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03 août 2009

Les vacances continuent, les photos aussi...

Après les photos du Mont Gerbier de Jonc, de Vaison La Romaine, du Mont Ventoux, Du Pont du Gard, d’Uzès, d’Arles et de Marseille, voilà les photos des Saintes Maries de la Mer (bof), de La Grande Motte (beurk) et de Sauve, dans le Gard (ah !!!).

Excellent récapitulatif qui vous permettra de suivre mon chemin pendant ces vacances (sachant que je n’ai aucune photo de Saint Etienne, de Valence et de Claviers, que j’ai raté les photos d’une courte étape à Aigues Mortes et au Grau du Roi et que j’ai tellement pris de photos du Causse Méjean, de Florac, des Gorges du Tarn et du Canton les années précédents que j’ai préféré m’abstenir cette années !).

Encore merci à la Mère et au Père Castor pour leur accueil hier soir (miam) et cette nuit, à Sauve ! On ne se connaissait pas, à part quelques commentaires respectifs dans nos blogs et surtout chez Didier Goux. Ils ont pris le pari de m’inviter. J’ai dit « tope là ». Eux, je ne sais pas, mais moi, je ne regrette pas !

02 août 2009

Les vacances, les photos, la suite

Après les photos du Mont Gerbier de Jonc, de Vaison La Romaine et du Mont Ventoux, diffusées récemment, voilà la suite, avec Le Pont du Gard, Uzès, Arles et Marseille.

Certaines photos de Marseille sont floues. Tant pis. En fait, j’ai essayé de prendre des trucs de nuit sans flash… et j’ai oublié de vérifier dans le détail si elles étaient diffusables.

A propos de Marseille, j’ai été très agréablement surpris. Je n’étais jamais venu et j’en avais une très mauvaise image, renforcée par quelques billets, comme celui de Suzanne qui avait constaté la saleté de la ville (les copains blogueurs qui étaient avec moi, hier soir, n’ont d’ailleurs pas démenti ce phénomène et nous en avons discuté longuement). Par ailleurs, je voyais le vieux port comme un truc tout petit (alors qu’il est gigantesque) et d’une « configuration » proche de celui de Saint-Tropez (terrasses et pétanque).

Il n’en est rien. Marseille, ou, du moins, la petite partie que j’ai pu voir, hier soir, est magnifique. Ce qui n’autorise pas l’OM a battre le PSG.

Tiens ! Pareil pour Arles. J’imaginais un piège à touristes. Pas du tout (c’est probablement le cas lors des férias). En outre, Rimbus m’a fait découvrir un tas de ruelles sympathiques. J’adhère.

Au cours de mon voyage, j’ai pris très peu de photos du Canton, de Florac et des Gorges du Tarn. Pourtant, j’y ai passé du temps ! Mais j’y vais presque tous les ans.

Enfin, au moment de diffuser ces photos, je me rends compte que je n’en ai prise aucune de Claviers (il faisait très chaud et je suis resté chez Le Coucou).

Néanmoins, puisque vous insistez, je vais illustrer ce billet avec la photo de la Tatin de carottes servie au Canton !

26 juillet 2009

Ah ! Non ! Ba toi !

Ce soir, j’étais attablé, tout seul, dans un restaurant qui convient mieux à ma catégorie sociale que la Comète. Un couple de personnes âgées. Enfin, relativement âgées, pas plus que d’autres mais moins que certaines a posé son postérieur autour d’une table proche. Chacun le sien, de postérieur.

Le serveur leur a demandé s’ils désiraient de l’eau plate ou de l’eau gazeuse. A moi, il ne m’avait pas demandé. Il avait juste demandé si c’était bien la peine qu’il m’amène une carafe d’eau. N’ayant pas été éduqué à déranger le petit personnel, j’ai souris. Il a compris.

