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30 janvier 2013

Sancerre pour tous

Ce qu'il y a de bien avec Didier Goux et l'Amiral Woland, c'est qu'à chaque fois qu'on bouffe ensemble, on a à peu près les mêmes sujets de conversation. Cette fois, on a un peu innové. On a plus parlé du mariage pour tous que des 35 heures.

Le mariage pour tous est un sujet idéal. On est tous cambrés sur une position sans rien comprendre à celle de "l'adversaire" qui est incapable d'expliquer sa position.

J'ai donc raison : le mariage ne voulant plus rien dire (dans la mesure où on ne sait pas exprimer ce que ça veut dire), autant le torpiller. Ou pas. A ce stade du repas (et des liquides qui vont avec), on s'en fout.

Je vais donc résumer nos propos : tous les autres sont des imbéciles et ça va très bien ainsi.

01 octobre 2012

Didier Goux, exilé fiscal !

Mon informateur secret me signale que Didier Goux a pris le large à Paimpol (ou à Lézardrieux, je ne sais plus) pour s'exiler fiscalement à l'ile de Bréhat...

Je jure que je n'ai pas retouché la photo. Même la couleur du nez.

30 juillet 2012

Un week-end à la campagne

Je le disais dans un billet, samedi, c’est une magnifique DSK4 que j’ai louée, ce week-end, pour aller à la campagne. Disons-le tout de suite : si j’avais une voiture à acheter, aujourd’hui, mon choix porterait sur ce modèle. Mais je n’ai pas l’intention d’acheter une voiture. On a fait assez de billets dans les blogs gauchistes pour dire que la voiture, ça commence à bien faire. A Paris, évidemment.

Elle a peut-être un point négatif : il m’est arrivé plusieurs de passer de la cinquième à la sixième en voulant passer à la quatrième. Du coup, on se retrouve sans la moindre puissance et en situation relativement dangereuse… Ce n’est pas la première fois que je loue une voiture avec une sixième mais c’est la première fois que ça m’arrive, à plusieurs reprises, qui plus est. Je suppose qu’il faut un temps d’adaptation (je n’ai fait qu’environ 200 kilomètres).

Il m’est par ailleurs arrivé deux anecdotes avec le GPS.


Voila la première. J’avais entré l’adresse de destination, près d’Evreux. Alors que j’aurais du garder l’autoroute A13 jusqu’à son croisement avec la Nationale 13 (trajet en vert), cet imbécile m’a fait sortir à Mantes La Jolie pour passer par un tas de patelin (trajet en rouge), avec des travaux, des feux rouge… et même un mariage… Du coup, pour faire un trajet d’une vingtaine de kilomètres que j’aurais du faire en une dizaine de minutes à 130, j’ai fait cinq ou dix kilomètres de plus à une moyenne de 60. 20 minutes de perdues, ce dont j’ai horreur (surtout qu’on aurait pu louper l’apéro).

Je suppose que le GPS était avec une programmation permettant d’éviter les péages.

Quand on est arrivé chez nos charmants hôtes, je leur raconte cette histoire et voila Tonnégrande qui me donne tort alors cette andouille avait dormi tout le trajet à cause des multiples apéros qu’il a pris à midi à cause de David qui était passé par là par hasard avec son épouse en rentrant d’Orly.

J’ai alors offert les fleurs à Catherine qui me demande le nom. Je réponds : « Ah ben, j’ai oublié, c’était indiqué sur une étiquette avec le prix. Je l’ai enlevée. Je me rappelle le prix. Tiens ! Je vais te le donner, tu n’auras pas tout perdu : 21 euros ». La rigolade du week-end commençait bien.

Je ne vais pas vous raconter tout le reste, ça serait indécent. Surtout le moment où Didier n’arrivait pas sortir de son fauteuil, à 4h30. Il a fallu que je l’aide.

Venons-en directement au retour. Il était 16h45.

Au moment des embrassades, Catherine me dit « Vous m’envoyez un SMS dès que vous arrivez pour nous rassurer. » Moi : « Ah ! Ben je vais le faire maintenant, ça fera ça de fait. » Je vous l’ai dit : on a bien rigolé. Comme des gamins.

