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01 août 2010

Le paquet était resté dans la poche

C’est en trouvant cette illustration par hasard dans le web, que je me décide à vous raconter ma mésaventure d’hier. Figurez-vous que j’ai rendez-vous aujourd’hui avec la brave Odette qui repasse mes chemises.

J’ai donc fait une lessive hier matin (samedi soir serait assez précis, aussi). J’ai oublié de vider les poches de mon jean (en principe, je ne laisse jamais rien dans les poches). Un paquet bien entamé de bonbons Menthos s’y trouvaient !

C’est normal, la dernière fois que j’avais mis ce jean, c’était pour rentrer de Bretagne et j’achète toujours des bonbons Menthos dans les stations d’autoroute.

Toujours est-il qu’au moment opportun, le linge n’étant pas tout à fait sec, j’ai retiré les pantalons et les chemises de la machine pour qu’il finissent de sécher pendus.

Je ne vous raconte pas l’état des fringues et de la salle de bain…

07 avril 2010

Blog Masculin

La charmante Cathy, en commentaire d’un vieux billet, me met au défit d’ouvrir un blog « masculin » (par opposition aux blogs « féminins » mais nous allons faire hurler Olympe).

J’ai en effet déjà abordé, dans le blog, mes acquisitions de cravates et de pompes. Comme je suis vachement fachieune car bien inspiré, je pourrais passer à la suite en décrivant les principes directeurs de mes achats pour le reste de la garde robe : les chaussettes, les caleçons, les slips, les tee-shirts, les vestes de costar, les jeans et autres pantalon et, enfin, les manteaux.

Il serait peut-être bon, dans un premier temps, que j’aborde quelques précisions quant aux cravates à chier. Elles portent ce délicat qualificatif à l’initiative de Didier Goux mais derrière ça, une véritable stratégie se cache de résistance au monde de la mode et aux pratiques économiques dans lesquelles certains gros de ma connaissance n’hésitent pas à tomber. Une cravate ne sert à rien. Les producteurs de cravates s’arrangent donc pour faire évoluer la mode de manière à inciter les gens à renouveler le stock fréquemment. En outre, ils les rendent salissantes. Vous avez déjà renversé de la bière sur une cravate en soie bleu clair ? L’auréole est garantie. La cravate est bonne à jeter (ou à filer chez un commerçant de mèche pour subir un nettoyage en conséquence). Donc j’achète des cravates à chier, presque unies, en synthétique (sauf si j’en trouve des peu chères en soie), la différence ne se voyant pas.

Cela dit, si vous ne voulez pas que toute ma garde robe y passe, vous auriez intérêt à motiver le vieux Jacques pour qu’il revienne à la Comète afin que je puisse raconter ses conneries.

Je commence par quoi, sinon ?

Sinon, il y a un Kremlin des Blogs, demain soir, à partir de 19 heures, à la Comète ! Je compte sur vous, Mesdames. Messieurs aussi.


20 décembre 2009

Ca chauffe à Bicêtre

Je ne suis pas frileux (mais toujours enrhumé) mais, vendredi soir, je suis rentré de bonne heure à la maison et me suis mis devant le PC pour twiter : je grelottais. Je me décide donc à consulter mon thermomètre : 12,5° ! Cette température serait aimable pour un Côtes-du-rhône mais pas pour un être humain.

Mon appartement est parfaitement isolé et je n’avais pas eu froid auparavant, je n’avais donc pas allumé le chauffage. Vendredi soir, je décide de ne pas le mettre : il aurait fallu des heures pour gagner quelques degrés et je devais partir pour la Bretagne samedi matin.

Ainsi, samedi matin, j’ai mis un pantalon et une veste pour survivre et je me suis cassé de bonne heure (voir mon billet). Revenant à la maison vers 10 heures, j’ai gardé le manteau pour bloguer et j’ai allumé le chauffage dans le séjour quand j’ai compris que je ne pourrai pas rentrer en Bretagne, vers 11 heures.

A 15 heures, après la sieste, il faisait toujours 12,5. J’ai consulté un deuxième thermomètre qui m’a confirmé ça. J’ai donc mis tous les chauffages à fond dans l’appartement. A 23 heures, quand je suis rentré, il faisait 16°. A 6h30 ce matin, premier réveil, premier blogage : 17,5. A l’heure où je vous parle : 18,5. Et j’ai réellement trop chaud.

Je vais tout couper et prendre la route.

On mène une vie trépidante.



18 octobre 2009

Bilan d'étape

Finalement, je suis très content de ma machine à laver Indésit neuve. Je vais donc payer une tournée générale, à la Comète. Le linge est propre et sec. Trop sec, d'ailleurs, la repassage va gueuler. C'est surprenant mais sur la dizaine de chemises blanches, trois sont toutes froissées alors que les autres sont parfaites.

Je lance une deuxième machine immédiatement avec les draps. Normalement, elle devrait être finie avant la sieste. Je pourrais remettre les draps ce qui m'évitera de ranger ceux-là ensuite et de sortir une nouvelle paire. Et faire la sieste dans des draps chauds.

Par rapport à mon ancienne machine, le cycle de séchage dure plus longtemps... Mais le linge ressort sec même quand la machine est pleine alors qu'avant, il fallait que j'en enlève la moitié.