Ainsi, mes limitrophes congénères ont avoué qu’ils avaient un faible pour l’eau pétillante. Le serveur, charmant au demeurant mais un peu trop couillu malgré sa voix de gros pédé, a indiqué qu’il avait de la Badoit verte et de la Badois rouge.

Je vous prie de m’excuser par avance, j’ignore l’orthographe de cette décoction. J’étais d’ailleurs tellement surpris qu’il puisse coexister différents types d’eaux gazeuses de la même marque que je n’ai pas pensé à lire l’étiquette. Dieu me pardonnera.

Le serveur a indiqué que la verte était traditionnelle et que la rouge était nouvelle. La dame, dont l’âge m’était toujours indéterminé, a indiqué au loufiat, dont, décidément, la voix ne me revenait pas : « Donnez-nous une Badois rouge car NOUS n’aimons pas la Badoit ».

Nonobstant cet épisode hautement jouissif, j’avais passé une excellente fin d’après midi à visiter les illustres arènes de Nîmes dont les vestiges sont relativement bien conservés, y compris le loufiat en question qui forme une délicieuse Reine de Nîmes. Néanmoins, des sapajous, probablement héroïnomanes, ont transformé ce chef d’œuvre d’architecture traditionnelle en un machin sans nom, au prétexte d’y délivrer quelques spectacles probablement modernes aux yeux de certains mais que nous n’hésiterons pas à appeler « à chier ». Je n’hésite pas, néanmoins, à vous en délivrer quelques photographies, même si je ne dispose pas des riches prédispositions de l’Irremplaçable. Quand je pense que des valeureux Romains ont pris la peine de nous coloniser pour nous apporter LA civilisation.

N.B. : l’épisode du resto est véridique (le NOUS inclus) mais devinez qui je pastiche !

Les photos ! Les photos !

Ca apprendra l’hôtel à faire payer Internet : autant que je leur pique de la bande passante en regardant l’arrivée du Tour (Cavendish vient de remporter le sprint, je peux écrire des conneries). Nicolas Sarkozy a trouvé un prétexte pour ne pas être sur les champs (z'avez-vu, je commence) !

Je ressors ! Un demi à boire et des Arènes de Nîmes à photographier. J’espère qu’il y aura des gonzesses en minijupe sinon les photos auront un air de déjà vu…

24 août 2008

Voila enfin mes photos de vacances

Depuis 2002 ou 2003, je diffuse mes photos de vacances sur mon site web. Depuis 2006, j’annonce cette diffusion sur le blog. 2008 ne déroge pas à la règle… Mais… Il y a du nouveau !

Outre le fait que, contrairement aux autres années, je n’ai rien fait de spécial pendant les vacances, auparavant, le blog était relativement confidentiel et n’était suivi que par quelques personnes que je ne connaissais pas dans la vraie vie. En 2008, Partageons mes âneries est beaucoup plus fréquenté, par des gens qui semblent apprécier mes petites histoires de bistro. Comme quoi, il n’y a pas que le cul qui rapporte. Tiens ! Dédicace spéciale à Romain, dernière personne en date à m’avoir fait des compliments pour ce blog.

Je me doute bien que mes nouveaux lecteurs ne sont pas nécessairement intéressés par tout.

ça ! Je répète : les photos sont pour la famille et les amis. Je ne vais pas, non plus, créer un cinquième blog pour ça…

Voilà les photos de la fête de Josiane. Josiane, la dame en rose, est l’ancienne serveuse de la Comète ! Parti en retraite en décembre dernier, elle a réuni la famille, ses anciens patrons, son meilleur collègue (notre illustration, photo prise le lendemain), ses amis… et son plus sympathique client.

Voilà les photos du barbecue du samedi midi chez Martine et Jean et les photos de leur nouvelle maison.

Enfin, quelques photos de mon escapade en Normandie.