Nous montons dans la voiture. Je démarre. Je desserre le frein à main (opération un peu difficile à maîtriser). La voiture se met à sonner dans tous les sens comme si on était en danger immédiat. Je ferme la porte qui était restée ouverte pour pouvoir continuer à raconter des conneries. Ca s’arrête : c’est la première fois que je vois une voiture qui déclenche une alarme quand le frein à main est desserré alors que la porte est ouverte.

On se casse après une manœuvre périlleuse que j’ai réussi par miracle. Au bout de quelques kilomètres, cet imbécile de Tonnégrande se rend compte qu’il avait oublié sa veste. Arrivé près de la Nationale 13, je trouve un coin pour faire demi-tour… Le téléphone sonne, c’était Catherine qui nous prévenait de l’oubli…

Le trajet du "deuxième retour" se passe sans encombre malgré une A13 un peu chargée vers la fin. Nous prenons le périph.

Cette fois, c’est moi qui ai fait une connerie. Voir la deuxième carte. Nous arrivions par le périphérique et la logique aurais voulu que je sorte Porte d’Italie, que je remonte l’Avenue d’Italie, que je fasse le tour de la Place d’Italie et que je redescende l’Avenue sur 50 mètres pour aller au parking du loueur. Trajet vert. Arrivée Porte de Gentilly, j’ai eu une idée que je trouvais géniale : sortir là, rejoindre le Boulevard Auguste Blanqui par des petites rues et, Place d’Italie et redescendre l’Avenue d’Italie. Cette solution m’évitait de prendre la Porte d’Italie, parfois un peu chargée en fin de week-end et éviter d’avoir le tour de la Porte d’Italie, ce qui me gonfle toujours avec les priorités dans tous les sens et les feux au milieu. Trajet bleu.

Mais, arrivé Boulevard Auguste Blanqui, je me rappelle que je comptais faire le plein de la voiture à Porte d’Italie et qu’il me fallait le faire avant de rendre la voiture de location. La carte du coin était affichée sur l’écran du GPS (pas programmé) et m’indiquait une station à une cinquantaine de mètres à droite. Je tourne. La station en question n’existait pas. Peu importe, une station était indiquée plus loin. Elle n’existait pas. Bah ! Une autre était indiquée. Route barrée. Heu… Je continue, une autre s’affiche. Sens unique (plus exactement, impossible de tourner à gauche à un carrefour, la rue étant séparée en deux par un muret pour éviter aux gens de faire les cons). Ceci est strictement véridique. Trajet rouge (de mémoire, néanmoins). Une fois que j’ai repéré les maréchaux, j’ai décidé de reprendre le plan initial : plein Porte d’Italie. Mais il a fallu que je fasse le tour de cette Porte puis celui de la place, deux choses ce que je voulais éviter…

L’art de perdre un quart d’heure.

Que dire de plus sur cette voiture ? Je croyais que c’était une trois portes. Non. Elle en a cinq mais les poignées des portes arrières sont cachées, ce que je viens de découvrir dans Wikipedia en cherchant des anecdotes pour ce billet.

19 janvier 2012

Modération

Je me suis trompé de blog pour raconter mon déjeuner avec l'Amiral et le Gros. C'est à lire ici (tu parles d'un blog politique). Lui aussi a fait son compte rendu et j'ai déposé un commentaire fort aimable. Voir la copie d'écran ci-jointe.

L'Amiral est un imposteur : il emploie dans ses blogs des mots qu'il ne pratique pas dans la vraie vie. Si tant est qu'on puisse pratiquer un mot.

21 août 2011

Un diner à la campagne

Pour éviter que des processus calomnieux se mettent en place, il faut que je me presse de faire le compte rendu objectif de cette soirée chez Catherine et Didier Goux avec Tonnégrande.

Mon fier Guyanais et moi nous élançâmes sur l'A13 avec ma Ford Fiesta de location rutilante récupérée chez Europcar le matin même. Bref, on s'en fout.

A table, nous n'avons bu qu'une bouteille de blanc et trois de rouge, ce qui, pour de solides gaillards comme nous, est relativement peu, vous en conviendrez. A l'apéro, Tonnégrande et Didier s'étaient enfilés. Une bouteille de blanc chacun. Pour ma part, je buvais un liquide que je ne connaissais pas que Didier m'a fait découvrir. J'ai cru comprendre qu'il était à base d'orge fermentée, de houblon et d'eau. D'une couleur proche du jaune avec une petite mousse sur le dessus et des bulles qui remontent doucement si on leur en laisse le temps.

