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07 septembre 2009

Le 1880 Café !

Ainsi, le Vincennes, à Loudéac, a changé de patron… Et de nom. Il s’appelle maintenant le « 1880 café ». On se demandait pourquoi 1880 !
Notre enquêteur a trouvé :
« 1880 constitue un tournant dans l’histoire de la bière. Le physicien français Louis Pasteur donnera une tournure définitive au brassage de la bière. Au Moyen Age, le fait de boire n’était nullement perçu comme étant nocif. Au contraire! A l’intérieur des murs des cloîtres, la bière coulait à flots. Dans certains couvents, les nonnes auraient bu plus de cinq litres de bière par jour ou avaient du moins droit à cette quantité! Bier & Gezondheid »
http://www.beerandhealth.com/index.php/articles/fr/cid=5/aid=143/
Vive Pasteur !

29 juin 2009

Soirée de fermeture inaugurale

Je constate que je suis en retard. Je n’ai pas raconté mon week-end en Bretagne. A ma décharge : je n’ai pas eu le temps. Il faut bien que je dorme entre deux sorties et que je travaille pendant les heures de bureau.

La dernière soirée au Vincennes, samedi 20 juin, avait été tardive. Le patron, Yannick, m’avait dit : « Tiens ! J’organise – hips – une fête le week-end prochain, tu as – hips – intérêt de venir ». J’ai répondu : « Tu sais, heu, me taper 880 bornes uniquement pour assister à une fête, ça fait trop ». Il a insisté. Il m’a dit qu’il faisait une fête parce qu’il partait trois semaines en vacances. Je n’y croyais qu’à moitié mais j’ai fait semblant. Une fois qu’il était parti se coucher, j’ai interrogé le fils, Christophe, prêché le vrai pour savoir le faux et vice versa. Mais il est resté muet comme une jeune fille bien éduquée à qui l’on met la main aux fesses. J’ai donc répondu à Christophe : « Bon ! Tu diras au vieux qu’il est hors de question que je me tape de la route sans savoir pourquoi. Si c’est pour boire des bières, je peux aussi le faire à la Comète. Néanmoins, si la raison est importante, comme, par exemple, s’il ferme, je viens en courant ! ».

Christophe m’a dit : je te contacte mercredi par Facebook. Je lui réponds qu’il peut aussi me téléphoner. Avec ces nouveaux réseaux sociaux, on oublie les moyens traditionnels de communication.

Effectivement, dans la semaine, j’ai reçu à la même seconde un SMS du fils et un message téléphoniques du vieux lancé à partir du téléphone du fils. Ils sont très coordonnés dans la famille. Le message téléphonique disait à peu près « Bon ! C’est le vieux con, je pars en retraite et je fais une fête samedi soir à partir de 18 heures, viens et préviens Gilles et Yann ». Le SMS disait la même chose (sans « le vieux con »). Je contacte Gilles et Yann.

Une chose me turlupinait, néanmoins, Christophe avait installé de nouveaux spots dans le bar, je l’avais d’ailleurs vaguement aidé. Je ne voyais pas l’intérêt de faire des travaux dans un bar qui ferme. Je suis perspicace.

Vendredi, en arrivant, je leur dis « Bonjour » et je vois Christophe. « Ca va patron ? ». Il me regarde intrigué. Je regarde les spots. « Ah ! » J’avais éventré le secret absolu.

Le fils prend la succession du père.

La soirée du vendredi fut fort agréable. A cinq ou six, dont le patron, sa fiancée, le fils, nous avons discuté jusqu’à 1h30 en terrasse avant de dire « Hips ! Bordel il est temps de rentrer ». J’étais en effet nase. Il y avait eu la soirée du samedi précédent, la route le dimanche, la fête de la musique le dimanche soir, la soirée Courrier International et République des Blogs le mercredi, à nouveau la route le vendredi… J’ai passé le samedi à dormir.

L’introduction du billet étant terminée, je peux maintenant raconter la soirée. C’était bien. Tiens ! Il faudra que j’en fasse un billet.

31 mai 2009

Elimination de Nadal

La défaite de Nadal est l'occasion de ce moquer des tous les individus visible espagnols, voire colons espagnols. Tiens ! Associons-y tous les amateurs de corridas !