Me doutant que mes lecteurs n’ont rien à cirer des photos, je vous engage néanmoins à voter pour ce billet sur Cozop afin qu’il fasse la Une du journal de 20 heures ce soir, pour faire chier le type qui a laissé un commentaire ici, je cite : « On doit se farcir ces conneries en une de Cozop encore longtemps ? Ecrit par : Henri A - 22.08.2008 »


23 août 2008

Roonnnn

Conséquence de l'apéro ? Je ne sais pas. Impossible de poursuivre ma sieste, les trois cochons ronflent.

Merguez

Campagne = barbecue
Hop.
Remarquez Monsieur Jean qui souffle sur le barbecue à gaz pour attiser les braises alors que nous n'avions pas encore fini l'apéro.

Campagne

La terrasse ne sert pas que de terrain d'éducation (populaire ?) à Jim.

17 août 2008

Des vacances à la carte


Ces moments de solitude, quelques jours pendant les vacances ou souvent, pour le boulot, permettent d’observer le monde avec le regard idiot du type qui se demande si les gens sont bien normaux. Lui l’est. Il le sait. C’est lui.

Je vais donc vous raconter mes vacances qui n’ont pas le moindre intérêt pour le commun des mortels. Ca vous apprendra : je n’ai fait aucun billet en trois jours.

A part aujourd’hui, coup de bol, j’ai le don pour me foutre dans des galères automobiles pendant les vacances. Il m’arrive de passer 10 heures dans la voiture parce que je tombe bêtement dans un bouchon, parce que je ne trouve pas de place pour me garer, parce que je me plante, …

Vendredi, je n’ai pas dérogé à la règle. Je suis parti à 11 heures du matin de Bicêtre, suis arrivé vers 14 heures à Caën… puis ai décidé de faire un tour sur la côte… et me voilà dans des bouchons à Port-en-Bessin. Vous ne savez pas où c’est ? Sur la côte, au nord de Bayeux. J’ai entendu sur France Info, hier, qu’il y avait des grosses fêtes annuelles, ce qui expliquait le bouchon de la veille. Dégagé vers 17, je fonce sur Bayeux pour chercher un hôtel. Tous complet.

Au Novotel, j’ai demandé au type de l’accueil (un Chinois : je dis pas ça par racisme mais uniquement pour qu’il soit licencié si son patron lit mon blog) si j’avais une chance de trouver un hôtel dans le coin. Il me répond « Tous les hôtels de la Chaîne [si ! il a mis une majuscule à Chaîne) sont complets de Cherbourg à Caen ». Je répète ma question : « Savez-vous, s’il vous plait, où je peux avoir une chance de trouver un hôtel ? » Je m’en fous un peu de sa chaîne. Il me répond « Pas dans la chaîne ». Dans la formation des types de l'accueil, chez Novotel, ils devraient ajouter une rubrique : rendre service aux clients. Pas uniquement "vendre des chambres coûte que coûte".

Je me casse, tombe sur l’hôtel Campanile et va voir le type de l’accueil (un normal : je ne dis pas ça par racisme, uniquement pour qu’il soit augmenté si son patron lit mon blog) : « Désolé Monsieur, mais notre hôtel est complet. Je viens d’appeler l’Ibis pour autre client : c’est pareil. Vous pouvez aller voir le syndicat d’initiative, je vais vous montrer où il se trouve, mais je vous conseille d’aller directement à Saint-Lo, je pense que tout est complet à Bayeux ».

En route pour Saint-Lo ! Mon GPS m’envoie directement sur l’hôtel le plus près du centre, le Mercure (j’ai des goûts de luxe quand j’ai passé 8 heures en bagnole et que je ne sais pas où coucher). Je tombe sur la fille de l’accueil (une normale, même pas trop grosse : je ne dis pas ça par racisme, mais uniquement pour qu’elle soit également augmentée). « Désolé Monsieur, tout est complet sur Saint-Lo, vous comprenez, c’est le week-end du 15 août, mais si vous voulez, vous pouvez appeler le Saint Pierre à Vire, voilà le numéro, ils ont encore des chambres ».

