16 septembre 2007

Spécialiste de la bière sans alcool

Je suis réconcilié avec la bière sans alcool !

La bière sans alcool est un truc qui doit exister depuis une vingtaine d’années en France, la première connue étant la Tourtel. J’en ai un souvenir abominable : un truc immonde qui voulait ressembler à la bière. Un peu après est sortie la Buckler qui dans ma mémoire était moins immonde mais pas géniale !

J’avais complètement laissé de côté ses produits : si on aime la bière et qu’on a soif mais qu’on ne peut pas prendre d’alcool, on ne boit pas de bière. Basta !

Quand ne doit-on pas boire beaucoup d’alcool quand on est célibataire ?

Petit 1 : quand on conduit. C’est évident. J’ai été échaudé une fois il y a bientôt dix ans. Je ne fais plus le con ! C’est presque maladif chez moi… Dès que j’ai bu trois verres (vu ma corpulence ce n’est pas beaucoup !) et que je prends le volant, je m’imagine déjà finir la nuit au poste.

Petit 2 : quand on doit prendre la route le lendemain. D’une part, beaucoup de gens sous-estiment le temps d’assimilation de l’alcool (si vous vous couchez avec 2 grammes à 11 heures du soir, à 9 heures du matin, il en restera 1, c’est presque mathématique : il y a ainsi beaucoup de gens qui sans s’en rendre compte ne désaoulent presque jamais !). D’autre part, la gueule de bois n’est pas une condition idéale pour conduire.

Petit 3 : quand on est sous antibiotiques. Contrairement à ce qu’on pense, ce n’est pas totalement incompatible mais les effets des deux se cumulent. Il faut faire gaffe. Attention à la gueule de bois et proscrire tout alcool fort.

Petit 4 : quand on a une visite médicale le lendemain. ça augmente la tension et le stress et les saloperies dans urines. Sans compter que puer de la gueule n’est jamais un signe positif pour le toubib.

Petit 5 : quand on a une réunion importante le lendemain. Pour les mêmes raisons (bien que les saloperies dans urines soient moins importantes).

Petit 6 : quand on a prochainement une prise de sang.


Quand je ne voulais pas boire beaucoup d’alcool, je buvais du panaché blanc (un tiers bière, deux tiers limonade). J’aime bien le panaché. Mais ce n’est pas génial pour la digestion. Notamment quand j’avais la voiture, je buvais exclusivement du panaché.

Il y a presque deux ans, Le Vincennes à Loudéac a commencé à mettre de la Free à la pression. La Free est la bière sans alcool de chez Amstel. Il y a un an, j’ai commencé à en boire, ce n’est pas mauvais du tout ! Si on boit un demi après une Free on remarque la différence, sinon, ça se laisse boire !

Depuis une semaine, je suis sous antibiotiques. La Comète faisant des Free à la bouteille, j’ai commencé à en boire. J’ai éclusé le stock. Je suis ensuite passé à la Buckler. Je révise mon sentiment exprimé en début de billet : ce n’est pas mauvais. La Comète étant fermée le samedi, hier soir, je suis passé à la bière sans alcool de chez Kronenbourg à l’Aéro : ce n’est pas mauvais non plus !

Je suis réconcilié ! Je pense que sur les trois citées, la Free est la meilleure mais on ne va pas discuter des goûts et des couleurs.

J’adopte ! Si un type qui se prétend amateur de bière me traite de con pour cela, j’accepte de faire un concours d’amateurisme de bière… Avant de dire des conneries, renseignez-vous avant ! Par exemple, auprès de Tonnegrande qui ne manquera pas de faire des commentaires ci-dessous avec la finesse qui le caractérise.

Il n’y a pas que la quantité, la qualité compte aussi ! Je connais des imbéciles qui préfèrent la Leffe à la 1664. C’est complètement con ! « Qui préfères-tu ton père ou ta mère ? ». Comme question c'est du même tonneau alors que les bières ne le sont pas !

