31 août 2011

Branleur mort

La nouvelle est tragique mais il faut toutefois penser à Trublyonne qui est avec Doudou en Amérique du Sud pour les vacances (mais revient demain pour le Kremlin des Blogs). Nous devons lui rappeler qu’il est impératif qu’elle surveille son homme au cas où la maladie soit contagieuse.

La traduction et les fautes d’orthographe sont de Google Translate.

« Un garçon de 16 ans est morte après avoir masturber 42 fois sans s'arrêter dans la ville Rubiato, dans la région de Goiás, Brésil.

Sa mère a déclaré à un journal local que elle savait déjà sur la dépendance de son fils et qu'elle avait l'intention de voir le médecin, mais la décision est venue trop tard.

Le jeune homme a commencé à se masturber à minuit et a passé la nuit entière à se toucher de façon compulsive.

À l'école, ses camarades de classe a commenté sur le problème du garçon et certains ont dit qu'il leur a demandé de se connecter à la webcam pour être observées.

Ils ont en outre déclaré que son attirance pour les femmes était extrême, il a été attiré par toutes sortes de femmes, indépendamment de la physique texture, la couleur et l'âge.

Dans sa chambre une grande quantité de matériel de pornographie a été trouvé, y compris des photographies et des vidéos de femmes nues qui ont été enregistrés sur son PC.
 »

En voila un qui ne sera jamais directeur du FMI…

Cette nouvelle de branleur a d’ailleurs été transmise à un célèbre DSKiste dans Twitter.Il y a bien qu'eux pour s'abonner aux alertes google news en Portugais avec le mot clé "masturbacion".

Profitons-en pour saluer un sympathique blogueur local.

Je connais un mot en portugais, maintenant.

Wikio est mort

Pendant que Pierre Chappaz annonce une levée de fond de 17 millions, Frédéric Montagnon en est à 25 millions. Il faudrait voir maintenant ce qu’annoncent la police et les syndicats. Toujours est-il que Wikio est mort. Les services seront repris par Ebuzzing et nous aurons toujours un classement pour jouer à celui qui a la plus grosse pour satisfaire nos égos démesurés.

Il n’empêche que c’est con, une marque qui meurt…

Nous allons rendre un vibrant hommage.

Vrrrrr.

C’est fait.

J’espère que les services, notamment les classements, seront repris par Ebuzzing. « Le Wikio » rythmait notre blogage, le voir disparaître nous rendrait couillons comme un musicien abruti sans son métronome. Un bête classement sur des critères délirants que je commençais à maitriser quelque peu mais qui avait le mérite de tirer les blogs vers le haut.

Le haut de quoi ? Je ne sais pas.

Il n’empêche que voir ses billets backtweetés par un tas d’inconnus permettait de voir qu’on avait réussi quelque chose. Aussi, Wikio est la marque de notre sport favori, le blogage, notre loisir du quotidien, que ça soit pour mes blogs « divers » comme mes blogs thématiques, en politique et en nouvelles technologies, et surtout la marque du blogage tel que je l’aime, favorisant la taille du réseau social, les blogs des copains, l’amitié virtuelle qui se transforme en liens profonds.

Des liens, bordel, des liens !

J’ignore les raisons industrielles ou commerciales qui poussent ces braves gens à laisser tomber la marque « Wikio » au profit de « Ebuzzing » (ce qui me parait une erreur mais je ne suis pas un spécialiste, Ebuzzing faisant beaucoup trop « modernoeud ») et dès que j’en saurai plus, je ne manquerai pas de faire un billet de huit pages dans le blog geek.

Quand on y pense, c’est dingue le nombre de gens que je connais uniquement parce qu’ils sont dans un de ces classements. A force de voir publier des « exclus », on finit par s’abonner à des blogs, a priori sans intérêt, mais qu’on lit toujours parce qu’on arrive à éprouver une réelle sympathie pour le taulier, parce qu’on a besoin de savoir ce qu’il devient, ce qu’il veut dire à ses lecteurs, …

Enfin, du moment qu’ils maintiennent les classements… Ca fera trois ans le mois prochain que mon blog politique est premier du machin (moins trois mois pendant lesquels celui de Guy avait occupé la place). C’était bien pratique, ça me permettait de tenir un rôle particulier, de jouer au chef d’orchestre, d’insulter les crétins, …

Je vais continuer, le pli est pris.

Amen…

C’est con, une marque qui meurt…

P.S. : Surtout, Pierre et Frédéric, maintenez « Wikio Sources » et « Backlink Factory » qui sont au blogage ce que sont les nichons à … heu, non rien.

30 août 2011

Bienvenue !

Le personnel de la Comete (je me demande si je ne finis pas par en faire partie) fêtait ce soir l'arrivée d'un nouveau venu !

Du coup, moi aussi.

Mon amitié à Linda et Yannick.







- Posted using BlogPress from my iPhone et avec une pensée pour mon pote Falconhill qui connut récemment un événement similaire.

Une pensée aussi pour Gael mais il a une fâcheuse tendance à faire les gamins par paire (ce qui permet à cette fainéasse de baiser deux fois moins).

Bienvenue à Maëlie !

(Didier, ta gueule)

Vive twitter

A lire de bas en haut (je précise pour Didier Goux, pas toujours au top).