Me voilà au Saint-Pierre, à Vire, vers 19 heures. Je monte dans ma chambre pour me rafraîchir (NDLR : pisser). Le type m’avait au téléphone de rouler doucement à cause des gendarmes. A l’accueil, il me donne les clés, et, comme si j’avais l’air d’un pochetron insiste pour me montrer comment ouvrir la porte si j’arrive après 23 heures. J’insiste : « Mais non, Monsieur, vous savez, je suis tout seul, je vais rentrer de bonne heure ». Lui : « On ne sait jamais, vous pouvez tomber sur un traquenard ». Comme si j’avais une tête de…

Pour ouvrir la porte après 23 heures, c’est simple : il faut mettre la clé dans la serrure et tourner. Le Normand est surprenant.

Je fonce au bistro ! De la Loburg à la pression, le bonheur. J’en commande une. J’avais soif. Avant que le barman ne revienne avec le ticket de caisse, j’avais fini mon verre. Une deuxième. Pareil. J’en commande un troisième : le barman n’en croyait pas ses yeux. Quand je pense qu’il y a encore des types qui confondent les Normands et les Bretons. JAMAIS un barman Breton est surpris quand un type commande son troisième verre dans les cinq minutes après son arrivée !

Je lui demande où je peux dîner. « Vous êtes seul ? » « Oui ». Il me montre une espèce de sandwicherie en face. Est-ce que j’ai une tête à manger des sandwiches le soir ? Il remarque ma moue dépitée et prend un regard hautain. Dans sa tête, il devait penser qu’un type en jean, pas rasé et s’étant enfilé trois demis en quelques minutes ne devait pas avoir les moyens de s’offrir un des meilleurs restos du patelin ! Il m’indique « sinon, vous avez le Vrai Normand juste à côté ». Vu les prix qu’ils pratiquent, je me demande pourquoi il n’y envoie pas exclusivement les types seuls… Je vous le conseille ! Très bon.

J’étais assis en terrasse près de l’endroit où était affiché le menu. Ca donne de l’occupation pendant le repas. D’ailleurs, j’y suis retourné le samedi soir. Ca caillait et j’étais le seul en terrasse : mais quand on a repéré LE resto idéal, on ne le lâche pas.

Le vendredi, à côté de moi, un couple d’ivrognes s’est installé. Enfin… Je ne sais pas si elle buvait mais lui avait un nez impressionnant. En voiture, s’il tourne la tête, le mec derrière pile immédiatement. La couleur d’une fraise, la taille d’une orange. Les lunettes étaient incrustées dedans. Ca avait l’air de l’énerver que je passe le repas à le regarder. Allez savoir pourquoi.

Derrière moi, un couple d’amoureux a pris place. On comprend immédiatement le déficit intellectuel quand la dame demande à la serveuse ce qu’était une escalope à la crème. En Normandie. Elle m’avait déjà énervé quand, auparavant, elle avait demandé un Kir Cassis. Je comprends qu’on puisse demander un Kir à la mûre, à la pêche ou à autre chose… mais pas au cassis. C’est comme si vous demandiez un vin au raisin ou une anisette à l’anis. Le chanoine doit se retourner dans sa tombe.

En face de moi, se tenait un couple d’une cinquantaine d’années. Elle bien habillée. Lui en short. J’avais envie de lui dire de respecter sa femme s’il ne se respectait pas lui-même. Putain ! On ne va pas dépenser 100 euros à deux dans un resto sans un minimum de correction, d’autant que ce connard fumait à table alors que la famille, juste derrière eux (un couple, deux enfants) venait de recevoir leurs assiettes.

Bien dormi à l’hôtel, moi ! Le demi bu en apéro au resto et le 50 de rouge y sont pour beaucoup… de même que les 450 km… Debout six heures. J’ai pu me plonger dans le dernier Connelly, fini ce matin d’ailleurs. Moins bien que les autres (pas l’ambiance sordide) mais beaucoup plus facile à lire : je l’ai fini ce matin en attendant le café.