J’en ai vu un boire de la Pelforth Brune bouteille dans un bistro qui servait de la Pilsen Urquell pression ! Il y a de ces cons… A La Chope, à Loudéac, ils servent en bière de base de la Paulaner ! J’ai entendu une fois un client gueuler parce qu’ils ne servaient pas une des trois traditionnelles bières de base des bistro (Pelforth blonde, Kronenbourg ou Amstel). Des fois, je me demande s’il ne faudrait pas penser à rétablir la peine de mort.

Revenons à la bière sans alcool…

Les processus de fabrication ayant changé depuis 20 ans, il faut revenir sur nos a priori ancestraux. Les industriels sont parvenus à mettre au point des produits tout à fait honorables qui ont réellement le goût de la bière. Je pense, sans en être sûr, que les premières bières sans alcool étaient faites à partir de bière normale à laquelle on retirait de l’alcool par différents processus : c’est con, mais c’est aussi l’alcool qui leur donnait leur goût, alors que maintenant, ils sont arrivés à produire des trucs avec le goût de la bière !

Attention néanmoins sur trois points :

Petit 1 : il s’agit probablement de saloperies chimiques pleines de sucre qui ne sont pas nécessairement très bonnes pour la santé !

Petit 2 : la bière sans alcool est beaucoup moins digeste que la bière normale. Les maisons Amstel, Kronenbourg et Pelforth sont florissantes par rapport aux autres marques de bière car elles ont conçu des bières qui peuvent se boire sans limite (ou presque). Ce n’est pas le cas de leurs produits sans alcool !

Petit 3 : certaines bières sans alcool en ont en fait un peu ! Moins de 1%. Si l’alcool vous est totalement interdit, c’est à proscrire. C’est notamment le cas quand vous avez décidé d’arrêter de boire tout alcool, ce « moins de 1% » continue à vous rendre dépendant !

A ce propos, sur les étiquettes de la Free, ce n’est pas marqué « 1% d’alcool », contrairement à la Kronenbourg et à la Buckler. Pourquoi ? Je pose la question sérieusement. La Free a-t-elle réellement aucun alcool ?

15 septembre 2007

Bilan d'étape d'une rage

Quand on a une grosse rage de dents, faut-il en tirer une conclusion sur un blog ?

Je ne sais pas s’il faut, mais on peut ! Je suis à moitié tiré d’affaire : ce n’est pas le tout de se faire arracher des dents quand on a mal, encore faut-il les remplacer, ce qui est probablement plus douloureux pour le portefeuille que pour la mâchoire. On verra ça à l’autopsie comme dirait le vieux Jacques.

Je vais néanmoins en tirer un bilan par pure solidarité avec les millions de types comme moi qui ont une peur bleue du dentiste parce qu’ils ont été martyrisés par des vieilles pleines de poils dans leur jeunesse. Je me rappelle de la dentiste de ma jeunesse : elle était n’était absolument pas comestible, même pour une communion. Ceci est une plaisanterie privée.

On nous traînait chez le dentiste où on attendait une heure ou deux en lisant le Paris Match d’il y a six mois.

Quand on a douze ou treize ans, ce n’est pas le pied : même à plus de 40 j’ai du mal alors que j’arrive toujours à lire le Picsou du petit-fils à ma copine Régine quand elle m’invite en vacances.

Ensuite, le dentiste nous fourrait des machins dans la bouche en faisant bzzz crrrrutch brrrrr. Une horreur. Après on se faisait engueuler parce qu’on ne se lavait pas correctement les dents. Ca, trente ans après, ça continue ! Ils sont rigolos les dentistes à penser qu’on a que ça à faire de se laver les dents à chaque fois qu’on s’est enfilé un demi. Enfin, on se faisait engueuler à nouveau car lors de la prochaine date de libre sur l’agenda de la dentiste, on avait solfège.

A ce stade de cette note, je dois signaler que les dentistes ont bien changé ! Maintenant, on attend pas plus d’un quart d’heure. Et feu « Jour de France » a été remplacé par Gala dans la salle d’attente. C’est le progrès.

Je disais donc que j’allais m’adresser aux millions de glandus comme moi qui ont horreur du dentiste.