Fêter la défaite de Nadal ? C'est ce que s'apprêtaient à faire les clients du Vincennes, à Loudéac, au moment où je les quittais pour poursuivre ma virée dans Loudéac, afin de recenser les commerces vides pour faire un joli billet politique...

Ils sont fous, ces Bretons !

11 mai 2009

Y'a du sport au bistro !

La fédération de Hand Ball avait refusé de modifier l’heure du match ce qui fait qu’une partie de la clientèle était à la salle des sports de Loudéac, à regarder le mach de hand, voire à y jouer, plutôt qu’au PMU le Vincennes à regarder la finale Guingamp Rennes. Le Vincennes est un bar de sportif. D’ailleurs, j’y vais souvent.

C’était un match de hand très important, le numéro 1 contre le numéro 2 dans cette poule de Nationale 3. Je ne sais pas qui a gagné : j’étais au foot. Il faut dire que le match de foot était au bistro alors que le mach de hand au gymnase.

Les clients sont arrivés progressivement. Les plus fidèles clients étaient pour Rennes car ils suivent le club en ligue 1 et ont même parié qu’il finirait champion. C’est raté. Pour ceux qui s’y connaissent encore moins que moi en foot : il voulait que Rennes gagne, samedi soir, pour que le club puisse participer à une coupe d’Europe. C’est raté.

Ah ah ! Ils étaient fort dépités, en début de match, quand Guingamp dominait largement et ont bien rigolé quand Rennes a marqué le premier but et se moquaient allègrement des supporters de Guingamp qui ont retrouvé le sourire deux minutes après quand Guingamp a égalisé. Puis Guingamp a marqué un deuxième but et moi je rigolais de voir la tête des supporters de Rennes. Qui, beaux joueurs, ont accepté de fêter la victoire d’un club Breton. On n’est pas chauvins ni nationalistes, bordel, mais on a gagné.

09 novembre 2008

Facebook et les maquereaux du Vincennes

N’ayons pas peur de le dire : les nouvelles technologies ont envahi le Centre Bretagne, notamment le Vincennes à Loudéac. Restons ! Le patron de cet aimable établissement est indemne. Il est totalement rétif à tout ce qui est moderne. Même pour le Beaujolais Nouveau, il nous sort des bouteilles datant d’avant le passage à l’Euro.

Toujours est-il que vendredi, un type (Moy pour ne pas le nommer) me dit juste après m’avoir salué : « ton blog a un nouveau fan ». Je précise que les clients du Vincennes ont découvert mon blog il y a moins d’un mois alors que ça fait trois ans que je me fous de leur gueule. De toute manière, je présume que les 10% qui savent lire auront la flemme de lire mes archives.

« Ton blog a un nouveau fan » me dit-il ! « Qui ? » réponds-je. « Un petit journaliste » m’informe-t-il puis il se casse.

Si le petit journaliste passe par ici (il peut d’ailleurs commenter), il verra comment ses copains le considèrent. Notons que c’est surtout moi qui en prends plein la gueule. En effet, je suis un gros blogueur politique zinfluent, numéro un au classement des gros blogueurs politiques zinfluents, qui n’aspire qu’à être repéré par les journalistes du Monde, de l’Equipe, de Libération voire du Figaro. Apprendre que le seul journaliste fanatique de mes écrits, et encore, probablement pas pour le blog politique mais pour le blog conneries de bistros (pour lesquels il n’existe aucun classement), a en charge une partie de la page « Loudéac » du Télégramme de Brest ou de Ouest France ou du Courrier Indépendant a un côté désespérant.

Ou alors c’est le gars qui tient ce blog qui est premier au classement des blogs de résultats sportifs en Centre Bretagne. Dans ce cas, c’est un honneur.

Ensuite, le patron du Vincennes m’informe qu’un autre blog parle de son bistro. Il appelle son fils, Christophe, pour en avoir le nom. Je finis par comprendre qu’il s’agit de Facebook. Moi aussi, j’ai un compte Facebook. Je renonce à expliquer au patron à expliquer ce qu’est Facebook.