- Posted using BlogPress from my iPhone

29 août 2011

Vacances terminées

« Tu es allé où, pendant tes vacances ? » Mes collègues de travail sont horripilants. J’en avais déjà fait un billet, le mois dernier. « Tu pars où en vacances ? » était alors la question rituelle. Je ne vais pas refaire un billet mais je rappelle que les vacances ne consistent pas à partir mais à arrêter de travailler et de subir des contraintes de la part d’un employeur. Que ceux qui se saignent pour acheter un pavillon de banlieue qui les oblige à faire deux fois une heure de transport par jour se précipitent pour se barrer dès qu’ils le peuvent est réjouissant.

Néanmoins, je me demande moi-même ce que j’ai pu glander. Les deux premières semaines sont passées à une vitesse incroyable mais elles ont été nécessaires pour que je me refasse une santé. Pour résumer, en congés le 5 au soir, il n’y a que vers le 18 ou le 19 que j’ai commencé à émerger, grâce aux copains qui m’ont accueilli. Merci à eux et tout ça.

Il n’empêche que ces vacances furent un peu compliquées. Je suis donc obligé de prendre des notes sinon, dans quinze jours, j’aurais tout oublié. Alors, tant qu’à prendre des notes, autant les archiver dans le blog.

Vendredi
5
Début des congés. Bière bien méritée à la Comète.

Samedi
6
RAS – Bicêtre. Je crois me rappeler avoir bu une bière à la Comète.

Dimanche
7
Douai en train, chez Emilie et Jim. Trop de Ricard.

Lundi
8
Douai, toujours, trop de Whisky.

Mardi
9
Retour à Bicêtre. Peut-être ai-je bu un coup à l'Aéro ?

Mercredi
10
Kremlin des Blogs à Lyon, en train, nuit chez Trublyonne, dîner avec des blogueurs sympathiques.

Jeudi
11
Retour à Bicêtre. J'aurais du aller en voiture à Lyon, mais j'étais trop naze. J'aurais alors poursuivi vers Mende voir Gabale (remarque, après les charges que j’ai lancées contre Ségo…) puis au Canton.

Vendredi
12
RAS – Bicêtre

Samedi
13
RAS – Bicêtre

Dimanche
14
RAS – Bicêtre

Lundi
15
Bicêtre - Kremlin des Blogs le midi. Si je n'ai pas bougé pendant quatre jours, c'est que je me suis rendu compte trop tard que c'était le week-end du quinze août, sinon, j'aurais du foncer chez les Castor puis chez FalconHill pour une cuite méritée.

Mardi
16
Bruxelles en train chez Poireau - Dîner au resto.

Mercredi
17
Bruxelles chez M. et Mme Poireau – Barbecue

Jeudi
18
Retour à Bicêtre

Vendredi
19
RAS – Bicêtre

Samedi
20
Normandie chez M. et Mme Goux avec Tonnégrande. Quelques bières et litrons de rouge et de blanc.

Dimanche
21
Retour à Bicêtre

Lundi
22
RAS – Bicêtre

Mardi
23
Dans la Sarthe, en voiture, chez Martine et Jean (qui est plus aimable en vrai que sur la photo...), dîner avec Nadège.

Mercredi
24
Dans la Sarthe, toujours. Dîner avec Josiane.

Jeudi
25
La Rochelle, chez la frangine. Dîner en famille (le seul…).

Vendredi
26
La Rochelle, chez la frangine et Université d'Eté du PS.

Samedi
27
La Rochelle (pas vu la nièce de la journée), chez la frangine et UE du PS.

Dimanche
28
Clôture de l'UE du PS et retour à Bicêtre.


A ma connaissance, le prochain à partir en vacances est Gularu. Je ne sais pas s’il les a méritées.

Les affaires reprennent

Après 3 semaines de vacances et, surtout, une semaine coupé volontairement d'Internet, me voilà à nouveau présent. Tant pis pour vous.

Je dédie ce billet aux 642 machins que je devrais lire ce machin (illustration) alors que je vais faire un majestueux "marquer tous en lus".

Je dédie surtout ce billet à El Camino dont c'est l'anniversaire aujourd'hui ! Anniversaire que je lui souhaite bon !

27 août 2011

Le siège de @sebmusset




Pendant que Seb était parti filmer Ségolène Royal (pour ses petits enfants, je suppose), un monsieur s'est assis à sa place que je gardais. J'ai cru le reconnaitre. Gérard Leclerc. Je l'ai engueulé gentiment et il m'a fait comprendre qu'il s'en foutait.

Mais vu ses réactions pendant le discours de SR, il me parait finalement assez sympathique.

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Des nouvelles en direct #ueps

On garde nos places pour assister au machin de Ségolène Royal avec @nico93 et @sebmusset.

@Melclalex et @intox2007 sont allés chercher des bières. Sympathiques camarades.


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25 août 2011

Séjour au paradis sur la route de l'enfer

Je viens de passer 48 heures chez les anciens patrons de la Comète, dans la campagne aux allentours du patelin natal du taulier. C'est le paradis ! La 3G ne passe même pas, c'est vous dire (il me faut néanmoins utiliser son PC pour faire le ménage dans mes commentaires en attente de modération et quelques trucs avant de partir trois jours à la Rochelle. J'en profite pour faire un billet).

Le silence est tel que je m'offre des nuits de 8 à 10 heures de sommeil (en plus de deux heures de sieste). Je crois que l'an prochain, je vais commencer par passer 8 jours ici !