Le samedi, je ne remets pas en cause mon programme établi la veille alors que je pensais coucher à Bayeux, mais j’avais oublié que je m’étais rajouté une heure de route ou presque à cause de l’hôtel. Le matin, la côte est du Contentin (Utah Beach et tout ça).

Déjeuner à Cherbourg, près du port. Pas facile quand on est tout seul de trouver un resto un midi : il ne faut pas un truc chic, manger en moins d’une heure, mais… bien manger. Je suis tombé sur ce petit truc en baguenaudant. Il avait tout d’une cabane à frites. Je ne l’aurai même pas vu si un couple de jeunes qui, comme moi, cherchait à bouffer, n’avait pas hurlé sur les prix en consultant la carte ! Ils sont cons, les jeunes.

Je me suis penché sur cette carte… et j’ai bien fait. 15€50 pour des moules à la crème, une andouille moutarde et une mousse au chocolat… Moi qui logeais à Vire, je me suis tapé une andouille à Cherbourg.

L’entrée (les moules à la crème) m’aurait fait un repas en temps normal ! En outre, autant l’andouille était normale, mais bonne, autant les moules étaient divinement sympathiques. Ce qui manque, dans ce genre de gargote, ce sont les desserts. Tant pis. Et le bon rouge au verre.

A côté de moi, un couple avec leur fille d’une vingtaine d’années. Ils ont passé le repas à se demander où ils allaient trouver un cybercafé pour que papa puisse vérifier le forfait du portable de sa fille. Vive les vacances…

L’après midi, promenade à la Hague. Oui ! J’ai même marché ce qui ne m’arrive pas souvent. Ca fait deux fois ce jour là, avec mon escapade à Utah Beach. Je suis parti fâché. Il a fallu que j’attende DEUX fois que des gamins obèses (deux différents) cessent de se planter systématiquement en jouant devant l’objectif de mon appareil.

Arrivé à Vire, le soir, j’ai d’ailleurs constaté que la Normandie était pleine de gros. Car je suis revenu à Vire… mais j’avais décidé, comme une andouille, de longer la côte et de passer par Grandville. Deux heures dans les bouchons. Encore une journée à 6 heures de voiture… Toujours est-il que l’observation des passants virant dans Vire est réjouissant pour un gugusse comme moi portant allègrement son quintal. Vu le nombre de gros passant devant la carte, j’ai failli regretter mon choix…

Au même bistro, le soir, à la grande déception du serveur, je n’ai bu qu’un seul demi cul sec… et un autre normalement. Même restaurant. L’escalope à la crème suivi d’un moelleux au chocolat.

Ce matin, je taille la route, direction Caen. Le hasard a fait que je me suis retrouvé devant le mémorial que j’ai voulu visité. 22 euros avec le repas. Je n’invente rien ! Quand vous débarquez au mémorial vers 11 heures, on ne vous propose qu’une visite avec le repas. Je n’avais pas envie. Et en plus, je doute que ça soit le genre de truc qu’on visite tout seul. J’ai fait trois fois le tour du machin (tout ce qui est gratuit) puis en route. Direction Cabourg puis remontée de la côte. Je voulais aller à Deauville, Honfleur, le Pont de Normandie puis coucher au Havre.

Mais à Deauville, j’ai décidé d’abandonner alors que je cherchais un restaurant digne de mes goûts personnels. Deauville n’est pas Cherbourg.

Virée en Normandie

Me voilà de retour, plus tôt que prévu, d’une escapade en Normandie, de Grandville à Deauville avec deux nuits à Vire.

La photo est de moi. Probablement des types qui ont essayé de monter une ligne de train entre La Hague et l’Angleterre.

