des toilettes du bureau
Il est temps d’aborder un des vrais sujets, de ceux qui sont
particulièrement importants et qui ne sont jamais traités dans les blogs. J’ai
nommé : les toilettes du bureau et les règles de savoir-vivre qui s’y
pratiquent, notamment un détail pratique.
Pourquoi ce sujet aujourd’hui ? Parce que je suis en retard et que Sciences
et Avenir dévoilait récemment que les essuie-mains à air pulsé propulsaient
un tas de bactéries et de cochonneries non propice à un maintien en bonne
santé. Vous me direz que cela n’a rien à voir puisque ces machins équipent
généralement les stations-service mais pas les bureaux. Je retiens l’objection
mais n’oublions pas qu’il y a des progressistes qui vont finir par rendre
obligatoire ce genre de dispositif.
Figurez-vous qu’un de mes collègues est grand et un peu
timide. Avant l’arrivée d’un autre type, il ne parlait quasiment jamais à
personne. Ca fait deux fois que je le croise alors qu’il sortait des toilettes.
J’ai horreur de ça. On ne peut pas savoir si ses mains sont propres ou pas. Si
elles sont humides, c’est désagréable mais on ne peut pas être sûr qu’il s’agisse
d’eau et qu’il s’est réellement lavé les mains.
De même, j’ai horreur de serrer la main à quelqu’un quand je
sors des toilettes du bureau. On ne sait pas si l’autre ne va pas se dire :
ah mais quel gros porc !
Quand le type sort des toilettes et vous tend la main, vous
ne pouvez pas refuser de la serrer. La tentation est forte d’aller à son tour
aux toilettes pour un lavage de main (au singulier, ce n’est pas la peine de
vous laver les deux dans ce cas précis). Quand c’est vous qui sortez des
toilettes et que quelqu’un veut vous serrer la main, ce qui est une pratique
usuelle, il est délicat de refuser sauf si vous avez les mains mouillées auquel
cas vous pouvez répondre : ah désolé, j’ai les mains mouillées, je te fais
pas la bise mais le cœur y est. Car il faut, en plus, faire preuve d’un humour
fin et délicat.
C’est ainsi que je ne m’essuie jamais les mains après les
avoir lavées, au bureau.
En poussant le bouchon un peu plus loin, je me demande si je
ne me passe pas les mains sous l’eau uniquement pour pouvoir refuser de serrer
des mains.
Toujours est-il que tous les dispositifs pour se laver les
mains pourraient être supprimés sauf, peut-être les machins qui distribuent du
papier car c’est bien pratique quand on n’a plus de mouchoir.
Ce que je dis pour les bureaux est également variable pour
les bistros mais avec d’autres proportions.
24 novembre 2014
Les solitaires
Laurent, c'est notre SDF, celui des marches entre Leclerc et
La Comète. Avant l'hiver sa dernier, ils étaient deux : Johnny et lui. Johnny a
disparu. J'avais eu des nouvelles par les services sociaux de la mairie.
Laurent est seul maintenant. J'en parle parfois dans ce blog. Je me rappelle
avoir écrit qu'il était toujours poli et qu'il me saluait d'un tonitruant
"Salut Nico" avec un sourire et cette intonation qu'on a quand on est
content de voir quelqu'un.
Ce matin, il n'était pas là. C'est très rare. Vous dire que
j'ai remarqué son absence serait mentir pour faire pleurer dans les chaumières.
C'est en disant "bonjour" à Christian, à la Comète, que je me suis
rendu compte qu'il me manquait quelque chose. En prenant le métro, j'ai vu
Laurent arriver. Il avait deux grosses valises. "Salut Nico !" Moi : "salut Laurent ! T'es en retard au
travail ?" Lui : "hu hu".
Nos échanges dépassent rarement ces quelques mots. Et
encore, ça ne fait pas un an que je connais son prénom.
Si je sais qu'il passe ces journées là, c'est que je le vois
aussi le samedi soir. Et s'il passe ces journées sur ces marches (ou souvent
debout devant, voire allongé au pied quand il est saoul), je suppose que c'est
parce qu'il y est bien. Deux ou toujours par semaine, il y a une vendeuse de
fleurs, à la sauvette, qui s'installe là. Ils papotent un peu. Parfois, un
autre type, un petit gros avec les cheveux très court, vient discuter avec lui.
Je ne crois pas qu'il soit sdf. Il fait plutôt penser à l'idiot du village.
Ce matin, quand je l'ai vu, j'ai mis une seconde à le
reconnaître, vu qu'il n'était pas dans son coin habituel. J'ai eu une pensée
bizarre, comme si tous les solitaires que je connais dans la commune me sont
passés dans la tête.
Ce ne sont pas des sdf. J'en connais avec assez de moyens
pour manger tous les jours à la Comète ou à l'Amandine. Une façon de ne pas
manger seul ? Une habitude ? La flemme de se faire à manger ? Je ne leur jette
pas la pierre, je mange souvent au bistro mais, auparavant, je suis avec mes
potes.
C'est presque à ça que je les sépare du reste de la
population dans mon crâne : ils semblent ne pas avoir de pote ou de vie
sociale, même au bistro. C'est presque effrayant. On les connaît assez pour
savoir qu'ils n'ont pas de famille et, quand ils sortent, ils ne font rien pour
avoir des potes comme s'ils savaient qu'ils allaient échouer. Certains disent
bonjour, d’autres répondent poliment, voire font un geste pour montrer qu’ils
vous aiment bien… Puis ils s’isolent, en salle, en terrasse ou au comptoir.
