La connerie étant le seul chemin susceptible de nous faire entrevoir une parcelle de vérité, utilisons la par des moyens de communication efficaces. Le temps qu'on remplisse nos verres.
18 mai 2015
Le curé n'était plus étanche
16 mai 2015
Des mots pour un mort
11 mai 2015
Salut Marcel !
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Vélo orphelin |
29 mars 2015
Corinne, Roger, Marcel et les autres
26 octobre 2014
Le vieux Roger
09 février 2012
Le vieux Jacques et Marcel le Fiacre
22 novembre 2011
Marcel Le Fiacre est aux Antilles. Chut !
01 août 2011
Marcel voyage
25 juillet 2011
Le Tour de France est mauvais pour le foie du vieux Jacques
25 septembre 2010
Des photos de Justin Bieber pour la peau des fesses
Cet informateur pourrait avoir la politesse de respecter les règles essentielles de ponctuation et les accents afin que je passe moins de temps à recopier son commentaire. Néanmoins il a un blog. Je ne le mets pas en lien, il y raconte des histoires de cuite des gens de Bicêtre. C'est lamentable.
Pour les photos promises dans le titre, vous pouvez toujours cliquer ici.
22 mai 2010
Partageons nos autopsies
20 mai 2010
Billet couillu
28 avril 2010
Le pantalon de Marcel

26 avril 2010
Le portefeuille de Marcel
20 janvier 2010
Marcel est revenu !
03 janvier 2010
Surréalisme véridique
11 octobre 2009
Une toute première fois
J’attendrais d’avoir un âge plus avancé pour raconter la première fois. Dans l'attente, je vais taguer
12 septembre 2009
Comett Show