Pourquoi plus tôt que prévu ? Rien. Je me demandais si j’allais rentrer dans la nuit ou le lendemain quand une andouille à la radio a dit que les bouchons allaient être terribles sur l’A13. Je me vire. Une envie de revoir les potes et pas seulement des serveurs de restaurant, des loufiats et des portiers d’hôtels anonymes… C’est raté ! Le seul pote que j’avais une chance de voir ce soir était Jim. Il est cassé suite à un accident de scooter. Rien de grave. Peut-être le vieux Joël daignera-t-il sortir ?


11 août 2008

Vacances - Mardi 12

Le Kremlin-Bicêtre. En cherchant des photos du KB sur Google Images, j'avais "peur" de tomber sur mon blog et de vous refiler une nouvelle photo du Vieux Jacques. Non. J'ai mieux : un bidet. Inconsciemment, ça veut dire que je vais rejoindre mon foyer. Ou que je vais me laver les fesses.

Vacances - Lundi 11

Carnac. Il fait ch... Didier Goux, il ne veut plus que je mette des photos d'eau. Alors que toutes ces pierres sèches, ça me donne soif.
P.S. : Bon anniversaire Hélène et Yann. Bonne fête Claire.

06 août 2008

Vacances - lundi 4

Voilà une photo d'où j'étais avant-hier : le Val-André.
N.B. : j'ai arrêté de prendre des photos de vacances, je pirate celles des autres.

18 juillet 2008

Mes 4 ou 5 paysages préférés

Une nouvelle chaîne tourne actuellement sur les blogs. Il s’agit de décrire ses quatre plus beaux paysages. Je n’ai pas été tagué. C’est dommage, ça serait l’occasion de raconter des conneries supplémentaires. Je vais m’autotaguer. Voilà. C’est fait.

Je dois préciser que je suis extrêmement chauvin. Je ne vais jamais à l’étranger sauf en Belgique car je suis un profond admirateur du Roi des Belges surtout qu’il a refusé la démission de son Premier Ministre. Ca n’est pas à Jean-Pierre Raffarin que ça arriverait.

Pourquoi ne vais-je jamais à l’étranger ? D’une part, les étrangers ne sont pas comme nous. Ils parlent l’étranger, patois incompréhensible pour les gens normaux. D’autre part, l’étranger est loin de la Bretagne. Ce n’est pas une connerie : j’ai coutume de passer une partie des vacances chez ma mère qui n’a pas nécessairement mérité ça mais c’est comme ça. Ensuite, je voyage un peu, voire beaucoup. L’été dernier, je suis allé à Tours, à Toulouse, à Saint-Jean du Gard, à Florac, à Colmar, puis, pour rigoler avec Jim, en Belgique via l’Allemagne et le Luxembourg. Cette année, avec le prix de l’essence, je devrais me calmer.

Les quatre plus beaux paysages, à part la vue que j’ai de la Comète en sirotant ma bière ou mon chocolat chaud les jours de déprime, sont au nombre de cinq.

Je ne vais pas mettre des photos, contrairement aux autres blogueurs ayant répondu à cette chaîne. Si ! Je vais mettre la photo de mon copain Gilles entrain de pisser sur un mur à Florac. Il n’a pas Internet et ne suit pas le blog : si personne ne le lui dit, il ne me cassera pas la gueule.

Il n’y a pas d’ordre de préférence.

Petit 1 : la vue sur le golfe du Morbihan que j’ai en image de fond de mon twitter, prise de la terrasse de notre demeure familiale. Ce n’est pas le tout d’être un blogueur gauchiste, encore faut-il avoir des biens.

Petite 2 : la côte nord des Côtes d’Armor. Je vous avais prévenu. Je suis chauvin. La côte sud des Côtes d’Armor, quant à elle, se fait beaucoup plus discrète.

Petit 3 : les Causses dont au sujet des quelles j’ai oublié le nom mais qui sont au sud des Gorges du Tarn, entre Millau et Florac.

Petit 4 : les Gorges du Tarn en question, voire un peu plus si on pousse jusqu’au Pont de Millau.

Petit 5 : les Cévennes et plus particulièrement chez mon copain Luc du Canton.

