La connerie étant le seul chemin susceptible de nous faire entrevoir une parcelle de vérité, utilisons la par des moyens de communication efficaces. Le temps qu'on remplisse nos verres.
31 décembre 2008
Bon réveillon !
Au départ, je devais passer le réveillon avec Renaud, son épouse et leur fille (que vous ne connaissez pas), Djibril, Jim et leurs fils. Stop ! Ce n’est pas leurs fils commun, mais le fils à chacun. Vous avez vraiment les idées mal placées. D’ailleurs, je demande si tous ces gugusses ne me préparent pas un piège : je risque me retrouver avec les trois mômes à garder pendant qu’ils iront partouzer dans Paris (ou dans Villejuif s’ils n’ont plus de sous).
Je crois que je vais tout annuler : ce soir il y a Zac Efron à la télé dans High School Musical 1 et 2 sur M6 ou M7, je ne sais plus. Il y joue avec sa fiancée que j’aime beaucoup car elle me rapporte beaucoup de visites sur le blog : Vanessa Hudgens.
30 décembre 2008
29 décembre 2008
On a retrouvé le Standinge !
Un récent billet sur PMA portait sur une "chaîne" de blogs où il était en particulier demandé de donner un de ses livres favoris. Ma réponse était : "Mon livre favori est le Standinge de San-Antonio. Dire pourquoi est difficile, ça sort du cœur. Je pense que c’est parce que c’est un des premiers San-A que j’ai lu. Prêté il y a une trentaine d’années par un oncle à mes parents, les aléas de la vie étant ce qu’ils ont, on a mis des années à le restituer. L’autre raison est que Béru y est « sublimé »."
En fait, on n'avait pas restitué cette édition "originale" ! Les aléas en question ont fait qu'elle s'est retrouvée dans la bibliothèque de ma petite soeur (il faudrait que je surveille ses lectures !) qui lit mon blog... et me l'a rapportée pour Noël !
Passionnant, non ?
Gros et froid
Je suis presque maso : j’aime bien reprendre le boulot après les vacances… et ça tombe ce matin ! Enfin… quand je dis « j’aime bien », c’est une façon de parler ! Disons qu’on arrive au boulot bien reposé, de bonne humeur et qu’on a oublié les soucis au quotidien, les clients qui gueulent et la production informatique qui plante un serveur en disant que c’est de votre faute…
Pour les vacances de Noël, c’est mieux : aujourd’hui les collègues reviennent de 4 ou 5 jours de fêtes, c’est presque l’euphorie. En outre, la moitié des gens étant absents la semaine dernière, il ne s’est rien passé ou presque ! L’autre moitié étant en vacances cette semaine, il ne se passera rien ou presque…
Il n’empêche ! Quand on reprend un lundi après Noël, il y a toujours un moment d’angoisse : c’est juste avant de remettre le pantalon de costar après une semaine en jean. « Arriverai-je à rentrer dedans ? » L’angoisse n’a pas duré ce matin. La réponse, à ma grande surprise, fut positive. C’est après, en marchant dans les couloirs du bureau que j’ai constaté que le pantalon avait du mal à se maintenir à un niveau normal…
Heureusement que je n’ai pas la visite médicale du travail début janvier.
Après avoir mis le pantalon, j’ai mis ce qu’il est coutume de mettre quand on va au travail. Je dois préciser qu’avant de mettre le pantalon, j’avais mis un caleçon. Ensuite, chemise, chaussettes, cravate, … J’ai bêtement constaté que ma veste n’était pas chez moi, ne pouvant pas, ainsi, d’une part vérifier si elle fermait convenablement et d’autre part achever ma vestimentation qui assure mon élégance coutumière.
Je l’avais oubliée dans la voiture quand j’ai déchargé, la voiture, en rentrant de vacances. Le con.
Ceci est une histoire à suspens. Je vous préviens.
Je mets mon manteau et répugnant à sortir dedans, je sors dehors. Ca caillait les miches. Un froid à vous donner envie de pisser tout en redoutant de passer trois heures à la trouver.
Je fonce au bistro. Café. Croissant. Pas de Parisien : un autre con le lisait. Normalement, le con qui lit le Parisien, le matin c’est moi. Il faudrait que j’achète un bistro pour moi tout seul. Pour lire le Parisien peinard.
Je sors du bistro et j’aperçois ma voiture qui m’attendait sagement comme le labrador attend son maitre quand il a envie de pisser. Je me dis « Tiens, mon poulet, et si tu mettais ta veste maintenant ? ». Il fallait en effet que je le fasse, mon badge d’accès au parking du boulot était dans la poche.
