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01 avril 2010

Le petit Nicolas à la caisse d'Auchan Okabé

Il faut bien que je vous narre le complément de ma visite d’hier, chez Auchan Okabé, dans un billet mémorable qui contient le célèbre paragraphe :
« Comme je suis lu par un tas de gonzesses (et qu’il serait idiot, pour un billet de fin de mois, de ne pasfaire un billet avec plein de liens), je vais raconter ce que j’ai acheté pour ce moment historique : ma première visite à Okabé. J’espère que le patron de Okabé va être content (j’espère que je ne me suis pas planté dans les liens et surtout que je n’ai oublié personne, à la lecture d’une URL, ce n’est pas facile de savoir à « quel sexe » on a affaire). »

J’ai un peu merdé hier puisque je vous ai raconté la fin. D’ailleurs, je tiens à signaler à mon aimable lectorat que j’ai acheté, en fait, quatre cravates à chier et non pas trois. Je l’ai remarqué ce matin en « déballant » la dernière pour l’essayer. Oui ! J’essaie toutes mes cravates à chier. Les 4 sont parfaites. Sauf que, comme souvent, elles ne sont pas assez longue : le petit bout est très court. Ou alors j’ai un très gros cou. Ou alors un trop gros ventre. Je n’attends pas de consolation de votre part, merci.

Ainsi, en arrivant à Okabé (bordel, quel nom con !), j’ai croisé mon maire qui distribuait des tracts pour les Elections Régionales de la semaine précédente. Il lui restait un stock et il rechigne à gaspiller (non, je plaisante, il distribuait des tracts pour remercier les électeurs de lui avoir apporté leur confiance, les braves gens. On a un maire très sympathique qui remercie beaucoup les gens et offre des repas au vieux : il est réélu systématiquement).

J’ai ensuite fait le tour des trois étages de galeries marchandes sans trouver aucun magasin qui m’intéresse, la brasserie n’étant pas encore ouverte, je crois. Sans doute que les gonzesses que j’ai mises (en lien plus haut) trouveraient leur bonheur.

J’ai donc filé dans le magasin, par le deuxième étage et fait un tour rapide. C’est bien, c’est visiblement pas cher. Il y avait des télés encore plus grande que la bite de Tonnégrande la bite de Djibril ça, pour la modique somme de 700 euros. Je n’en ai pas achetée.

Par contre, comme je le disais hier, j’ai acheté quelques trucs.

Au fait ! A l’entrée du magasin, ils distribuaient des lecteurs de codes barres. Vous cliquez sur les articles que vous avez choisis et que vous mettez dans votre caddy. Et hop ! Arrivé à la caisse, vous vous en sortez en trente cinq secondes, juste le temps de payer. Je suppose qu’il y a quelques contrôles… C’est génial. Ca va générer plein de chômage de caissières mais aussi supprimer des boulots très chiants.

Je n’en avais pas pris, il fallait s’enregistrer auparavant.

A la caisse automatique, après au moins 25 minutes de queue, j’ai passé mes produits devant les codes barres mais les cravates avaient un dispositif antivol qu’il fallait enlever pour lire les codes barres. Un bordel ! Obligé d’appeler une caissière qui a enlevé le machin et me l’a redonné pour que je le colle devant le lecteur, en prenant bien soin de vérifier que je le faisais bien. Cravate par cravate. Vous parlez d’un bordel ! La dame prend une cravate, enlève le machin, me ramène la cravate, vérifie que je la passe bien puis prend la suivante. 10 minutes, j’ai mis pour passer 7 articles à la caisse automatique. 8 avec le sac à 3 centimes.

Je ne savais pas que le sac était payant. Mais comme il l’est, il faut le poser sur le plateau après l’avoir scanné sinon, il ne valide pas le truc. Après j’ai passé ma carte dans le machin, et j’ai récupéré le sac, le temps que la carte soit lue, avant de saisir mon code, pour commencer à le remplir. La machine a vu qu’il manquait un article (10 grammes en moins) et a arrêté le paiement. Comme je n’y comprenais rien, il a fallu que j’appelle la petite dame qui s’était occupée de mes cravates. J’ai alors compris pourquoi elle semblait déjà fatiguée 2h30 après l’ouverture du magasin.

Véridique…

Et si j’avais fait la queue à une caisse normale, je serais arrivé à l’heure à l’apéro.

31 mars 2010

Le petit Nicolas visite Auchan Okabé

Je sais bien. J’ai manqué à tous mes devoirs. Je n’ai pas raconté ma visite du nouveau Centre Commercial Auchan Okabé au Kremlin-Bicêtre. C’était samedi matin et j’avais pourtant l’œil vaillant.