Sauf que cet année, pendant les vacances, je n'ai pas réussi à faire tout ce que je m'étais promis de faire. J'ai notamment loupé un séjour au Canton, une nuit chez les Castor, une autre chez FalconHill et un apéro avec Gabale...

Cela dit, j'ai réussi à passer un séjour à Douai, un autre à Bruxelle, une nuit à Lyon, une autre chez les Goux, suivis d'un séjour dans la Sarthe et d'un autre à la Rochelle. Faire tout ce que j'avais envisagé était parfaitement possible mais il aurait fallu une organisation parfaite (or suite à la mort du Coucou, chez qui je devais également passer quelques jours, et à la fatigue consécutive à une période de 7 mois sans congés, j'ai mis une dizaine de jours avant d'envisager de me fixer un programme...).

Toutes mes excuses surtout aux Castor qui m'attendent (non, j'ai vu un billet de blog chez la Mère !).

22 août 2011

Comment tu blogues ?

Dans un billet, Virginie nous demande comment on fait pour suivre nos blogs préférés. La question est importante et comme Virginie arrive à être partout à la fois, j’étais persuadé qu’elle était bien organisée.

Pour ma part, j’utilise Google Reader où 410 flux RSS sont mémorisés (moins de 100 sont réellement actifs) sans ordonnancement (à part une dizaine, ceux de très proches, que je lis en priorité et surtout dont je ne voudrais louper aucune parution). J’ai une démarche systématique : je « lis » tout séquentiellement (je mets des guillemets car quand un billet me fait chier, je ne le lis pas, quel qu’en soit l’auteur).

L’important est de ne pas accumuler le retard. Présentement, par exemple, j’ai plus de 70 billets en attente car je n’ai rien lu depuis hier matin quand j’attendais le réveil des gros. Ne nous voilons pas la face : s’il est possible de lire 70 billets, il est impossible d’y apporter l’attention suffisance.

Je dois avouer qu’en tant que number one du bordel, il m’arrive d’aller sur des blogs afin de faire croire que je les lis. C’est mal. Je sais. Mais que les tauliers se consolent : j’y suis abonné. Et je lis tous les billets dont l’accroche est… accrochante.

A ce sujet, je rappelle aux blogueurs que le titre des billets est très important s’ils veulent être lus, notamment parce que le titre sera le libellé du backtweets. Je connais un certain nombre de blogueurs qui sont très mauvais pour les titres…

Enfin, je dis souvent que je ne lis les billets que via Google Reader, c’est « relativement faux ». Il y a un certain nombre de blogs où je vais systématiquement pour m’assurer qu’ils ont des commentaires (seule marque réellement importante de l’intérêt du blog). Je vais également commenter tous les blogs auquel je suis abonné depuis peu pour montrer au taulier que je m’y intéresse.

Vous devriez faire pareil : encourager les autres… Ceci nécessite de les connaître un minimum (certains ne font que des billets excessivement chiants mais ont une raison de le faire ; ce n’est qu’en les connaissant bien qu’on pourra les comprendre et, éventuellement, leur conseiller des corrections…).

Quand j’étais en week-end chez Monsieur Poireau, on se posait une question complémentaire : comment faire en sorte de n’oublier personne dans les liens qu’on fait dans nos billets ? Je connais maintenant sa technique (que je ne répèterai que si on m’offre une bière).

Au début, je faisais tout au hasard… En mars ou avril, néanmoins, j’ai découvert que j’avais oublié un pote (Elmone, je crois, ce qui est d’autant plus con que ses billets ne sont pas longs à lire et sont toujours percutants). Alors, j’ai mis en place un système de feuille Excel avec une liste de blogs à citer à partir des quatre blogs (en juillet, j’ai fait relâche, à cause du Coucou… et en août, je suis en vacances).

Cette liste mentionne environ 80 blogs. Elle ne contient que très peu de blogs connus (de toute manière, je les cite, et ils n’ont pas besoin de moi pour être connus… ou classés…). Certains s’imaginent que je fais des liens pour le classement Wikio : ce n’est que de la connerie. Je fais des liens vers les mêmes blogs tous les mois, l’algorithme Wikio contient un machin pour vérifier que des andouilles comme moi ne cherchent pas à tricher et à lier toujours les mêmes andouilles.

Il n’y a que quelques blogs auxquels j’accorde une attention particulière (ça me fait penser que je n’ai pas fait de lien vers chez Gularu ce mois-ci à partir de ce blog). Je n’en donnerai pas la liste, tu es assez con pour être susceptible et ne pas t’y trouver alors que ça n’a strictement aucune importance. D’ailleurs, la liste varie selon les mois.

Les labs sont notre ami…


21 août 2011

Un diner à la campagne

Pour éviter que des processus calomnieux se mettent en place, il faut que je me presse de faire le compte rendu objectif de cette soirée chez Catherine et Didier Goux avec Tonnégrande.

Mon fier Guyanais et moi nous élançâmes sur l'A13 avec ma Ford Fiesta de location rutilante récupérée chez Europcar le matin même. Bref, on s'en fout.

A table, nous n'avons bu qu'une bouteille de blanc et trois de rouge, ce qui, pour de solides gaillards comme nous, est relativement peu, vous en conviendrez. A l'apéro, Tonnégrande et Didier s'étaient enfilés. Une bouteille de blanc chacun. Pour ma part, je buvais un liquide que je ne connaissais pas que Didier m'a fait découvrir. J'ai cru comprendre qu'il était à base d'orge fermentée, de houblon et d'eau. D'une couleur proche du jaune avec une petite mousse sur le dessus et des bulles qui remontent doucement si on leur en laisse le temps.