Je savais que Facebook était arrivé à Loudéac. Il y a un mois ou deux, j’avais fait la recherche de Loudéac pour voir qui je connaissais. Je n’avais trouvé qu’un seul client du bistro, Cédric. Je l’avais contacté pour qu’on devienne potes. Mais il n’avait probablement pas reconnu la photo de maquereaux qui me sert d’avatar dans ce machin. Il avait donc probablement réagit sainement et s’est dit « c’est quoi encore ce gros con ? » question rituelle pour des andouilles comme moi qui reçoivent plusieurs « demandes d’amitiés » par semaine. Les cons.

Du coup, hier soir, je surprends le Cédric en question en grande conversation avec Christophe, le fils du patron. Ils parlaient de Facebook. Je rigole bêtement. Et je leur dis : « Bon, les gars, la boîte de maquereaux, c’est moi ».

20 octobre 2008

Le Vincennes, à Loudéac, sur Internet !

« C’est toi hips qu’as un site web ? ». Voilà comment un des illustres clients du Vincennes m’a accueilli samedi soir. Ca m’apprendra à laisser traîner les mots clés partout.

Le patron savait depuis longtemps que j’avais un blog. Il ignorait que je parlais de lui. Quand je suis arrivé, vendredi soir, il m’en a parlé : la nouvelle a fait le tour du bistro à la vitesse qu’il faut à ce bistro pour vider un fut de bière en temps normal. « Les gars ! Un blog parle de nous ».

Ce n’est pas vrai ! Je ne parle que rarement des ivrognes de Loudéac, étant plus souvent en contact avec ceux du Kremlin-Bicêtre. A propos, je devrais faire deux blogs… Tous les clients des bistros de Loudéac savent que j’habite Bicêtre. Mon anonymat ne dure qu’un temps !

Que pourrais dire sur les clients de Vincennes ? Tiens ! Samedi, Jean-Marie a tenu jusqu’à la fin, contrairement à Tophe et à Moy. Paf ! Ca t’apprendra à lire mon blog pendant des heures que tu devrais consacrer au bistro.

07 septembre 2008

Loudéac, ville morte ?

Une bombe thermonucléaire s’est abattue sur Loudéac. Telle est l’impression que nous avions hier soir, avec Yannick, le patron du Vincennes, sa compagne et moi. Je suis arrivé vers 20h30 et me suis accoudé au comptoir devant une série de mots croisés en instance que m’avait réservés la patronne. Le patron regardait le match à la télé dans le petit salon.

Deux clients sont entrés, ont bu chacun deux pastis et sont repartis. Ce sont les seuls êtres humains que nous avons vus de la soirée.

Après la mi-temps, je me suis assis avec le patron pour regarder la fin du match (quel con, Mexes !). Pendant les « pauses », nous regardions par la fenêtre : pas une voiture, pas un seul client au distributeur de billets du Crédit Agricole, juste en face.

Je suis parti à minuit et demi. Si je n’avais pas été là, la recette se serait élevée à 8€80 (les 4 pastis). Après la fin du match, nous nous sommes remis au comptoir et regardions par la fenêtre. Pas une voiture dans la rue. Pas un piéton. Pas un client au Crédit Agricole. Nous trois, seuls en ville. Mais avec une cave pleine.

21 juin 2008

Une technomachin à Loudéac !

Ma mère est à l’hôpital, non pas pour un cancer de la prostate mais pour une bi-fracture de la malléole. Une fois n’est pas couture, je le raconte dans le blog politique, ces histoires d’hosto me mettent toujours en colère !

Me voilà dont tout seul à Loudéac… C’est triste une maison familiale quand on est tout seul. Surtout quand l’occupant principal se morfond à l’hosto ! Généralement, quand je suis tout seul à Loudéac, c’est que ma mère est en voyage. Je viens donc uniquement pour faire la fête avec les copains. Ce soir, je suis tout seul. Je vais aller faire la fête avec les copains.

Je dois d’ailleurs reconnaître que ça a commencé hier soir. A Loudéac, la fête de la musique est toujours un vendredi fin juin. En Bretagne, pour les fêtes on est très organisés ! La fête de la musique est toujours le week-end qui précède la Saint Jean pour ne pas que les fêtes entrent en collision.