Dès la première rage de dents, si elle dure plus de 48 heures, vous allez chez le dentiste. Pendant cette rage de dents, vous prenez un double cachet de Paracétamol 500 (ou un de 1000 !) toutes les huit heures. En gros, vous avez droit à 6 cachets par heure. En début de rage de dent, quand ça fait trop mal, je conseille de les prendre par 2 : ça vous enlève toute douleur puis vous laisse 4 ou 5 heures de répit que vous mettrez à profit pour dormir ou travailler ou boire ou bouffer ou baiser. La faculté conseille de prendre les cachets un par un : elle a sûrement raison, mais ça laisse des moins fortes périodes de répit.

Toujours est-il qu’il ne faut pas dépasser la dose de 6 par jour. On ne va pas jouer avec son palpitant pour une vulgaire rage de dents. J’en connais qui font le fier et qui s’enfilent une boite par jour pour fuir le toubib : ça n’est pas la solution !

La seule solution pour éviter le dentiste, c’est de calmer la douleur en espérant que le mal s’estompe tout seul. Ca n’est que reculer pour mieux sauter… Mais si on peut reculer de 4 ou 5 ans, ça n’est pas mal !

Par contre, ne dépassez jamais les 36 ou 48 heures ! J’ai fait ma rage de dents vendredi de la semaine dernière et de devais aller en week-end en Bretagne… Hé bien ! 72 heures après, je n’étais pas joli-joli à voir !

Comment choisir un bon dentiste ?

Je ne sais pas. Je vais donner un conseil, si vous avez un patron pas trop chiant : allez à côté du bureau, ça sera beaucoup plus facile après. N’oublions jamais : vous rentrez une fois chez un dentiste, vous êtes parti pour 10 ou 15 séances consécutives. Il vous trouvera bien une demi douzaine de caries, sans compter les dents creuses, les dents cassés, les pivots qui pivotent plus, les bridges partis faire le pont, les couronnes mortuaires, …

Ce coup-ci, j’en ai trouvé un rigolo. C’est un atout ! Un peu comme l’accent du cancérologue de Desproges.

Le mien, il bosse dans un cabinet avec deux autres dentistes dont son fils, deux assistantes médicales accortes : elles pourraient être serveuses à la Comète. Les portes restent ouvertes tant qu’ils ne manipulent pas leurs affreux trucs qui font du bruit ! Comme il y a trois dentistes et des horaires précis, il n’y a jamais plus de 2 ou 3 personnes dans la salle d’attente (il y a toujours des urgences !).

Pour l’exemple, je vous cite ce qu’a répondu l’assistante à mon dentiste qui doit bien avoir 70 balais quand il lui maté la poitrine alors qu’elle était assise à côté de lui : « je m’en fous vieux cochon, vous avez dit ce matin à mon mari que vous ne bandiez plus ». Lui : « c’était pour sauver les apparences ». C’est alors que le fils est entré et a dit à la dame : « si papa vous embête, vous me dites, j’appelle maman ».

La franche rigolade !

Juste après, il m’arrachait la dent.

Mais le pire dans la rage de dent, n’est pas la douleur en elle-même, ce n’est pas la déprime à penser que vous ne pourrez pas vous enfiler un demi pendant la durée des antibiotiques, ni elle à penser que vous êtes partis pour deux ou trois mois de traitement, ce n’est pas le sentiment idiot qui suit l’arrachage de dent (vous avez à la fois mal à cause de l’arrachage de la dent et pas mal grâce aux antidouleurs), ce n’est pas le tronche déformée par l’anesthésie, non !

Le plus dur est de supporter ses congénères, ses voisins, ses collègues de bureau, ses relations de comptoirs… Ces 30 ou 40 personnes que vous côtoyez tous les jours et que vous ne pouvez pas considérer comme proches.

Tous vont remarquer votre chique. Tous vont vous obliger à vous expliquer ce qui vous est arrivé alors que vous avez mal à la bouche dès que vous l’ouvrez. Tous vont vous demander tous les jours des nouvelles alors que tout ce que vous voudriez c’est oublier la douleur. Tous vont s’apitoyer.