C’est pour ça, d’ailleurs, que je suis arrivé en retard à
Nous étions fâché depuis la soirée de blogueur du 27 août. Je l’ai déjà raconté mais vous avez peut-être oublié. Je résume : à la fin de cette soirée, le vieux a commencé à rouspéter car les assiettes n’étaient pas assez pleine (alors qu’il était facile de faire la pute et d’aller chercher du rab à la cantine). Comme j’étais l’organisateur de la soirée, cette remarque m’a déplu. J’ai demandé au Vieux de fermer sa gueule. Il a cru que je lui faisais la morale et est parti fâché. Je ne lui ai pas fait la morale mais j’aurais du tenter de lui faire comprendre que quand un type se fatigue à organiser une soirée et qu’elle se passe très bien, on ne critique pas un détail.
J’entre. Je serre la paluche de mes deux loustics et commande un demi. Le vieux sort son porte-monnaie et le paye. Pas un mot échangé à part les amabilités d’usage avec Tonnegrande : « ta journée, ça a été ? ».
Je papote avec lui, Jacques nous ponctuant la discussion de quelques jeux de mot toujours aussi foireux. Il souriait. L’air d’avoir gagné une bataille. Une sorte de monarque regardant son peuple bienveillant.
J’ai immédiatement compris qu’il n’en était pas à son premier verre. J’ai aussi compris un détail : on était le 11 septembre. Les retraites sont versées le 10. Je ne suis pas sur mon blog politique : je peux donc dire des conneries. C’est amusant comment une partie de la population se prend pour le roi du monde lors du versement des prestations sociales. Vers le 4 ou 5 du mois, c’est le sommet, avec le RMI qui tombe…
J’avais rendez-vous avec Emilie et Jim à l’Amandine. Emilie devait m’offrir un verre pour ses 25 ans. Ils avaient fait une grosse soirée, mercredi soir, chez les parents d’Emilie pour fêter ça. L’avant-veille, Jim m’avait demandé si je n’avais pas une idée de cadeau. Je n’en avais pas alors pour rendre service, je lui ai dit : « Une demande en mariage ? ». Il l’a fait, l’andouille. Il m’a appelé, mercredi, alors que je dînais avec un Suisse Zinfluent, au cours de la soirée : « Oui, allo ! » « Hé ! Gros ! Je l’ai fait ! » « Hein ? Quoi ? » « Ce que tu m’as dit l’autre jour. » « Heu… » « La demande en mariage ! » « Ah ! Abruti, je plaisantais ! » « Ah ? » « Oui, enfin, j’espère que je serais témoin ! » « Heu… quoi ? ».
Cela dit, je ne suis pas inquiet : ce n'est pas la première fois qu'il lui fait la demande.
Je suis donc arrivé à l’Amandine, hier soir. J’ai dit à Michel : « Tiens ! Le Vieux est à
J’avais compris : le Vieux avait cru Michel et avait voulu faire preuve de magnanimité en faisant le premier pas. C’est pour ça qu’il trônait, Papy ! Persuadé que je serai reconnaissant. Ca me fait rigoler : on va probablement prendre l’apéro ensemble, ce midi. Il va m’inviter à manger (la retraite vient d’arriver) et je vais lui dire ses quatre vérités… Et lui faire comprendre que c’est lui qui me doit des excuses. Il va se fâcher à nouveau. Pouf pouf.
En début de soirée, quand j’étais avec lui et Tonnegrande au comptoir, ce dernier (mais non, pas le comptoir, Tonnegrande, suivez un peu, bordel !) reçoit un coup de fil sur son téléphone professionnel. Nous fermons immédiatement notre gueule : ça pouvait être son chef qui n’avait pas spécialement besoin de savoir qu’il était au bistro. Nous avons vite compris que c’était Marcel Le Fiacre.
La question n’est pas de savoir comment Marcel dispose du numéro de téléphone professionnel de Tonnégrande mais de savoir pourquoi il l’a appelé, lui, plutôt que, dans l’ordre logique : Jacques, moi puis le téléphone personnel de Tonnégrande. Le vide du crâne de Marcel est rempli de pensées sidérantes.
Marcel voulait parler à Jacques. Marcel voulait savoir qui était au comptoir car il ne veut pas parler à Seb.
Suivez, bordel ! J’ai aussi raconté cet épisode. Ils sont fâchés. Un dimanche midi, quelques semaines avant, nous étions à l’apéro, à
Seb était au comptoir hier soir et Jacques le dit à Marcel. Marcel propose de changer de bistro ce que refuse Jacques qui propose à Marcel de boire un coup en terrasse. Au moment où Jacques raccroche, Marcel arrive. Il s’était caché entre
« Le vide du crâne de Marcel est rempli de pensées sidérantes » disais-je.
Je ne comprends pas pourquoi les gens s'étonnent quand ils voient "Maison de Qualité" inscrit sur la porte de la Comète.
16 août 2009
Marcel est fâché
Je vous raconte (rapidement) : Madame Laurence était au service au comptoir. Seb décide de la remplacer. Mon premier verre avait été payé par le vieux Jacques. Je décide de commander une tournée. Chose absolument incroyable : quand j'étais arrivé, mes deux vieux buvaient du Kir. J'avais décidé de boire la même chose ce qui ne m'arrive strictement jamais. Seb était donc surpris. Il me demande ce que je bois. Je réponds : "un Kir". Il demande à Jacques qui répond : "Un Kir". Tant qu'à faire, il demande à Marcel. Il répond : "Un Kir, bon sang, tu sais bien que je ne bois que ça".
Seb répond : "Non, je ne sais pas, d'habitude tu bois un rouge, je ne savais pas que tu buvais du Kir". Marcel : "Mais, à l'apéro, je ne bois que du Kir, bordel, tu devrais le savoir". Seb, commençant à s'énerver : "Non ! Je ne peux pas savoir ce que tu buvais".
Ma crise de rire m'empêchant de résister, je "sors dehors" pour discuter avec Odette et Henri puis je rentre. Dans l'intervalle (même pas une minute), le patron s'était pointé et engueulait Marcel pour lui faire comprendre que Seb était au boulot et n'avait pas que ça à faire des conneries de Marcel.
Marcel : "Puisque c'est comme ça, je ne le boirai pas, vous ne me reverrez plus". Il est parti. Pour information, j'ai refusé de payer le Kir.
10 juillet 2009
La grosse aux Japonais absents

Pour le reste de la soirée rien de remarquable. A part que c’est la première fois qu’on me téléphone quand je suis à l’Amandine pour aller boire un coup à la Comète. Quand je suis arrivé en courant (il m’avait promis une bière, je ne voulais pas qu’il change d’avis), le fils de l’ivrogne était assis en terrasse à écouter une voisine de table qui racontait sa vie depuis 40 ans à Bicêtre.
Nous avons rejoint le comptoir où nous a rejoint le Grand Loïc et parlé nouvelles technologies. J’ai réussi à leur faire croire que je comprenais tout ce qu’ils disaient.
Le vieux Jacques est arrivé avec sa Grosse, sortant du restaurant Japonais. Ils ont croisé Marcel. Quand Marcel a compris (en la rattrapant) que la Grosse était pleine, il a prétexté l’achat d’une pizza pour s’échapper…