Parfois, on les englobe dans nos discussions mais ça se
termine souvent mal. Soit on les fait chier et ils le font comprendre, soit ils
deviennent exubérant, comme s’ils étaient le centre du monde et on comprend
alors que tous leurs autres copains ont fui. Alors le ton monte et ils
retournent dans leur coin.
Je parle souvent de mes potes, les petits vieux de Bicêtre,
qui sont aussi solitaires ou, plus exactement, seuls, mais s’ils viennent au
bistro, c’est pour avoir une vie sociale. Je parle aussi de ceux que je connais
bien mais qui sont toujours au bistro, comme « la vieille » qui boit
son café à l’Amandine tous les midis puis descend en prendre un à la Comète.
Elle n’a rien à dire mais elle aime bien son train-train. Je parle parfois de
Geneviève qui est repoussée par tous, tellement elle chiante. Elle a été viré
de quelques bistros parce qu’elle n’arrêtait pas de parler aux clients. Il y a
le vieux Roger, pilier du comptoir de l’Amandine de 10h à 12h30/13h. Il n’est
pas chiant. Les copains l’ont pris dans le groupe, on ne peut pas l’éviter. Il
radote. Surtout, après quelques verres, il devient raciste. On s’est encore
engueulés, hier midi, quand il y a atteint le sommet du grotesque ou de l’ignominie :
« tu te rends compte, les étrangers ne peuvent pas éduquer leurs enfants,
ils ne parlent pas français ».
Mais c’est aux autres que je pensais, ce matin, en voyant
Laurent, ceux qui vont au bistro mais n’y recherchent aucune compagnie. Ils
font ce qu’ils veulent. Moi-même, il m’arrive d’aller au PMU pour être sûr de
ne trouver aucun des casse-couilles de la bande… mais pas au quotidien pendant plus
d’une demi-heure.
Je ne connais rien de la vie de Laurent. Je suppose qu’il n’est
pas réellement SDF et qu’il vit dans un foyer dans lequel il rentre
relativement de bonne heure, le soir.
Je suppose qu’il a des potes.
Je suppose.
22 novembre 2014
21 novembre 2014
Léonard Cohen
Il faut avouer que ce type est un des chanteurs les plus chiants mais avec les plus belles chansons. A la Comète, "alléluia" est passé dans le poste le vieux Joël m'a avoué qu'il connaissait peu voir pas. Pourtant, cette andouille a bossé dans le milieu de la musique (cherchez Joel Jovignot dans YouTube). On a parlé de Léo. Et j'ai avoué que je le connaissais surtout grâce à un album sorti avec des reprises de ses différentes chansons par différents chanteurs.
Je suis un fan de Léonard Cohen chanté par les autres. Et, évidemment, j'adore ses tubes, dont celui qui je citais mais aussi Suzanne. Comme beaucoup. Et les autres chansons chantées par d'autres.
Toujours est-il que parmi ces chansons reprises dans dans cet album, il y en a une qui était chantée par un francophone dans une version traduite en français.
Pendant une heure, avec le vieux Joel à coté, je me suis demandé de qui il s'agissait d'où ce billet pour vous demander, cher public, de qui il s'agit. Bizarrement ou pas (ça arrive souvent) je m'en suis rappelé en rédigeant le précédent paragraphe, le vieux Joël est parti.
https://m.youtube.com/watch?v=n4iUYn8FK-s
Ne cliquez pas ou attendez un peu. Je vais envoyer le lien au vieux Joël.
Je pose deux questions :
1. Je ne me rappelais pas le nom du chanteur, les paroles de la chanson,...mais je me rappelais de lui comme étant un abruti. C'est normal ?
2. Suis-le seul à aimer Leonard Cohen grâce aux chansons reprises par d'autres ?
Alleluia.
Paris à chier
"La Comète, son gros noir, son gros frisé et son gros vieux au comptoir, racontant n'importe quoi au comptoir en se foutant de la gueule des autres fientes qui les entourent, voila ce que l'on pourrait retenir de la Comète avec ses serveurs, certes sympathiques mais n'ayant rien à cirer patati patata,...".
Tel est le début d'un billet qui pourrait figurer dans l'excellent blog Paris à chier (avec le style du taulier, pas le mien) qui dézingue les bistros parisiens un par un. Sauf que la Comète n'est pas à Paris.
Il est réactionnaire, grossier, c'est un bonheur !
Je suis inquiet. Il n'a rien produit depuis deux mois.
20 novembre 2014
L'appli idéale ou la rencontre inévitable
J'ai un blog politique où je parle souvent des entrepreneurs. J'ai un blog bistro où je parle souvent des bistros du Kremlin-Bicêtre. J'ai un blog geek où je parle souvent des nouvelles applications.
Des types du Kremlin-Bicêtre ont créé une boîte pour lancer une application largement orientée vers les bistros qu'ils restent dans ceux de la commune...
Le hasard (sous le pseudonyme d'El Camino) nous a fait croiser nos chemins. C'était hier soir, à la Comète, et je n'ai pas fini de vous parler de ce machin dans mes blogs.
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