Nous finîmes au salon devant d'autres liquides assez proches dont une toute petite bouteille de whisky qui a capitulé assez rapidement (Didier avait réveillé Catherine pour savoir où elle l'avait caché).

A deux heures du matin, nous avions accompli notre mission : plus une goutte d'alcool ne trainait dans la maison.

Ah ! On a mangé aussi, c'était bon.

20 août 2011

Programme des prochaines heures #cuite

1. Passer aux toilettes,
1bis. Faire mes bagages : brosse à dent et chargeur d'iPhone,
2. Aller à la Comète prendre un café et Tonnégrande,
3. Monter dans la voiture,
4. Aller chez Didier Goux (je me suis laissé poussé la moustache façon Hitler, pour lui faire plaisir, Tonnégrande s'étant fait pousser autre chose pour faire plaisir à Catherine Goux quand le vieux sera bourré),
5. Descendre de la voiture,
6. Boire une bière dans le jardin (ou n'importe où, ce n'est pas le plus important),
7. Faire ce que nos hôtes auront décidé (c'est vrai, ça !, je ne vais quand même pas tout faire, ici, moi),
8. Dormir avant de reprendre la route.

Il n'y a pas de hashtag prévu pour suivre la soirée dans Twitter. "#cuitedungrosnazidungrosnoiretdungrosacravateachier"
fait déjà près de 140 caractères.

A l'attention de Catherine Goux

Chère amie,

C'est avec un plaisir infini que j'ai accepté cette invitation que je ne suis pas sur de mériter. Néanmoins, j'ai une boule à l'estomac, la peur que ce repas soit gâché par un détail idiot.

Par exemple, une fois, j'avais été invité par un couple d'amis en Normandie avec les Balmeyer. La charmante cuisinière avait oublié un petit truc : cuire le riz.

Par ailleurs, afin d'assurer la réussite de nos agapes, je vous recommande, voire vous prie, de surveiller votre gros et de faire en sorte qu'il ne commence pas à boire avant notre arrivée. S'il prétexte une chaleur accablante, vous pouvez lui proposer de l'eau. On n'en meurt pas.

De mon coté, je surveille le gros Tonnégrande.

Bien à vous,
Nicolas


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19 août 2011

A l'attention de Didier Goux

Cher Didier,

J'espère que vous avez pu contacter la préfecture de Normandie Atlantique afin de permettre la parution du décret interdisant les vaches dans les champs de manière à ce que M. Tonnégrande ne soit pas trop dépaysé lorsque nous arriverons chez vous.

Je vous remercie par ailleurs d'avoir maintenu le black out quant au fait que je passe une partie de mon week end chez l'égérie de la blogosphère nazie. Ma réputation de blogueur gauchiste pourrait en prendre un coup.

Bien à vous,
Nicolas


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Zac Efron nu sur Twitter : c'était un fake

Heureusement, des gens sérieux ont réussi à le démontrer. L'honneur est sauf. Mais c'est moins rigolo.

16 août 2011

La Cougar

Non, ce n'est pas Trublyonne, Zette, ni Mrs Clooney mais Selena Gomez, la grosse de Justin Bieber, qui se fait appeler ainsi compte tenu qu'elle a deux ans de plus que son giton.

L'occasion pour la presse people de diffuser des photos des deux jeunes tourtereaux dans des tenues très légères. On les voit presque nus.

Dans cette autre photo, un peu plus bas, on le voit qui malaxe les fesses de sa fiancée ce qui laisse penser qu'une certaine intimité s'est insérée entre eux mais la photo est ratée.

Rassurez-vous, ne n'est pas moi qui me risquerais à diffuser ce genre de photo dans l'unique espoir de faire de l'audience en cette morne journée d'été.

Pas si morne que ça, d'ailleurs, puisque je m'en vais à Bruxelles dans l'après midi pour visiter Monsieur Poireau et Madame. Je suis bien content et j'espère qu'ils ont acheté de la bière. Non mais sans blague.

Cette deuxième photo est particulièrement ratée, on dirait que je l'ai prise avec mon iPhone un soir de cuite.

15 août 2011

Mais que fait Zac Efron ?

J'ai bien fait de garder mon abonnement aux alertes google à propos de Zac Efron, moi ! Non seulement, j'ai appris ainsi qu'il était séparée de sa petite amie mais en plus on voit maintenant les conséquences puisqu'il est obligé de se finir à la main.

Cette photo (on va dire que c'est un faux) a fait le tour de twitter cette nuit et je ne vois pas pourquoi je n'en ferais pas profiter mes lecteurs préférés.

(photo prise ici)

14 août 2011

Chanson réac

Mes collègues blogueurs gauchistes, à l'initiative de Juan, je crois, cherchent des chansons décalées de leur jeunesse. Comme Lucien. Cette chaine ne passera pas par moi.

Les vacances continuent...


Le temps passe trop vite, le tiers des vacances est derrière moi. La suite immédiate est ainsi faite :

Petit 1 : aujourd’hui je ne fais rien. Apéro PMU et Aéro. Déjeuner Comète. Sieste.
Petit 2 : demain, je ne fais rien. Apéro Aéro. Déjeuner maison. Sieste.
Petit 3 : mardi, direction Bruxelles pour 48 heures chez Poireau.

Après on verra.