Petit 6 : le décolleté de la nouvelle serveuse de la Comète. Je n’ai pas de photo. En voilà une de ma copine Régine. Qui n’a pas internet.

Il serait d’usage que je tague des gens maintenant. Mais comme je n’ai pas été tagué, c’est hors de question. Il serait néanmoins souhaitable que La Petite Dame, Luc et Poireau répondent dans la mesure où ils sont en lien dans ce billet. Gaël aussi mais il est en vacances. Pareil pour Franssoit que je n’ai pas cité mais j’ai cité sa côte nord.

23 août 2007

Mon chemin !

Voilà ! Deuxième partie des vacances terminées... le boulot reprend lundi.
Bientôt sur le blog, un résumé de l'escapade de 4 jours avec Jim en Alsace et en Belgique. Au minimum, j’aurai bien le courage de faire des albums photos sur le web et de diffuser les adresses !

Comme il faisait un temps de chien, on a passé pas mal de temps en voiture, surtout en Alsace, où il était impossible de sortir de la voiture, mais aussi en Belgique. La radio Belge n'étant pas... en Français, on a ressorti les vieux CD qui trainaient dans la bagnole...

Jim n'est pas chiant en bagnole : du moment qu'on roule assez vite pour... aller assez vite sans faire le con et se tuer bêtement et en écoutant de la musique à fond, il est heureux !
Concentrez-vous ! Mettez le son de votre PC à fond. Au mieux, branchez le sur la chaîne Hifi.
Imaginez le Haut-Koenigsbourg, la petite route qui y monte dans les montagnes. Un seul type au monde assez fou pour y monter un mardi matin à 9 heures, 14 degrés dehors, seule la pluie empêchant parfois le brouillard de limiter la visibilité à un centaine de mètres (arrivés en haut on a vu 5 ou 6 voitures et 2 ou 3 cars de touristes).
Dans la pile de CD, on tombe sur une compilation que m’avait offerte un type mais que je n’avais jamais pris soin d’écouter.
Le dernier morceau arrive quand nous abordons la montée finale (digne du tour de France des pires années)…
Je « crois » reconnaître le premier morceau. Je mets le son à fond pour tenter, en rigolant! de nous redonner le moral qui en avait bien besoin, un 21 août avec le chauffage à fond dans la caisse ! Le moral me revient, je commence à rouler à fond la caisse avec la radio à fond la caisse !
J’ai retrouvé une vidéo correspondante, mais le son de mon CD est nickel (étonnant…) !
Cliquez. (et ne vous contentez pas des vingt ou trente premières secondes).



Sex Pistols - Sid Vicious - My Way
envoyé par indri51

Vous avec écouté ? Je suis sûr que vous avez oublié de vous imaginez le tableau complet (Jim, la voiture, moi, le Haut-Koenigsmachin et la musique à fond) ! Repassez-moi ça en vitesse, en imaginant ce que ça peut donner en voiture

10 fois, on l'a écouté en trois jours avec Jim ! Il n'y a pas que le Haut-Koenigsbourg ! Tiens, en arrivant à Bruxelles, vers 19 heures, sous la pluie, sans avoir réservé d'hôtel, fatigué après 6 heures de route (dont une à comprendre la géographie de Bruxelles, je crois que je vais en faire un billet de rentrée sur "Partageons mon avis"). Ou en accélérant, sur la l'autoroute entre Bruxelles et Bruges, une fois les bouchons franchis. Ou en arrivant au Kremlin-Bicêtre après 1700 km en quatre jours (je vous expliquerai...).



Dans la voiture, en lisant le nom de l'interprète (Sid Vicious) inscrit sur la pochette du CD, ma mémoire n'avait pas fait tilt ! Que fait ce type sur une obscure complile entre les Clash et les Stranglers ?

Le con ! C'est en chercheant "punk my way" sur Google que ça m'est revenu ! Jusqu'à la mort, on devrait faire une révision annuelle de ses classiques...