C’est ainsi que hier soir, j’ai donné rendez-vous à mon pote Gilles aux Vincennes et nous sommes allés baguenaudés. J’ai même fait la bise à une future sénatrice socialiste, ma copine Fabienne voulant lui présenter le blogueur qui fait parler de Loudéac…

Puis on est revenus aux Vincennes. Trop de jeunes dans les rues. Et il faut supporter la musique Bretonne.

Vers minuit trente, le patron du Cornouailles, aimable bistro que je fréquente généralement le vendredi soir, débarque au Vincennes.

N.B. : L’orthographe est compliquée. Dit-on « au Vincennes » ou « aux Vincennes » ? Aurais-je du dire « le patron des Cornouailles » ? Mais la question n’est pas là.

Il était avec mon copain Yann et m’avaient attendu toute la soirée, j’avais oublié de les prévenir de mon absence. Une mère à l’hôpital est un bon prétexte. Je l’ai utilisé.

Le patron du Cornouailles était dépité. Une « rave partie » étaient en train de s’installer en face de chez lui ! Du jamais vu à Loudéac. Obligé de boire chez un concurrent à cause du bruit qui l’aurait empêché de dormir.

Quand je suis rentré à la maison à 2 heures et 3 grammes, je suis allé voir. Des dizaines de jeunes débarquaient et s’envoyaient des SMS. Impressionnant !

N.B. : D’après la rumeur, ce n’était pas une fête impromptue mais un rassemble organisé avec l’accord des autorités.

23 novembre 2007

On rigole au Vincennes à Loudéac !

Le client : « un beaujolais nouveau, s’il vous plait »
Le patron : « oui, j’ai du 2003 et du 2004, lequel vous préférez ? ».
Et il sort les deux bouteilles correspondantes !

Tel que je le connais, il doit la faire à tous les clients ! Sauf aux blogueuses émérites.

29 septembre 2007

Bar PMU Le Vincennes à Loudéac

Vous n'y êtes pas. J'en viens.

Il y avait Moy. Etonnant, non ?

Le patron était aimable. Plus étonnant, non ?

16 septembre 2007

Spécialiste de la bière sans alcool

Je suis réconcilié avec la bière sans alcool !

La bière sans alcool est un truc qui doit exister depuis une vingtaine d’années en France, la première connue étant la Tourtel. J’en ai un souvenir abominable : un truc immonde qui voulait ressembler à la bière. Un peu après est sortie la Buckler qui dans ma mémoire était moins immonde mais pas géniale !

J’avais complètement laissé de côté ses produits : si on aime la bière et qu’on a soif mais qu’on ne peut pas prendre d’alcool, on ne boit pas de bière. Basta !

Quand ne doit-on pas boire beaucoup d’alcool quand on est célibataire ?

Petit 1 : quand on conduit. C’est évident. J’ai été échaudé une fois il y a bientôt dix ans. Je ne fais plus le con ! C’est presque maladif chez moi… Dès que j’ai bu trois verres (vu ma corpulence ce n’est pas beaucoup !) et que je prends le volant, je m’imagine déjà finir la nuit au poste.

Petit 2 : quand on doit prendre la route le lendemain. D’une part, beaucoup de gens sous-estiment le temps d’assimilation de l’alcool (si vous vous couchez avec 2 grammes à 11 heures du soir, à 9 heures du matin, il en restera 1, c’est presque mathématique : il y a ainsi beaucoup de gens qui sans s’en rendre compte ne désaoulent presque jamais !). D’autre part, la gueule de bois n’est pas une condition idéale pour conduire.

Petit 3 : quand on est sous antibiotiques. Contrairement à ce qu’on pense, ce n’est pas totalement incompatible mais les effets des deux se cumulent. Il faut faire gaffe. Attention à la gueule de bois et proscrire tout alcool fort.

Petit 4 : quand on a une visite médicale le lendemain. ça augmente la tension et le stress et les saloperies dans urines. Sans compter que puer de la gueule n’est jamais un signe positif pour le toubib.