12 août 2011

Des ventres à bière

Parmi nos huit mannequins, vous reconnaitrez assez facilement Vlad, El Camino, Melclalex, Gildan, Yann (c'est le vieux), Romain, David et P'tit Louis.

Trouvé ici, blog que j'ai trouvé par Polluxe et que je recomande.

London Calling

Ceci n'est pas un billet politique mais une réponse à Vlad et un test pour Rimbus.

11 août 2011

Vive tout le monde, merci, bon anniversaire, bonne fête, ...

J’ai commencé ces vacances dans un rare état d’épuisement (7 mois sans vacances, plus une dernière période de boulot qui m’a épuisé, parallèlement à la mort du Coucou). Quelques jours et soirées avec des amis m’ont retapé. Merci à Emilie, Jim, Trublyonne, Romain, Jean et Marco !

Je voulais en faire un billet gnagnan pour les remercier mais je renonce : il faut absolument que j’aille au bistro rejoindre le vieux Joël que je n’ai pas vu depuis une dizaine de jours.

Je vais me rattraper avec l’illustration de ce billet afin de faire battre des records à ce blog. Dieu m’en remerciera, s’il est à jeun le jour du jugement dernier. Tiens ! Je pourrais y rajouter une fleur jaune, à ce dessins...

Dans l’attente, j’entends fête un bon anniversaire à Jean-Baptiste et à Yann. Ils se reconnaîtront.

Et surtout, bon anniversaire à ma petite sœur et une bonne fête ma nièce !

J’irai me retaper avec elles à la fin du mois puisqu’elles habitent la Rochelle et que j’ai été invité à l’Université d’Eté du PS. A force de faire le con en tant que blogueur politique, je me retrouve dans une galère…

Mais ça me permet de voir la famille, c’est bien le plus important… avec les copains…

N.B. : Hélène, clique sur l'illustration pour l'agrandir avant de l'imprimer et de la donner à qui tu sais.


10 août 2011

Cinquième jour de vacances

1. Finir le blogage,
2. Prendre une douche,
3. Faire "la valise",
4. Aller prendre le café à la Comète,
5. Aller prendre l'apéro à l'Aéro,
6. Aller manger à la Comète,
7. Aller Gare de Lyon,
8. Prendre le TGV,
9. Descendre à Lyon et être pris en charge par Romain puis Trublyonne,
10. Prendre l'apéro avec eux deux, Minijupe et les autres,
11. Dîner avec Romain, Trub et les autres, dont Marco, Littlecelt et je ne sais plus...
12. Heu... Ca dépend...

08 août 2011

Vacances studieuses

La blonde qui boit n'importe quoi est la seur d'Emilie, la grosse à Jim, qui a acheté un téléphone neuf. Avec Jim, nous devrions arroser ça, de même que le crack boursier, les anniversaires de Martine Aubry et, surtout, de Guy Birenbaum qui franchit un cap important aujourd'hui ! Quelque chose comme une paire de quarts de siècle. Bon anniversaire Guy !

Troisième jour de vacances

1. Finir le café
2. Prendre une douche
3. Faire une sieste.

07 août 2011

Faut-il que je les aime !

Me voila à Douai. Je ne sais pas ce que fous là, mais j'y suis. Il y a une espèce de beffroi visible par la fenêtre mais bruyant comme si on avait obligé Didier Goux à  parler de politique économique.

Et cet andouille de Jim me file son PC en exigeant que je fasse un billet de blog...

Putain de connard de befroi qui fait du bruit comme une provinciale vierge venant postuler comme serveuse à la Comète.

Deuxième journée de vacances


  1. Aller faire caca.
  2. Me raser (puisque je pars pour trois jours).
  3. Prendre une douche.
  4. Me laver les dents (éviter de le faire juste après le 1 si on ne s'est pas lavé les mains).
  5. Aller prendre un café à la Comète.
  6. Aller prendre l’Apéro à l’Aéro.
  7. Aller manger à la Comète.
  8. Rentrer à la maison.
  9. Régler le réveil sur 16h22.
  10. Prendre le métro pour la Gare du Nord.
  11. Prendre le TGV pour Douai.
  12. Descendre du train à Douai.
  13. Boire une bière à la gare.

La suite ne dépend pas de moi mais d’Emilie et Jim.

06 août 2011

Première photo de vacances

Le "steak de gigot" était très bon.

Première journée de vacances

1. Aller payer une tonne de factures et dépenser du pognon dans des commerces.
2. Aller prendre un café à la Comète.
3. Aller prendre l'apéro à l'Aéro.
4. Aller manger à la Comète.
5. Faire la sieste.
6. Faire de la veille technologique (traduire : faire le con dans les blogs et troller le vieux de retour de vacances).
7. Réserver un billet de train pour demain.
8. En fonction des réponses de chacun, préparer le programme des vacances.
9. Ecrire au Canton.
10. Passer la soirée au bistro.

05 août 2011

Tu pars où en vacances ?

« Tu pars où en vacances ? » : telle est la question rituelle qu’on nous pose en cette période, notamment au bureau. Je n’en sais rien. Je sais que je suis en vacances pour trois semaines à partir de ce soir. Outre le fait que je me demande bien ce qu’ils en ont à cirer de savoir où je vais, à part la sympathique, le fait que les gens assimilent les vacances à un départ m’a toujours amusé.