L’entrée principale, la seule entrée possible pour les piétons, est très loin du métro (et donc de chez moi, étudiez un peu la géographie locale avant de me poser des questions débiles). Ca m’a énervé. Ce n’est pas que je sois fainéant, mais c’est con d’avoir un Centre Commercial à 200 mètres de chez moi et de devoir faire 400 mètres pour y arriver, non ? Il faudra que je fasse une pause au Jean Bart, pour me remettre !

Les architectes ont oublié de penser aux braves gens qui viennent en métro et qui repart avec des courses lourdes. Ce n’est pas bien. Et pourtant, il y a du monde ! C’était un bordel samedi matin ! Une foule… Et tous les gugusses que j’ai vus qui ont été voir le magasin ont fait le même constat. J’avais acheté six articles et j’ai mis 35 minutes à passer les caisses rapides. J’avais pris mon mal en patience sinon je serais arrivé trop tôt pour l’apéro et je n’avais pas envie de boire un café. Il m’aurait fallu boire un Perrier ou truc comme ça, ce qui aurait nuit à mon image de marque.

Comme je suis lu par un tas de gonzesses (et qu’il serait idiot, pour un billet de fin de mois, de ne pasfaire un billet avec plein de liens), je vais raconter ce que j’ai acheté pour ce moment historique : ma première visite à Okabé. J’espère que le patron de Okabé va être content (j’espère que je ne me suis pas planté dans les liens et surtout que je n’ai oublié personne, à la lecture d’une URL, ce n’est pas facile de savoir à « quel sexe » on a affaire).

Ainsi donc, j’avais acheté 6 articles. 3 cravates à chier, un drap de dessous, une housse de couette et une taie de traversin.

Tout s’explique.

D’une part, j’étais arrivé au bout de mon stock de cravates à chier mettable. Il me reste bien des cravates à chier mais elles ne sont pas mettables car elles sont tâchées. J’ai horreur de faire nettoyer des cravates : payer 5 euros pour laver un truc qui en vaut 20 mais ne devrait en valoir que 10 me débecte. Je ne suis pas rapiat, pour autant. C’est une question de principe. Par contre, j’ai une réputation de blogueur zinfluent gros frisé avec une cravate à chier à entretenir. J’ai donc acheté trois nouvelles cravates à chier.

D’autre part, j’ai l’habitude de laver mes draps « dans la journée », le week-end. Ca permet de faire une rotation sur un seul jeu et d’éviter le pénible pliage préambule au rangement qui nécessiterait presque un repassage pour éviter de prendre de la place dans l’armoire alors que les machins seront à nouveau froissés dès la première nuit passée dedans. Donc, avant de sortir, le matin, j’enlève les draps et les mets dans la « machine à laver séchante » dont au sujet de laquelle je vous ai déjà parlé. Et hop ! Avant de faire ma sieste, je remets les draps secs tous chauds sur mon lit. C’est le bonheur.

Mais le bonheur a des limites. Il y a trois semaines, j’avais oublié de régler le séchage, comme un con. Pour la sieste, donc, j’ai du prendre des draps dans l’armoire : misère ! J’avais oublié qu’il ne me restait plus qu’un jeu mais dans une espèce de matière synthétique à laquelle je suis à moitié allergique.

Quand j’étais petit, j’étais allergique au plastique. Du coup, quand j’allais aux toilettes, il fallait que je fasse gaffe sinon je choppais plein de boutons sur les fesses. Mais on s’égare : je ne vais pas mettre une photo de mes fesses dans le blog.

Maintenant, je suis moins allergique et si j’ai parfois des boutons sur les fesses, c’est pour des raisons qui m’échappent. Mais il reste cette paire de draps. Je ne sais pas pourquoi. Du coup, une semaine après, j’avais un tas de boutons sur les jambes mais pas sur les fesses, ne dormant pas à poil. J'aurais du acheter des draps auparavant, mais on ne peut pas penser à tout non plus hein ! J'avais oublié que j'avais troué la paire précédente.

Ne voulant pas reprendre le risque, j’ai donc décidé d’acheter des draps neufs ce qui ne ruinera pas mon porte monnaie. Avec les cravates à chier, j’en avais pour 115,43 euros. Cette somme est aisément explicable. Tous les produits finissent par 9€90, visiblement, dans ce magasin. S’ils avaient fini par 0€00, ça aurait été moins bon pour l’apprentissage du calcul mental par nos citoyens mais ça aurait été plus pratique pour estimer précisément le prix des courses. Et les sacs Leclerc qui s’appellent autrement chez Auchan coûtent trois centimes. Je ne vois pas l’intérêt. Je vais en acheter plein : c’est moins cher que les sacs poubelles.

Mais ils ne sont pas très solides. J’ai écorné le mien avec l’emballage de la housse de couette. Il a donc fallu que je porte mes courses dans mes bras. Du coup, j’ai fait une pause à l’Aéro.

Je vous raconterai le reste de la visite ultérieurement. Faites y moi penser. Je pourrais en faire une semaine de blogage.