Petit 5 : quand on a une réunion importante le lendemain. Pour les mêmes raisons (bien que les saloperies dans urines soient moins importantes).

Petit 6 : quand on a prochainement une prise de sang.


Quand je ne voulais pas boire beaucoup d’alcool, je buvais du panaché blanc (un tiers bière, deux tiers limonade). J’aime bien le panaché. Mais ce n’est pas génial pour la digestion. Notamment quand j’avais la voiture, je buvais exclusivement du panaché.

Il y a presque deux ans, Le Vincennes à Loudéac a commencé à mettre de la Free à la pression. La Free est la bière sans alcool de chez Amstel. Il y a un an, j’ai commencé à en boire, ce n’est pas mauvais du tout ! Si on boit un demi après une Free on remarque la différence, sinon, ça se laisse boire !

Depuis une semaine, je suis sous antibiotiques. La Comète faisant des Free à la bouteille, j’ai commencé à en boire. J’ai éclusé le stock. Je suis ensuite passé à la Buckler. Je révise mon sentiment exprimé en début de billet : ce n’est pas mauvais. La Comète étant fermée le samedi, hier soir, je suis passé à la bière sans alcool de chez Kronenbourg à l’Aéro : ce n’est pas mauvais non plus !

Je suis réconcilié ! Je pense que sur les trois citées, la Free est la meilleure mais on ne va pas discuter des goûts et des couleurs.

J’adopte ! Si un type qui se prétend amateur de bière me traite de con pour cela, j’accepte de faire un concours d’amateurisme de bière… Avant de dire des conneries, renseignez-vous avant ! Par exemple, auprès de Tonnegrande qui ne manquera pas de faire des commentaires ci-dessous avec la finesse qui le caractérise.

Il n’y a pas que la quantité, la qualité compte aussi ! Je connais des imbéciles qui préfèrent la Leffe à la 1664. C’est complètement con ! « Qui préfères-tu ton père ou ta mère ? ». Comme question c'est du même tonneau alors que les bières ne le sont pas !

J’en ai vu un boire de la Pelforth Brune bouteille dans un bistro qui servait de la Pilsen Urquell pression ! Il y a de ces cons… A La Chope, à Loudéac, ils servent en bière de base de la Paulaner ! J’ai entendu une fois un client gueuler parce qu’ils ne servaient pas une des trois traditionnelles bières de base des bistro (Pelforth blonde, Kronenbourg ou Amstel). Des fois, je me demande s’il ne faudrait pas penser à rétablir la peine de mort.

Revenons à la bière sans alcool…

Les processus de fabrication ayant changé depuis 20 ans, il faut revenir sur nos a priori ancestraux. Les industriels sont parvenus à mettre au point des produits tout à fait honorables qui ont réellement le goût de la bière. Je pense, sans en être sûr, que les premières bières sans alcool étaient faites à partir de bière normale à laquelle on retirait de l’alcool par différents processus : c’est con, mais c’est aussi l’alcool qui leur donnait leur goût, alors que maintenant, ils sont arrivés à produire des trucs avec le goût de la bière !

Attention néanmoins sur trois points :

Petit 1 : il s’agit probablement de saloperies chimiques pleines de sucre qui ne sont pas nécessairement très bonnes pour la santé !

Petit 2 : la bière sans alcool est beaucoup moins digeste que la bière normale. Les maisons Amstel, Kronenbourg et Pelforth sont florissantes par rapport aux autres marques de bière car elles ont conçu des bières qui peuvent se boire sans limite (ou presque). Ce n’est pas le cas de leurs produits sans alcool !

Petit 3 : certaines bières sans alcool en ont en fait un peu ! Moins de 1%. Si l’alcool vous est totalement interdit, c’est à proscrire. C’est notamment le cas quand vous avez décidé d’arrêter de boire tout alcool, ce « moins de 1% » continue à vous rendre dépendant !

A ce propos, sur les étiquettes de la Free, ce n’est pas marqué « 1% d’alcool », contrairement à la Kronenbourg et à la Buckler. Pourquoi ? Je pose la question sérieusement. La Free a-t-elle réellement aucun alcool ?