Ils sont donc si mal dans leur pavillon de banlieue ? Ils vont se précipiter dès le samedi, premier jour de vacances, de décamper de chez eux pour mieux « profiter des vacances », ne se rendant pas compte qu’ils vont surtout profiter des bouchons, des gaz d’échappement, des mômes qui vont brailler dans la caisse ?

Pourtant, ils sont fiers de leur pavillon de banlieue, acheté à crédit sur 25 ans. Ils sont contents… Ils ne mettent que 55 minutes pour aller au boulot le matin et peuvent organiser trois barbecues par an avec les voisins car ils n’ont plus le temps d’avoir une autre vie sociale. Et dès qu’ils sont libres, ils fuient, comme s’ils haïssaient leur quotidien.

Une collègue me demandait mercredi matin : « Et à l’étranger, tu vas souvent à l’étranger ? » Elle était tellement dépitée par ma réponse négative que j’ai évité d’être grossier. Je lui ai dit que j’allais tous les ans dans tous les coins de France, que je visitais un peu tout, … Je lui ai parlé de certaines régions qu’elle ne connaissait même pas...

Moi, j’aime bien me faire inviter, pour deux ou trois jours, pour voire des gens que je ne vois pas assez, dans des coins que je ne connais pas. J’ai failli succomber à l’invitation de CC. Je ne connais pas Montbéliard. Je suis allé une fois à Belfort, en faisant l’aller-retour dans la journée pour amener la mère d’un pote qui débarquait d’Algérie pour la première fois de sa vie et allait passer une semaine dans la famille. C’est tout. L’an prochain, peut-être…

Je comprends que les gens partent. Pendant les vacances, ils ont le temps ! Mercredi prochain, je vais à Lyon, voir Trub, Minijupe, Romain, LittleCelt et peut-être Bembelly et Marco. On a pris rendez-vous à l’avance parce que ce n’est pas facile de réunir tout le monde, sinon, j’ai plutôt tendance à improviser… Toujours est-il que si j’avais été en déplacement professionnel à Lyon, je les aurais appelés pour organiser la même soirée.

En fait, si je pouvais voyager pour le boulot et voir les potes, je resterais à Bicêtre pendant les vacances… Je comprends les gens qui partent, pendant leurs vacances. Je comprends aussi beaucoup ceux qui veulent partir mais ne peuvent pas. C’est juste l’expression « Partir en vacances » qui m’énerve… « Tu as quelque chose de prévu pour tes vacances ? » me paraitrait une meilleure question…

Bien que je me demande ce que les gens en ont à cirer de ce que je fais pendant mes vacances.

Est-ce que je raconte dans mon blog ce que je fais pendant mes vacances ?

Oui. Ah bon ! Mais c’est pour le plaisir d’écrire.

Ce soir, j’ai rendez vous avec Tonnégrande à la Comète. Elles commencent bien, ces vacances ! Ca fait une semaine que je n’ai pas vu ce zigoto. Ensuite, nous irons à l’Amandine qui ferme ce soir pour quinze jours. Il y a forcément quelques futs de bière en perce qu’il serait malvenu de laisser éventer.

Demain midi, j’ai rendez-vous avec Corinne et sa mère à l’Aéro, sauf si elles sont parties à la campagne, ce qu’elles doivent me confirmer ce soir. J’ai une organisation de vacances particulièrement méthodique. Ensuite, j’ai aussi rendez-vous avec Tonnégrande à la Comète.

Demain soir, je ne sais pas. Mais je ne sais pas par quel miracle, je ne serais pas à la Comète.

Dimanche midi, pareil.

Dimanche après-midi, je vais à Douai, chez Jim, jusqu’à mardi matin. Parce que ça me fait plaisir de les voir, avec Emilie, et je suppose qu’ils me le rendent bien. Je ne suis jamais allé à Douais, sauf une fois, en coup de vent. Peut-être verrais-je des blogueurs nordistes ? Je ne sais pas. Il faudrait que je les contacte…

Mardi soir, je vais à la Comète. Mercredi, je vais à Lyon. Ensuite, je ne sais pas. Je pense que comme chaque année, je vais aller voir mes copains au Canton. J’ai promis à Gabale de passer le voir en Lozère. Je suis bien capable de me dégonfler (la mort du Coucou a perturbé mes plans de vacances). Ensuite, j’irai chez FalconHill, voir le petit dernier. Et premier, d’ailleurs.

Il faut également que j’aille faire une virée en Belgique, chez Poireau. Deux ou trois jours. Je n’ai pas réussi à y aller après mon passage à Douai. De toute manière, je suppose qu’il faut moins de temps pour aller en TGV de Paris à Bruxelles que de Douai à Bruxelles.

Ensuite, je vais probablement passer quelques jours vers Le Mans, chez Martine et Jean, anciens patrons de la Comète, avant d’aller à La Rochelle, chez ma sœur… pendant l’université du PS où je suis invité.

Et dimanche 28 au soir, je serais probablement à l’Aéro, la Comète étant fermée le dimanche soir…

Que voulez-vous que je réponde à « Tu pars où pendant tes vacances ? » ?

02 août 2011

Comptoir de secours

Avec l’été, la chaleur, les bureaux vides, les jupes qui raccourcissent dans les coins touristiques, on change ainsi légèrement nos habitudes… C’est ainsi qu’en me promenant, hier midi, j’ai eu envie de retrouver une vieille… habitude que j’avais : manger des sandwichs à un comptoir d’une brasserie.