Nous finîmes au salon devant d'autres liquides assez proches dont une toute petite bouteille de whisky qui a capitulé assez rapidement (Didier avait réveillé Catherine pour savoir où elle l'avait caché).

A deux heures du matin, nous avions accompli notre mission : plus une goutte d'alcool ne trainait dans la maison.

Ah ! On a mangé aussi, c'était bon.

20 août 2011

Programme des prochaines heures #cuite

1. Passer aux toilettes,
1bis. Faire mes bagages : brosse à dent et chargeur d'iPhone,
2. Aller à la Comète prendre un café et Tonnégrande,
3. Monter dans la voiture,
4. Aller chez Didier Goux (je me suis laissé poussé la moustache façon Hitler, pour lui faire plaisir, Tonnégrande s'étant fait pousser autre chose pour faire plaisir à Catherine Goux quand le vieux sera bourré),
5. Descendre de la voiture,
6. Boire une bière dans le jardin (ou n'importe où, ce n'est pas le plus important),
7. Faire ce que nos hôtes auront décidé (c'est vrai, ça !, je ne vais quand même pas tout faire, ici, moi),
8. Dormir avant de reprendre la route.

Il n'y a pas de hashtag prévu pour suivre la soirée dans Twitter. "#cuitedungrosnazidungrosnoiretdungrosacravateachier"
fait déjà près de 140 caractères.

03 juillet 2011

Profitons des vacances de Didier Goux

Le vieux nazi étant parti en pèlerinage dans les Ardennes (ça lui rappelle les bonnes années où la France a failli devenir une grande nation, bien qu'avec un léger accent germanique), je propose à mes lecteurs d'aller le troller en insultant les commentateurs à ce billet. Juste pour rigoler, hein ! Lisez les premiers, vous comprendrez pourquoi...

08 mai 2011

Quelqu’un a des nouvelles de Didier Goux ?

Il nous faut reconstituer la soirée d’hier pour aider Didier Goux à s’en rappeler. Sa douce et tendre épouse est visiblement partie en week-end loin du Plessis. Didier passe ses soirées tout seul. L’apéro est tentant. Il s’est dit qu’il serait préférable de créer un nouveau blog plutôt que de commencer à picoler trop tôt. Il le fait et l’annonce dans son blog.

Je découvre ça et décide de l’annoncer chez moi car j’aime bien aider les nouveaux. Je suis altruiste : le nouveau blog n’est pas encore connu de Wikio. C'était d'ailleurs le 2000ème billet de ce blog. Ca mérite bien un apéro.

Je vais le refaire : voila l’adresse du nouveau blog de Didier Goux, garanti non fasciste, non nazi, nettoyé des relents nauséabonds, etc... Soyez rapides, j’ai l’impression qu’il va disparaître rapidement.

Etant d’une politesse exemplaire, je lui ai envoyé un mail :

« Mon cher Adolphe,

Pour vous aider à lancer votre nouveau blog, j’ai eu le plaisir de faire un petit billet pour l’annoncer dans mon blog « Partageons nos agapes », comme il est très zinfluent, vous devriez avoir ainsi des centaines de milliers de visites.

Je vous souhaite un bonne nuit, pleine de beaux rêves, par exemple avec des immigrés reconduits à la frontière ou l’uniforme rétabli à l’école ou le rétablissement de la messe en latin. Ou des pouffes nues et velues.

Votre dévoué,
Nicolas »

N.B. : Didier Goux est un pseudo, dans l'intimité, je l'appelle par son vrai nom.

Toutefois, je n’ai reçu aucune réponse, ce qui m’inquiète ou prouve qu’il n’est pas encore levé tellement il était saoul. D’ailleurs, il n’a trollé aucun de mes billets débiles d’hier soir et n’a pas encore fait une plaisanterie idiote dans les commentaires de mon billet politique d’aujourd’hui. En fait, ses dernières apparitions sont sur son propre blog, ce qui prouve qu’il n’était pas mort vers 23 heures :



Néanmoins, il y a une grave faute de ponctuation puisqu’il a remplacé le point par une virgule. Nous ne lui en voudrons pas.

