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03 août 2009

Les vacances continuent, les photos aussi...

Après les photos du Mont Gerbier de Jonc, de Vaison La Romaine, du Mont Ventoux, Du Pont du Gard, d’Uzès, d’Arles et de Marseille, voilà les photos des Saintes Maries de la Mer (bof), de La Grande Motte (beurk) et de Sauve, dans le Gard (ah !!!).

Excellent récapitulatif qui vous permettra de suivre mon chemin pendant ces vacances (sachant que je n’ai aucune photo de Saint Etienne, de Valence et de Claviers, que j’ai raté les photos d’une courte étape à Aigues Mortes et au Grau du Roi et que j’ai tellement pris de photos du Causse Méjean, de Florac, des Gorges du Tarn et du Canton les années précédents que j’ai préféré m’abstenir cette années !).

Encore merci à la Mère et au Père Castor pour leur accueil hier soir (miam) et cette nuit, à Sauve ! On ne se connaissait pas, à part quelques commentaires respectifs dans nos blogs et surtout chez Didier Goux. Ils ont pris le pari de m’inviter. J’ai dit « tope là ». Eux, je ne sais pas, mais moi, je ne regrette pas !

02 août 2009

Les vacances, les photos, la suite

Après les photos du Mont Gerbier de Jonc, de Vaison La Romaine et du Mont Ventoux, diffusées récemment, voilà la suite, avec Le Pont du Gard, Uzès, Arles et Marseille.

Certaines photos de Marseille sont floues. Tant pis. En fait, j’ai essayé de prendre des trucs de nuit sans flash… et j’ai oublié de vérifier dans le détail si elles étaient diffusables.

A propos de Marseille, j’ai été très agréablement surpris. Je n’étais jamais venu et j’en avais une très mauvaise image, renforcée par quelques billets, comme celui de Suzanne qui avait constaté la saleté de la ville (les copains blogueurs qui étaient avec moi, hier soir, n’ont d’ailleurs pas démenti ce phénomène et nous en avons discuté longuement). Par ailleurs, je voyais le vieux port comme un truc tout petit (alors qu’il est gigantesque) et d’une « configuration » proche de celui de Saint-Tropez (terrasses et pétanque).

Il n’en est rien. Marseille, ou, du moins, la petite partie que j’ai pu voir, hier soir, est magnifique. Ce qui n’autorise pas l’OM a battre le PSG.

Tiens ! Pareil pour Arles. J’imaginais un piège à touristes. Pas du tout (c’est probablement le cas lors des férias). En outre, Rimbus m’a fait découvrir un tas de ruelles sympathiques. J’adhère.

Au cours de mon voyage, j’ai pris très peu de photos du Canton, de Florac et des Gorges du Tarn. Pourtant, j’y ai passé du temps ! Mais j’y vais presque tous les ans.

Enfin, au moment de diffuser ces photos, je me rends compte que je n’en ai prise aucune de Claviers (il faisait très chaud et je suis resté chez Le Coucou).

Néanmoins, puisque vous insistez, je vais illustrer ce billet avec la photo de la Tatin de carottes servie au Canton !

01 août 2009

Marseille le Fiacre et Jacques le Vieux Porc

En attendant le traditionnel rébus dominical du Coucou, le titre de ce billet vous donnera quelques habiles indices vous permettant de me localiser sans le moindre pendule, contrairement au Professeur Tournesol.

Contrairement (bis) à ce que je disais ce matin, il est fort probable que je publie quelques billets aujourd’hui.

En effet, après avoir trouvé un hôtel (le New Hôtel of Marcel) dans le célèbre patelin qui m’accueille, j’ai été masquer la plaque d’immatriculation de ma voiture pour échapper à sa mise à feu par les supporters de l’équipe de football locale qui pourraient penser que je suis un supporter du PSG (alors que je suis supporter du club de chaque type qui m’offre une bière) puis faire un tour vers le Vieux Porc. Noyé dans ma sueur, je suis immédiatement rentré à cet hôtel hors de prix mais relativement frais et doté d’une piscine.