Tous vont vous dire du type : « Moi, je sais ce que c’est ! C’est arrivé à la belle-fille de mon cousin » ou « je sais ce que c’est, j’ai eu ça aussi, mais comme j’ai bien pris les cachets, je n’ai pas eu besoin d’arracher la dent ».

A ce dernier vous avez le droit de répondre « Connard ! Tu crois que c’est ton cachet qui va décider par où va pousser la dent creuse ou soigner une infection ? ».

Supportez uniquement trois types de remarques. Celles des gens que vous aimez bien, celles de ceux qui se foutent de votre gueule : « Abruti ! T’avais qu’à y aller avant chez le dentiste » et celles de ceux qui vous préviennent sans s’apitoyer « Ah ! Bon Dieu, mon pauvre, qu’est-ce que tu vas en chier ! ».

Comète map

Voilà un nouveau gadget indispensable de la maison google (sorti de béta).

Martine, si tu es perdue. N'oublie pas à l'utiliser.

Lutine, si tu cherches Tonnegrande, n'hésite pas à l'utiliser.

Jim, si tu ne sais pas où aller le matin en te levant, clique sur le lien.

Le mors aux dents

Le miracle s'est produit hier vers 20h20 : les conséquences de l'arrachage de 11h50 ont disparu.

Ca me donne des envies.

Les ennuis ne sont toujours pas finis ! La boule reste là mais peu visible.

13 septembre 2007

Des nouvelles du monde entier ! Fin de série !

Pour des raisons rigolotes, je suis obligé de virer les messages où je parle de mon soucis de santé con (je les remettrai dans 8 jours).

Je vous expliquerai !

12 septembre 2007

Des nouvelles du monde entier (4)

J’ai vu mon dentiste à midi ! On fréquente le même bistro et j’y suis passé ce midi prendre un café après avoir été mangé un hachis Parmentier et un yaourt à la maison.

Je me disais bien que je le connaissais quand je l’ai vu lundi. Avant, je croyais que c’était un petit vieux nécessiteux du quartier ! Il a une autre allure en blouse blanche.

Lui par contre, il m’avait reconnu ! Par contre, ce midi, il a drôlement été surpris de me voir en costar. Lundi, j’étais allé le voir en jean et tee-shirt, tenue qu’il me connaissait habituellement.

Comme quoi, dans les deux cas, l’habit ne fait pas le moine. Je comprends mieux pourquoi il a eu beaucoup de propos visant à me rassurer quant au fait que je serai remboursé à 100 par la mutuelle.

La tenue vestimentaire représentative du niveau de vie ! Il est gonflé mon toubib, lui-même que j’avais pris pour un nécessiteux auparavant ! Il faudra que j’en parle dans Equilibre Précaire.

Toujours est-il qu’il m’a bien reconnu ce midi et a confirmé le dégonflage de ma joue gauche. Je ne ressemble plus à un hamster hémiplégique mais uniquement à un type qui ne va passez souvent chez le dentiste.

« Ca devrait être bon, je vais pouvoir mettre un doigt vendredi » m’a-t-il dit. Devant mon inquiétude, il m’a rassuré : « Pour passer la radio ».

Des nouvelles du monde entier (3)

Je progresse : hier, je ne me suis endormi que deux fois au bureau. Une fois à 11 heures, une fois à 16 heures.
C'est moins que mon collègue Francis.
Mon chef a eu une parole aimable, comme seul un chef peut l'avoir : "Tu devrais pendre un arrêt, ça ne changera pas grand chose". Après avoir compris l'énormité de ce qu'il avait dit, il a bredouillé des explications !
Avec les collègues, on était hilares !
Depuis hier, ou plus exactement depuis mon réveil urinal de 3 heures du matin, je commence enfin à dégonfler. Il est temps ! J'en ai marre de bouffer des yaourts le matin parce que rien d'autre ne passe et du hachis Parmentier deux fois par jour.

11 septembre 2007

Message personnel

A l'attention de Tonnegrande, Franssoit et Filaplomb :

Il y a plein de bêtises à dire en commentaire sur ce billet de Fanette.