Quelqu’un a des nouvelles de Didier Goux ?

13 avril 2011

Question de @vallenain : mes relations avec Didier Goux

Dans ma série de billets où je dois répondre à des questions des lecteurs, Vallenain m’interroge sur mes relations avec Didier Goux (notre illustration) mais je ne retrouve plus l’intitulé exact de la question en deux parties (comment on s’est rencontrés et quelles sont nos relations).

Je ne sais pas comment Didier est arrivé sur mon blog mais il a commencé à troller au dernier trimestre 2008 (de mémoire, la date exacte a peu d’importance). Il commentait avec son ton habituel, fort cordial et ironique, à tous moments de la journée ce qui m’énervait un peu mais sans plus.

Le soir, par contre, son ton devenait de moins en moins cordial et ses commentaires de moins en moins ironiques et compréhensibles.

Grâce au génie qui me caractérise, j’ai fini par comprendre que ce gars-là avait probablement tendance à picoler un peu trop, ce qui dans mon esprit n’est pas blâmable.

Du coup, dans un moment de lucidité, nous avons commencé par vérifier ça par un échange de mail qui m’a conduit à lui proposer de venir boire un coup à la Comète.

A part notre goût commun pour les boissons à base de houblon et surtout de céréales fermentées, nous étions tellement différents, lui, le facho lettré, et moi, le gauchiste abruti, que nous étions faits pour nous entendre. Et ça dure.

Où en sont nos relations, me demandait Val. Cette question est particulièrement intime. Je vais donc donner une leçon de morale à Val : ce genre de question ne se pose pas dans un coin public. Ainsi, je refuse de déclarer en public que je considère cette outre comme mon ami, de même d’ailleurs que sa délicate épouse qui n’a rien fait pour mériter ça, la pauvre. Je suis même parti une fois en week-end avec eux chez la Mère Castor et Fidel Castor. Mais faut pas le dire aux blogueurs gauchistes. Surtout qu'on avait bu du vin et de la bière, mettant en risque nos réputations réciproques.

Cela dit, je vais rassurer Val : il n’y a rien de sexuel dans nos relations. Didier préfère Tonnégrande, d’après la rumeur.

06 février 2011

Sans commentaire

J'aime bien les chaînes de blog. Le thème de celle-ci, que je lance devant vos yeux ébahis : toi aussi diffuse cette photo de Catherine et Didier Goux et demande toi quel est le rôle du lascar de droite dans leurs relations. Sont tagués :
58 sites ont fait des liens sur http://aubistro.com depuis le 2011-01-01
Carnet de notes de Yann Savidan

La Maison du Faucon

Zette And The City

Du petit monde de Gildan

Chez El Camino

100 000 V

Au comptoir de la Comète

A perdre la raison

Lyonnitude(s)

Saint-Pierre-des-Corps, c'est où ça

Gularu #Blog

Entre Musique et Politique

Virginie B

Bah !

Unhuman

Partageons l'addiction

Philippe Méoule

Le grumeau

Fattorius

Les Peuples du Soleil

La revue de Stress

Les divagations NRV de cui cui fit l'oiseau.

Météo Mulhouse

Engagée

[Unhuman]geek

Le blog de Laurent Grandsimon

Les trucs de Myrtille

Partageons mon avis

des pas perdus

Les coulisses de Sarkofrance

Croque madame

Chroniques d'une Chocoladdict

Je n'ai rien à dire ! et alors ??

Mon avis t'intéresse

Monsieur Poireau

Chez Homer

Le Blog de Gabale

A toi l'honneur

Les privilégiés parlent aux Français...

Un raleur de plus

Sète'ici

Moi, je

MINIJUPE

Le blog de Rébus

Annexe de Yann Savidan

le blog de doudette

C'est juste histoire de dire

j'suis une peste et j'assume

le blog vaguement littéraire de dedalus

Fidel Castor

Nectar du Net

le blog d'une femme de sportif

Le grenier du Faucon

CREAPAGE

Sourires et soupirs de Jeffanne

2yeux2oreilles

Désirs d'Avenir 77 Crécy

FOLIO DU BLANC-MESNIL

Liste générée à partir des infos du Top Blog Wikio par le Jegounotron

26 novembre 2010

Demandez le véritable billet à la Nicolas J


Ce rendez-vous était fixé de longue date, quand nous avons eu l’immense joie de découvrir que nous étions voisin et aurions l’occasion de vider quelques verres ensemble à midi. Je lui avais proposé une date proche, c'est-à-dire, aujourd’hui, dernier jour de la semaine de travail.