J’enlève le manteau, sur le trottoir.
Me voilà en chemisette par -4° ! Température homologuée par le thermomètre de la voiture. J’ai un téléphone qui prend des photos et une voiture qui prend la température. Le monde moderne. La température extérieure, je précise. Sinon, ça ne rentre pas.
Quatre degrés en dessous de zéro. A l’issue de cette expérience très scientifique : je vous confirme que ça caille.
(image)
28 décembre 2008
Fier de ne rien faire
Par les Sales Majestés... Les discussions du réveillon ravivent des vieux souvenirs !
N.B. : J'associe le libellé "musique" pour faire chier Didier Goux...
N.B. : J'associe le libellé "musique" pour faire chier Didier Goux...
nikez vos reum ile de france defonce paca
Pardonnez ce titre d'une vulgarité que ferait rougir Tonnegrande mais c'est un commentaire qui a été laissé à mon billet du 20 janvier 2008. Les supporters du PSG seraient-ils pires que ceux de l'OM ?
27 décembre 2008
En route, Marcel !
Je ne sais pas si vous avez déjà roulé avec quelqu’un « en convoi » pendant deux cent kilomètres ! Je l’ai fait avec Marcel Le Fiacre, mardi, pour me rendre aux obsèques de Michel, le compagnon de Josiane.
J’avais estimé le temps de route à deux heures, la cérémonie étant à 9 heures, je pensais sage de partir vers 6h30 pour pouvoir discuter un peu avant et faire face à toutes éventualités. Nous étions trois voitures à partir de Bicêtre : Marcel, Roger et moi. Roger est l’ancien proprio de la Comète , c’est lui qui avait embauché Jojo il y a… heu… mettons une bonne trentaine d’année.
Il a préféré partir une demi-heure avant nous. Il a eu raison : il est arrivé une demi heure après.
Si nous avions trois voitures, ce n’était pas pour le plaisir de griller du carburant mais parce que nous en avions besoin.
J’avais donc donné rendez vous à Emilie, Marcel, Jim et son fils à l’aéro à 6h15. Marcel avait gueulé : « C’est trop tôt, tu avais dit 6h30, maintenant c’est 6h15 et nous serons en avance ». J’avais répondu : « Marcel, fait pas chier. On n’est pas à un quart d’heure près, ça nous laissera le temps de prendre un café et de faire face à toute éventualité ». J’ai compris après pourquoi Marcel gueulait : il se lève systématiquement 1h30 avant tout rendez-vous matinal…
Il était convenu que je parle le premier et que Marcel me suive jusqu’au crématorium du Mans (c'était plus simple, j'ai un JPS, pas lui). Deux kilomètres après le départ, il m’a doublé. Comme à cette heure matinale, je ne suis pas joueur, je l’ai laissé (j’ai une voiture de jeune branleur qui m’aurait permis de le laisser sur place mais je ne suis pas comme ça).
Je l’ai donc suivi pendant deux heures, de nuit, avec la circulation matinale d’usage en région Parisienne. Dès l’entrée sur l’autoroute, j’ai compris que ces deux heures seraient pénibles. Si vous connaissez la région Parisienne, vous savez qu’en prenant l’autoroute à Bicêtre pour aller vers
Non ! Marcel roule sur la voie du milieu. Toujours. Quand c’est limité à 90, sa vitesse oscille entre 60 et 90. Quand c’est limité à 130, entre 90 et 130.
Deux heures ! J’ai passé deux heures à suivre sur la voie de droite ou la voie du milieu un type qui roulait en permanence sur cette voie du milieu, parfois se dégageant sur la voie de droite pour doubler.
J’étais bien content qu’il fasse nuit, je me tapissais dans la voiture : personne n’aurait pu me reconnaître.
25 décembre 2008
Savoir vivre
Je crois que j'ai oublié de dire à Tonnegrande que par chez nous, il n'est pas d'usage de se saouler la gueule boire immodérément le jour de Noël quand on mange dans la belle famille de ses enfants. Quelqu'un peut-il l'appeler ?
Bon anniversaire Trublyonne
On peut être blogueuse politique zinfluente et être fainéasse au point de cumuler son anniversaire avec le jour de Noël.
Bon. En ce Noël, soyons indulgents ! Bon anniversaire Trub !
Bon. En ce Noël, soyons indulgents ! Bon anniversaire Trub !
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