Etant proche de « La Motte Piquet Grenelle », j’ai décidé de choisir une des grandes brasseries au tour de ce carrefour…

Mon choix a été facile à faire. Je n’ai pas perdu la main : savoir repérer la brasserie sans aucun cachet où on se sent bien parce que le patron cherche à gagner de l’argent par la satisfaction apportée au client et pas par des éléments de décor. Il faut que le bistro soit suffisamment grand pour qu’il devienne totalement impersonnel. L’idéal pour le client de passage, pour qu’il ne soit pas perdu, entre des habitués, au comptoir.

J’en ai visité des tonnes, comme ça, au cours de déplacements professionnels. Le boulot terminé, le soir, on (moi...) aime bien boire une bière avant de me trouver un resto avant de rejoindre ma chambre d’hôtel.

Il s’agit alors de trouver le rade idéal, celui qu’on fréquentera cinq ou dix fois par mois, où le personnel apprendra à vous connaître et à respecter vos habitudes dès qu’il aura repéré vos tics.

La seule fois où je me suis trompé, c’est pour trouver le rade de Brest. Ce jeu de mot est idiot mais la ville et l’anecdote sont bien véridiques. J’avais trouvé un bar, relativement ancien, avec un long comptoir. Le personnel était jeune, environ 25 ans, il n’y avait pas trop de monde (le bistro fermait vers 20 heures, ce qui m’allait très bien). Finalement, les trois jeunes n’étaient pas le personnel mais les trois patrons. Je suis rentré dans les mœurs, j’étais souvent le dernier client, on a fini par boire des bières ensemble, quand ils avaient fini le ménage et fermé le porte, puis par partir en java dans différents bars brestois. Ma mission à Brest s’est terminée brutalement (le client n’avait plus de sous) et je ne suis revenu un an après (quand les budgets avaient été « repris »). Le bistro avait fermé (j’ai croisé deux ou trois fois les petits jeunes mais notre intimité avait été tuée par la fermeture de leur rade). L’erreur que j’ai faite est de chercher en petit bistro sympa, en suite, pour le remplacer, pour avoir la même ambiance… Je n’ai jamais trouvé alors que je me suis trouvé un autre bistro. Un grand truc clair, avec long comptoir et pas trop de monde.

Sans faire aucun effort (à l’époque, je n’avais pas l’iPhone, je faisais les mots croisés au comptoir), j’étais copain avec le patron et le serveur, mais pas trop intime comme je l’étais avec les trois jeunes.

Depuis, je me suis sédentarisé et n’ai plus eu l’occasion de chercher un comptoir de secours lors de déplacements fréquents. Un coin où je me sente bien dès la quatrième ou cinquième visite.

Hier, j’ai voulu voir si j’avais toujours la main. Il me fallait un grand comptoir, si possible en angle, dans un bistro bien éclairé.

C’est mon côté réac. Un bistro était un lieu de vie, des patrons modernoeuds ont voulu les changer, ont supprimé les comptoirs et « baissé les lumières » pour donner une touche d’intimité… Les raisons sont multiples, ils voulaient tout axer sur « la restauration assise », bien plus lucrative. Le contraire de ce qu’il fallait faire, j’en ai déjà fait des billets. D’ailleurs, ils reviennent dessus sauf dans les coins touristiques, où les clients sont présents en masse.

Je suis entré dans ce bistro. Je me suis mis au comptoir, j’ai commandé mon sandwich. Et mon demi. Et j’ai retrouvé une ambiance.

Un patron, à la caisse, rendant la monnaie pour le comptoir, faisant les sandwichs et les croque monsieur. Un barman servant les clients au comptoir et préparant les commandes des serveurs. Quatre serveurs dont deux à glander. Un type « à la plonge », dans une petite pièce juste derrière le comptoir et, probablement, au moins deux cuisiniers.

Les serveurs étaient habillés en pingouin, avec le traditionnel gilet noir, plein de poches, leur permettant de trier la monnaie mais pas du tout adapté en été…

Aujourd’hui, il y avait un serveur de moins mais un type en jean qui faisait un peu le job d’un maitre d’hôtel et qui m’a serré la main en arrivant. Je suppose, vu le comportement des autres, que c’était le vrai patron, l’autre, à la caisse, n’étant qu’un gérant.

Tout le personnel « visible » (donc pas les cuisiniers) semblait être du même moule : des hommes de 45 à 55 ans.

On peut difficilement décrire l’ambiance qui y règne. D’ailleurs, ça ne servirait à rien. Si vous aimez ça, vous comprenez, sinon, on s’en fout.

D’ailleurs, j’y suis retourné dans mon bistro, ce midi. Je voulais noter des détails pour faire un billet sur l’ambiance dans ces brasseries que j’affectionne.

Je n’ai pas trouvé quoi raconter.

Par contre, j’ai vite compris que j’en ferais assez facilement un comptoir de secours.

Mes platanes

Hier soir, quand j’ai vu qu’ils abattaient les platanes (ou assimilés…) de l’Avenue de Fontainebleau (ancienne Nationale 7), au Kremlin-Bicêtre, en bas de chez moi (au bout de la flèche rouge, le raccourci que j’utilise pour retrouver la place où j’habite, en rentrant de la Comète), j’étais fumasse. Mais de quel droit ? En quel honneur se permettent-ils d’abattre mes arbres ? Et tout ça.

Il faut dire que ça m’amuse, au fond, ce projet. Je crois qu’ils vont mettre des conifères. Place de la Comète, ils vont mettre des pins parasols, pour symboliser « le route du sud ». Tu parles ? La place de la Comète est en plein nord ! Il n’y a du soleil que le matin très tôt et le soir tard.