C'est Poireau qui a dit que je devrais spécialiser mon  blog dans les machines à laver. Ca me rappelle une vieille époque de blogage : avec Franssoit, on avait mis des publicités google dans la colonne de gauche de nos blogs. C'est ainsi que je parlais souvent de vaisselles et de machines à laver. On faisait des billets avec mots clés uniquement pour varier ces publicités. Google nous a virés.

Ma machine à moi


Pour la première fois, dans l'histoire de la zinfluence bloguesque, voilà la photographie de la machine à laver neuve d'un zinfluent Kremlinois effectuant sa première lessive avec une sélection de chemises blanches équipées de différentes tâches. C'est à peu près la première fois de ma vie que je me lève en me disant "tiens ! Mon garçon, tu pourrais faire une lessive pour essayer ta nouvelle machine avec plein de boutons auxquels on ne comprend rien mais sur lesquels il faut très certainement appuyer pour faire démarrer le truc". Vous comprendrez aisément l'émotion qui est la mienne au moment où je rédige ces quelques lignes. Je suis également le seul zinfluent à me lever à 6 heures du matin après m'être couché à minuit pour faire une machine et rédiger un billet de blog pour dire qu'il va le faire. Même que la machine semble suffisamment silencieuse pour que je puisse sérieusement envisager de me recoucher dans la minute qui suit.

14 octobre 2009

Blogueur ménager


On peut être blogueur zinfluent et avoir des problèmes ménagers. Car je suis aussi blogueur célibataire et blogueur tête en l’air. Le week-end d’avant, j’étais en Bretagne mais en rentrant, le soir, je me suis dit : « Tiens ! Mon garçon, tu devrais lancer une machine ». Je dois préciser que je suis aussi blogueur fainéant. Je fais des lessives quand j’ai peur de ne plus en avoir de propres prochainement. Mais je suis toujours en retard. A ma décharge : pour faire une machine, il faut être à la maison mais quand on vit en appartement, il faut que le lavage soit terminé avant 22h pour éviter d’emmerder les voisins avec l’essorage.

Ainsi, certains week-ends, j’ai jusqu’à quatre machine en retard. Vous imaginez le bordel dans l’appartement de 48m2 pendant le séchage ! (l’illustration n’est pas de moi : je l’ai prise au hasard sur le web).

Donc, dimanche, en rentrant de week-end en Bretagne, je me suis dit : « Tiens ! Mon garçon, tu devrais lancer une machine, ça t’évitera d’être en retard ». La machine finie, je l’arrête et je m’en vais boire un gorgeon dans un troquet du coin au hasard : La Comète. En rentrant, j’oublie de vider la machine.

Le week-end dernier, le dimanche soir, je me dis « Bordel ! Tu as oublié de faire une lessive ». Lundi soir, je rentre de bonne heure pour en faire une. J’ouvre la machine et je découvre du linge à l’intérieur. Sans compter une odeur absolument pas sympathique. Je me dis « Merde ». Je sors un tee-shirt pour le sentir et je constate qu’il est trempé. Il n’avait pas été essoré. Je devine alors qu’il faudra que je refasse une lessive mais j’ai décidé d’attendre le week-end suivant pour éviter de nouvelles emmerdes. Je sors néanmoins les tee-shirts de la machine pour les faire sécher en les pendant sur des cintres à la barre de douche.

Vous me suivez ? C’est un billet ménager par un célibataire fainéant, n’oubliez pas. Une bonne mère de famille aurait probablement agit autrement : pas moi.

Une fois les tee-shirts étendus, il restait dans la machine quelques caleçons et des chaussettes. Par réflexe, à ce stade de l’étendage, je mets la machine en position séchage pour qu’elle termine le petit linge : ce n’est pas une question de fainéantise mais de nombre de cintres. Un réflexe idiot, je fais ça à chaque fois.

J’oublie complètement jusqu’au lendemain matin. Il fallait bien que j’enlève les cintres pour pouvoir prendre une douche. Je pends donc les tee-shirts (qui, au moins, ne puaient plus) à la poignée de la porte des chiottes, le temps de prendre cette douche.

Si vous connaissiez un peu mieux mon appartement, vous seriez que la porte des chiottes est en face de l’endroit du lit où je m’assois pour mettre mes chaussettes en écoutant la radio pour préparer mon billet politique du matin. Dans la position où j’étais, j’ai vu ce que je n’avais pas vu la veille : mon joli tee-shirt bleu avait une grosse auréole marron. En observant mieux, j’ai vu que le linge était plein de poudre blanche (il s’agit de la lessive, précision qui sera utile aux incompétents de mon espèces, mais j’ai eu peur, pendant 3 secondes qu’il s’agisse d’autre chose. Non. Pas du vomi).

Non seulement l’essorage n’avait pas été fait mais la lessive non plus. Je pense alors à mes chaussettes dans la machine en position « sèche linge ». Et je réactive : le tambour ne tourne plus.

La machine est cassée. Elle aurait eu 16 ans en mars. Paix à son âme.

Non seulement, ce week-end, j’ai deux lessives à faire, mais.
  1. Il a fallu que je fasse une lessive à la main. Oui, Moi.
  2. Il faudra que j’aille avec le vieux Joël, qui a une camionnette, faire un achat conséquent.

J’aime bien faire les courses avec le Vieux Joël. Comme il ne boit plus, je n’ai qu’un verre à lui offrir.