Lutine, tu peux y aller aussi. Mais sois sage. Fiso, tu vas pas aimer. Luc, tu es trop jeune et pudique pour supporter. Gaël, non ! Pas toi !

Des nouvelles du monde entier (2)

Bien dormi. Toujours bien enflé (le toubib m'avait prévu : pas de baisse notable avant mercredi).

Je devrais pouvoir bosser.

10 septembre 2007

Des nouvelles du monde entier (1)

Nicolas Sarkozy ayant réclamé de la transparence, je vais l’être totalement pour ce qui concerne mon dentier et mon dentiste puisque ça fait longtemps que je n’ai pas été chez le coiffeur.

En sortant du dentiste, j’ai foncé chez le pharmacien. Je vous déconseille de tomber malade un lundi matin. 2 kilomètres dans le Kremlin-Bicêtre à pieds. Je suis très précis dans ma relation (des faits, pas sexuelle, la transparence, ça va cinq minutes…). Si quelqu’un utilise google et demande « quelles sont les pharmacies ouvertes le lundi matin au Kremlin-Bicêtre », il aura immédiatement la réponse : « il n’y en pas ». Sous prétexte de raconter des bêtises, je rends service aux gens.

J'ai commencé à paniquer. Le toubib avait dit "prenez immédiatement un antibiotique et un autre à midi". Il était 11 heures. Obligé de prendre la voiture pour aller à Villejuif, dans la galerie marchande du Carrefour. Je vous dit ça au cas où vous seriez dans le besoin. Soit Carrefour à Villejuif, soit Tolbiac.

Ensuite, je suis rentré à la maison manger du Chili Con Carné avec du riz puis des crèmes brûlées. La bonne nouvelle avec cette rage de dent, c’est qu’à force de manger des portions individuelles de plats pré-mâchés, je vais perdre 5 kilos dans la semaine. D’autant qu’avec la dose de cheval d’antibiotiques que je dois m’enfiler, à défaut d’autre chose, je ne vais pas pouvoir consommer la moindre bière.

A 12h45, je suis allé au boulot. Impossible de me concentrer. Ce n’est pas que ça fasse mal mais j’ai la bouche ankylosée. Ca fait comme si j’avais une couche de deux centimètres de silicone dans la joue gauche. Mesdames, quand vous vous refaites les seins, pensez aux dommages collatéraux. Et aux effets sur les hommes : ça leur fait penser à une joue lors d’une rage de dents.

J’essayais ainsi de lire un document rédigé par ma collègue Evelyne, celle qui rit quand on la taquine. Impossible. Il fallait que je relise trois fois chaque paragraphe. Ca dissuade. Subitement, en essayant de me reprendre, je me suis endormi.

Je suis rentré à la maison. J’ai essayé de lire un bouquin : impossible de me concentrer. Que je n’arrive pas à le faire pour le boulot, c’est gênant. Pour les loisirs c’est grave. J’ai donc alterné entre conneries sur internet et sieste. Ca m’a rappelé le boulot. C’est bien la peine de prendre des congés.

Parallèlement, j’ai fait le ménage. Une activité physique con est toujours souhaitable quand vous avez une rage de dents. 3 machines à laver, que j’ai faites. La dernière tourne encore.

A 17 heures, je suis allé chez Leclerc acheter de la brandade de morue, du hachis Parmentier et des yaourts. C’était l’heure de pointe. Tout le monde me regardait. Je sentais des sourires narquois au fur et à mesure que je déballais mes courses sur le tapis.

A 17 heures 30, je suis allé prendre un thé à la Comète. Ce n’était pas première fois. Il y a trois ans, j’ai fait une grosse angine et il fallait que je boive un truc chaud. On ne va pas boire du café à 17h30. Je n’aime pas le thé.

A 18h20, je vais publier ce billet sur le blog.

A 18h30, je vais retourner à la Comète : j’ai appelé Jean. Il a contacté immédiatement son fournisseur de Vittel pour une livraison en urgence.