Je voulais zaller zà cette piscine mais j’ai regardé par la fenêtre de ma chambre. La piscine est entourée de thons rouges quadragénaires avec les seins à l’air. Je vais donc me baigner dans ma baignoire avec de l’eau à une température suffisamment adéquate pour m’éviter de supporter la cuisson des thons. Et bloguer en même temps.

Ensuite, je rejoindrai Annie, Rubin et peut-être Rimbus dans un bistro équipé d’un dispositif original permettant de tirer la bière à la pression dans des verres de 50cl sans bouger les oreilles à condition d’être équipé, petit 1, d’un serveur, petit 2, d’un barman.

La suite du programme : demain matin, grasse matinée. Ce n’est pas que je sois particulièrement fatigué et je ne pense pas que la soirée se termine en partouze même si ma chambre est assez grande pour qu’on y tienne à 4, l’un dans l’autre, mais son prix est tel (sans compter le Wifi) que je compte l’amortir au maximum.

Demain soir, sauve qui peut ! A Sauve. Pour ceux qui ont quelques compétences en géographie, ça se trouve à deux doigts (deux gros doigts) de Saint Jean du Gard où j’étais len début de samaine. Même que si, moi-même, j’avais eu quelques compétences en géographique (et si Didier Goux ne m’avais pas raconté des conneries… ou si je n’avais pas compris de travers ses affirmations), j’aurais organisé mon itinéraire différemment. C’est un peu comme si je passais par l’Amandine pour aller de la Comète à l’Aéro. Remarque…

27 juillet 2009

Au mas !

"L'homme qui m'aimait tout bas" d'Eric Fottorino. Luc, le taulier du canton, m'a dit "lis donc ça" quand je lui ai avoué qu'avec cette histoire de blogs, j'avais laissé la lecture à part quelques polars, pendant les vacances.

Je me suis assis en terrasse du Canton et j'ai entamé la lecture. C'est superbe. Un type qui brode autour de son enfance, sa famille, ... à l'occasion de la mort de son père.

Avant de me confier ce livre, Luc avait pris soin de me faire éplucher les patates ! Il faut dire qu'il a du boulot, pour ce soir. 15 personnes à nourrir. Sans compter les mômes, si j'ai bien compris, mais c'est Claude, la taulière, qui s'occupe de leur repas : des lasagnes.

Pendant qu'ils boufferont ça, nous aurons droit à une tarte Tatin aux carottes, suivi de lapin au miel accompagné d'une purée au vin rouge. D'où mon épluchage.

Saine occupation : lire les patates et éplucher des bouquins. De toute manière, la 3G ne passe pas (ni même le machin en dessous : je crois que pour demander à Tonnegrande si tout va bien au bistro, je vais utiliser le morse. Ou le tamtam). Même le téléphone passe à peine (message personnel : Rimbus, n'hésite pas à laisser un message si un truc s'organise jeudi midi).

Pour tout vous avouer, le haut débit ne passe pas ici. 56 kb/s. Hop ! Comme au bon vieux temps. Ne comptez pas sur moi pour lire vos blogs ! Je n'imagine même pas le temps nécessaire pour charger mon Reader !

26 juillet 2009

Ah ! Non ! Ba toi !

Ce soir, j’étais attablé, tout seul, dans un restaurant qui convient mieux à ma catégorie sociale que la Comète. Un couple de personnes âgées. Enfin, relativement âgées, pas plus que d’autres mais moins que certaines a posé son postérieur autour d’une table proche. Chacun le sien, de postérieur.

Le serveur leur a demandé s’ils désiraient de l’eau plate ou de l’eau gazeuse. A moi, il ne m’avait pas demandé. Il avait juste demandé si c’était bien la peine qu’il m’amène une carafe d’eau. N’ayant pas été éduqué à déranger le petit personnel, j’ai souris. Il a compris.

Ainsi, mes limitrophes congénères ont avoué qu’ils avaient un faible pour l’eau pétillante. Le serveur, charmant au demeurant mais un peu trop couillu malgré sa voix de gros pédé, a indiqué qu’il avait de la Badoit verte et de la Badois rouge.