Ce matin, je me suis arrêté pour prendre cette photo. Je me suis rendu compte que si on m’avait demandé s’il y avait des arbres, j’aurais été incapable de répondre sans réfléchir. Et je m’en serais rappelé à cause des « encombrants » dont les gens se débarrassent à leurs pieds lors des collectes, une ou deux fois par mois…

On a finalement assez peu de reconnaissance pour nos arbres qui nous sont chers…

01 août 2011

Marcel voyage

Il y a une anecdote qui n’a strictement aucun intérêt mais qui, par justice envers Marcel le Fiacre et le vieux Jacques, doit être narrée ici. Lundi dernier, je vous racontais mon dimanche et l’étape du Tour de France passant à Bicêtre avait provoqué une légère ébriété de mes camarades.

Patrice était avec nous mais devait bosser le soir, à 22 heures, à plus d’une heure en transports en commun.

La rumeur nous dit qu’il a sonné chez Marcel à 23 heures pour demander à Marcel de l’amener. Marcel, réveillé, a d’abord refusé mais son épouse a insisté. Voila comment Patrice est allé en taxi au boulot et est probablement arrivé une bonne heure et demie de retard.

Marcel, que j’ai vu plusieurs fois cette semaine ne m’a rien dit, c’est étrange. C’est le vieux Jacques qui m’attendait samedi midi, à l’apéro, pour me raconter ça. J’espérais voir Patrice à l’apéro, dimanche, mais il a probablement eu peur.

Tiens ! Je vais vous raconter pourquoi j’ai vu Marcel.

C’était jeudi, le jour où j’ai appris la mort du Coucou, je vous dis ça pour que vous compreniez bien dans quel état esprit j’étais. De fait, après avoir appris la mauvaise nouvelle, vers 13h30, j’avais été très occupé, l’après midi, par la nécessité de faire mon travail tout en répondant aux copains que j’avais contacté, en remerciant pour les billets, les tweets, …

Il n’y avait que dans le métro que j’ai pu laisser mon cerveau aller où il voulait. J’arrivai à Bicêtre dans une humeur que nous qualifierons de mauvaise.

Je sors du métro à 19h19. Je sors mon iPhone et constate que j’avais un message de Marcel, de 19h10 et qui m’engueulait parce que je n’étais pas encore arrivé alors qu’on avait rendez-vous à 19h15.

Ce rendez-vous avait été conclu par téléphone, vers 17h. Marcel m’appelle, je décroche « tu es où là ? » « Ben, au bureau, pourquoi » « Encore ? Mais qu’est-ce que tu fous ? » « Ben je bosse… » Du grand Marcel ! Ca fait des années que j’arrive à la Comète entre 19h et 19h15. Dans le temps, c’était plus près de 21 heures, mais depuis 7 ou 8 ans, c’est plus calme. Depuis huit mois, j’arrive plus souvent vers 19h20 parce qu’ayant un temps de trajet relativement court, je ne suis plus « stressé ».

Marcel avait commencé à me raconter son histoire au téléphone mais j’avais interrompu la conversation parce que, de toute manière, il avait des papiers à me faire lire.

Globalement, d’après lui, il avait demandé à Christian, un copain du quartier, de lui réserver par Internet un voyage en avion et une voiture de location. Mais Christian n’avait pas eu le temps de tout faire avant de partir en vacances et c’est une voisine de Marcel qui devait continuer mais, tu comprends, elle est un peu débile et ne connaît pas bien tout ça, alors voilà, c’est la merde dans le truc, elle n’arrive pas à faire ce qu’il faut.

En fait, Christian avait tout fait normalement et avait juste fait suivre trois mails de confirmation à la voisine pour qu’elle puisse les imprimer et les donner à Marcel.

Mais Marcel était inquiet : sur le mail de réservation de l’avion, on ne voyait pas les horaires et c’était un peu louche. Quand aux deux mails à propos de la voiture de location, le deuxième disait qu’une confirmation devait arriver dans les 72 heures.

Comme Marcel et Laverdure n’arrêtaient pas de parler, il a fallu que je me fasse tout rouge pour avoir la paix pour comprendre tout ça, juste après avoir expliqué à ces andouilles ainsi qu’au barman et à Tonnégrande qu’un de mes potes était mort et tout ça.

@M_Le_Maire qui est assis à deux pas avec sa fille pourrait témoigner à propos de le manière avec laquelle je les ai envoyé chier.

J’avais donc trois mails de plusieurs pages.

Le premier, de la compagnie aérienne, avait un numéro de réservation. Tout semblait OK. Je me suis dit que la petite dame avait fait une connerie en les imprimant, j’ai envoyé un mail à Christian pour qu’il me le fasse suivre au boulot afin que je puisse le réimprimer. C’est maintenant que je viens de comprendre : la messagerie de la petite dame avait bloqué les images.

Ce sont les deux autres mails, ceux du loueur de voiture, qui m’intriguaient. Le premier avait bien un numéro de réservation mais le deuxième annonçait une confirmation dans les 72 heures, confirmation qui n’était jamais arrivé. C’est ensuite que j’ai compris que l’informatique du loueur avait un bug : le mail de confirmation était parti avant le mail annonçant le mail cette confirmation.

Il a fallu que j’explique tout ça à Marcel.

Tout est compliqué avec cet animal…