28 novembre 2022

[Séries] Au fil des jours

 


« Au fil des jours se concentre sur une famille américaine d'origine cubaine de Los Angeles, composée de Penelope Alvarez dite Lupita, une mère célibataire infirmière et ex-militaire, de ses deux enfants, Elena et Alex, ainsi que de sa mère, Lydia. »

Vous me suivez ? Quand j’ai pris Netflix, j’ai commencé par regarder des séries emblématiques, telles que The Crown (j’y reviendrai bientôt vu que j’ai fini la dernière saison), d’autres qui m’ont été conseillées… et certaines sur lesquelles je tombe par hasard (les joies de Netflix) avec une franche préférence pour les sitcoms débiles. La plupart sont plaisantes et on ne s’ennuie pas.

« Au fil des jours » fait parti du lot et est même d’excellente facture ! Elle a même été primée (sans nécessairement mériter de rester dans l’histoire) et vous pouvez vous asseoir devant votre téléviseur avec un cubi de blanc et regarder la succession d’épisodes. On ne s’ennuie pas.

 

Au fil… des épisodes, on a l’impression se retrouver dans une fiction carricature du wokisme parfait : la famille d’immigrés avec des difficultés d’intégration, la fille défendant toutes les causes, du « genrisme » à l’environnement et qui finit par faire son coming out avec une famille quand même un peu homophobe, dans une environnement un peu machiste… vu qu’il est essentiellement composé de femmes étrangères.

Un tantinet d’émotion et une franche bonne humeur… Ca suffit à mon bonheur !

Le voisin, richissime propriétaire de l’immeuble et tout de même concierge, lui-même immigré (du Canada…). Le docteur, patron de Lupita, qui entretient une relation platonique avec Lydia, toujours amoureuse de son époux mort et nostalgique de Cuba d’où elle est partie en 1962.

Ben mon cochon…

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