Je vous prie de m’excuser par avance, j’ignore l’orthographe de cette décoction. J’étais d’ailleurs tellement surpris qu’il puisse coexister différents types d’eaux gazeuses de la même marque que je n’ai pas pensé à lire l’étiquette. Dieu me pardonnera.

Le serveur a indiqué que la verte était traditionnelle et que la rouge était nouvelle. La dame, dont l’âge m’était toujours indéterminé, a indiqué au loufiat, dont, décidément, la voix ne me revenait pas : « Donnez-nous une Badois rouge car NOUS n’aimons pas la Badoit ».

Nonobstant cet épisode hautement jouissif, j’avais passé une excellente fin d’après midi à visiter les illustres arènes de Nîmes dont les vestiges sont relativement bien conservés, y compris le loufiat en question qui forme une délicieuse Reine de Nîmes. Néanmoins, des sapajous, probablement héroïnomanes, ont transformé ce chef d’œuvre d’architecture traditionnelle en un machin sans nom, au prétexte d’y délivrer quelques spectacles probablement modernes aux yeux de certains mais que nous n’hésiterons pas à appeler « à chier ». Je n’hésite pas, néanmoins, à vous en délivrer quelques photographies, même si je ne dispose pas des riches prédispositions de l’Irremplaçable. Quand je pense que des valeureux Romains ont pris la peine de nous coloniser pour nous apporter LA civilisation.

N.B. : l’épisode du resto est véridique (le NOUS inclus) mais devinez qui je pastiche !

Les photos ! Les photos !

Ca apprendra l’hôtel à faire payer Internet : autant que je leur pique de la bande passante en regardant l’arrivée du Tour (Cavendish vient de remporter le sprint, je peux écrire des conneries). Nicolas Sarkozy a trouvé un prétexte pour ne pas être sur les champs (z'avez-vu, je commence) !

Je ressors ! Un demi à boire et des Arènes de Nîmes à photographier. J’espère qu’il y aura des gonzesses en minijupe sinon les photos auront un air de déjà vu…

C'est reparti !

Il fait très chaud à Valence, ce matin. Je transpire déjà. Ce qui me donne soif. Je ne sais pas où je vais. Je déciderai dans la voiture, comme avant-hier. Grenoble, probablement, mais il faut que j'évalue la route à faire, lundi, pour atterrir à Saint-Jean du Gard.

Question personnelle : Fidel, pour dimanche soir, ça irait ? Où ? Hébergement compris ?

Autres questions personnelles : Annie, Rubin, vous ne vous connaissez pas (Annie est une dangereuse bolchevik et Rubin un dangereux libéral avec du poil dans les oreilles) mais, la soirée de samedi prochain (pour samedi dernier, c'est trop tard), ça irait ?

24 juillet 2009

Allez les verres !

Je suis à Saint Etienne. Ne me demandez pas pourquoi. Je vais vous expliquer. J’étais après Lyon en venant de Paris. Je voulais aller à Valence car je ne connais pas Valence. En fait, je m’en fous. Il fallait bien aller quelque part pour cette première nuit dans le sud. Je dis donc à mon GPS intégré à ma voiture de 2001 (le GPS est d’époque donc les cartes aussi). Je mets la radio. Le type dit « gros bouchon à Valence ». Je réponds « Merde ». Je vois un panneau : « Saint Etienne 43 km ».

Hop. Je suis assez impulsif, comme garçon.

Cela dit, je n’ai réservé qu’une seule nuit d’hôtel. Faut être prudent. Si je décide de rester, je prendrai le même hôtel. Il n’y a pas trop de risques : je vois difficilement les touristes prendre l’hôtel Ibis de Saint Etienne d’assaut un week-end.

A première vue, cet hôtel est très bien. Il y a le wifi et, il a beau être à 600 km de La Comète, le bar d’en dessous s’appelle « la Taverne de Maître Kanter ». Voir la photo.

Un conseil : n’allez pas à Saint Etienne en voiture avec un vieux GPS. Tout est changé. En plus il y a des travaux un peu partout. J’ai mis 80 minutes à trouver l’hôtel. C’est rageant.

Pas le temps de faire un billet politique pour expliquer l’incidence des bêtises que je raconte en passant à Lyon au moment précis du décès de Francisque Collomb. J’ai soif.