Ce matin, il me contacte pour confirmer cette séance de relaxation dans la mi-journée et je lui envoie un mail dont j’ai le secret : « dis-moi où et quand. »

Et j’attends toujours la réponse.

N.B. : C’est en faisant ce genre de billet, moi, que je me rends compte qu’il n’y a pas beaucoup de liens vers PMA, ce mois-ci. Au boulot, bordel !

22 octobre 2010

Ils sont bien capables de dire oui...

Je les imagines titubant entrant dans l’église, Catherine au bras de Bergotte, Didier à celui d’Elstir, émus comme des premiers communiants, tremblant comme s’ils avaient abusé du Muscadet la veille au soir.

Ils vont se rapprocher de l’autel (l’histoire ne dit pas s’ils finiront à l’hôtel). Le curé va dire quelques conneries (je ne suis pas très habitué à ce genre de cérémonies, répugnant généralement à entrer dans les églises) et terminer par des questions auxquelles ils vont répondre « oui » sauf s’ils changent d’avis.

Car ils se marient demain, les fous. Après une vingtaine d’années de période probatoire où ils ont constaté leur compatibilité (Didier conduit à l’aller et Catherine au retour).

Ils vont alors s’embrasser comme des adolescents boutonneux puis se diriger vers le banquet où 350 convives, tous estampillés réactionnaires 100%, les attendront pour prendre une cuite mémorable.

Amen.

10 juin 2010

Wanted DG

Avec l'esprit civique qui nous caractérise, nous répondons à la demande de la police : oui. Nous savons où se cache ce dangereux terroriste breton, au visage buriné par des années de navigation et de 1664. Nous allons le dénoncer immédiatement. Il s'est rasé et se fait appeler Michel B.

29 mai 2010

Non ! Entre Didier Goux et moi, ça n'est pas sexuel !

Mais je l'aime bien, ce vieux con aigri (moins que Champignac, hein !). Il réuni tellement de facettes  négatives que je devrais le détester et envisager de l'empaler sur le champ malgré ma profonde sympathie tous ces instruments de torture rigolos. Tous les mois, l'andouille publie un journal. Tiens ! C'est ici que ça se passe. C'est très intime et il faudrait qu'un blogueur soit salement un enculé (probablement homophobe) pour en faire la publicité.

Savez quoi ? Ca fait le deuxième mois de suite que lors de la publication mensuelle, je l'ouvre uniquement pour voir comment le crouton parle avec affection de moi alors qu'il  devrait appeler les foules à me lyncher vu que je suis un exécrable gauchiste.

J'ouvre son billet (comment peut-on ouvrir un billet ? C'est grotesque). Je tape CRTL+F puis Nicolas. Je vois mon nom. Je lis. Je vais au suivant. Je lis chaque phrase où je suis cité. Après, je referme le billet et je viens le lire quand mon temps de cerveau disponible est au top, un peu comme pour les billets de Dorham, au temps de sa splendeur.

Mais n'y allez pas. C'est trop intime. Et si vous buvez autant que lui pendant qu'il rédige, vous pourriez sortir saoul comme un polonais. Xénophobes tels que je vous connais.

09 avril 2010

Conach toi-même, Didier Goux !

Comme beaucoup de brave gens tétanisés par l'arrivée de spams d'origine étrangère ET douteuse, Didier Goux a activé le dispositif antispam de blogger, la célèbre "vérification des mots".

J'aime bien commenter chez Didier. Pendant qu'on s'engueule sur Partageons Mon Avis à propos de l'immigration clandestine, de la politique fiscale et des hémorroïdes de sa grand mère, nous devisons dans les commentaires, chez de chose et d'autres.
Quand son machin a commencé à m'insulter !

11 mars 2010

Les blogs ne serviraient à rien si on n'y racontait pas les cuites des copains

Didier Goux s’est fait épiler le maillot pour se faire poser des stents mais il s’est fait pousser la moustache. C’est la seule chose que je souhaite vous narrer de la soirée d’hier.

Nous étions bien, en terrasse, Catherine, Didier, Christian Le Poissonnier et moi. On aurait dit une de ces soirées de la fin d’été (la terrasse de la Comète est chauffée), avec cet éclairage spécifique et cette zénitude (la Comète est magique).

Je suis sorti une petite dizaine de minutes pour passer un coup de fil et quand je suis revenu, j’ai constaté que Didier était beaucoup moins bavard que d’habitude. Il faisait la moue, toujours la moue, dès que Christian disait quelque chose. Catherine m’a dit : « Il est temps que je ramène Didier ». J’ai confirmé.

L’illustre Tonnégrande est arrivé et nous avons changé de table. Tonnégrande m’a regardé, écarquillant les yeux, l’air de dire : « Mais, dis-moi, il ne serait pas totalement bourré, le gros ? ». J’ai confirmé.

Alors Catherine a enfilé son manteau, en bon chef de meute. La meute a suivi. Embrassades et au revoir.

J’ai proposé à mes coreligionnaires de nous retrouver au comptoir où nous ont rejoints Djibril et le Vieux Joël. Didier est revenu, s’affalant sur le comptoir, toute la fierté de l’ivrogne rejaillissant de cet être intrépide ! Il a rebu une bière. Je lui ai demandé : « Heu… Vous avez fait quoi de Catherine ? » « … » « Vous vous êtes engueulés ? » « … heu … ouais, peut-être… ».

Quand j’ai compris qu’il était trop tard, j’ai empoigné mon émetteur de SMS : « Heu, Catherine, je fais quoi du gros ? » et elle m’a rappelé quelques quarts d’heure plus tard, le temps de retrouver la riante Normandie. Elle m’a confirmé l’engueulade. Je ne peux pas vous dire de quoi il s’agissait. Sauf si vous insistez. Ah ! Vous insistez. Didier voulait conduire mais ne le dites pas à la gendarmerie et à ses toubibs sauf à son proctologue, le seul qui, prochainement, pourra retrouver le permis de conduire de Didier.

Je discutais avec mes camarades pendant que Didier causait avec le patron qui lui a dit, à un moment : « Tu es un gros con ». Je ne peux pas vous raconter la réaction de Didier mais il le faut pourtant pour que vous compreniez pourquoi il est tricard à la Comète dorénavant : il a jeté son verre de bière (que j’ai payé, d’ailleurs, ça frise l’outrage) à la tronche du patron qui n’a pas du tout aimé.

Je me demande pourquoi.


04 mars 2010

Vous connaissez la différence entre un thermomètre anal et un thermomètre buccal ?

Nous savons tous que Didier Goux est profondément taré. Par exemple, il n’hésite pas à venir à la Comète avec son épouse même quand il sait à l’avance que Mohamed Grodem et Tonnégrande seront là.

Dès fois, je me demande s’il n’a pas tendance à confondre son foie avec son cerveau.

Vous connaissez sa dernière ? Il vient de faire le billet le plus inutile de l’histoire de la blogosphère. Un peu comme si je rédigeais un papelard pour vous informer que j’étais à la Comète hier soir.

12 février 2010

On a retrouvé Didier Goux

Pour laisser un commentaire con en réponse à un de ses billets, j'ai cherché Didier Goux avec gogole. J'ai trouvé ceci :


Ca se passe sur le site du Parti de l'Innocence : "Le Parti de l'In-nocence est constitué autour des valeurs de civisme, de civilité, de civilisation, d'urbanité, de respect de la parole et d"in-nocence". L’In-nocence est une vertu ; comme telle elle consiste à sans cesse s’évertuer. Elle est, par nature, politique. Son Parti propose une voie à ce jour inexplorée, au-delà des clivages traditionnels. Il est convaincu de l’urgence qu’il y a à la défricher. "

Didier devrait se retourner dans sa tombe.

29 janvier 2010

Moquons-nous les uns des autres

 
Didier Goux était très fier de son blogannexeaveclirremp sous prétexte qu'il est dans 5ème au Wikio Animaux ! Il ne manque pas d'air. Il me fait penser aux ministres qui annoncent fièrement que le chômage monte vite qu'avant donc on a gagné. En fait, le blog en question est en baisse dans ce classement.De nous laissons pas enfumer par la communication réactionnaire.