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15 janvier 2013

Bons anniversaires !

Aujourd’hui c’est l’anniversaire de ma copine Karine qui aura le plaisir de mettre une tournée samedi à 18 heures au 1880 Café mais aussi de Tonnégrande, gros roi de la jungle, mais actuellement en déplacement professionnel ce qui est regrettable. Tonnégrande ! Sosie de Samuel Jackson en plus gros et en qui picole plus.

Bon anniversaire à eux, donc !

08 octobre 2012

Tonnégrande est vivant !

Quand je suis sorti du métro, vendredi soir, pour aller à la Comète, vers 19h15, j'ai entendu qu'on m'appelait. C'était Tonnégrande qui était avec le vieux Jacques à la terrasse de l'Aéro. Ils étaient saouls comme des cochons.

Le midi, j'avais déjeuner avec le gros et Jacques R... Tonnégrande a décidé de ne pas rentrer au bureau et a continué à picoler, d'abord près du restaurant où nous étions puis à la Comète et à l'Aéro.

Vers 20h30, il n'avait plus de sous et commençant à m'inquiéter à propos de sa capacité à rentrer chez lui, j'ai refusé de lui offrir un verre...

Je n'avais pas de nouvelle depuis. Depuis samedi, il ne répondait pas à ses SMS.

Il vient de répondre. Ouf...

02 octobre 2012

Tonnégrande dans la campagne d'Obama ?

Non ! C'est Samuel Jackson qui lui sert de doublure dans les parties les plus érotiques - pour ne pas dire pornographiques - qui jouera dans un film pour tenter de ridiculiser Mitt Romay qui n'a pourtant pas besoin de ça, le pauvre.

Par contre, il va prochainement falloir trouver une nouvelle doublure à Tonnégrande, compte tenu de la légère surcharge pondérale dont il est doté dorénavant comme s'il tenait encore un blog.


30 septembre 2012

Tonnégrand-père

Le célèbre Tonnégrande vient d’être grand-père pour la deuxième fois. Un petit garçon qui porte l’horrible prénom d’Ethan au grand désespoir du vieux noir à barbe blanche. Je suppose que nous fêterons ça dignement.

Hier midi, à l’apéro, il était malheureusement pressé puisqu’il devait aller à la maternité avec son épouse et n’avait trouvé aucun prétexte pour éviter cette corvée. Il fait partie du club de ceux qui ne trouvent absolument aucun intérêt aux enfants, surtout avant l’âge de la majorité sexuelle et en plus, là, c’est un garçon.

Je lui ai proposé de laisser des sous au serveur pour qu’on puisse faire la fête sans lui mais il n’était pas capable.

Comme l’atteste cette photographie : le petit ressemble déjà à papy avec sa barbe blanche. Il est incontestablement le grand père du petit, donc de la mère, sa plus jeune fille, ce dont il n’avait jamais pu avoir vérification : toute la famille étant composée de greluches.

Cela étant, chercher une photo pour illustrer un billet en tapant « Bébé noir » sur Google me semble un tantinet raciste mais une recherche de "négrillon" qui aurait été plus politiquement correcte n'a rien donné.

30 juillet 2012

Un week-end à la campagne

Je le disais dans un billet, samedi, c’est une magnifique DSK4 que j’ai louée, ce week-end, pour aller à la campagne. Disons-le tout de suite : si j’avais une voiture à acheter, aujourd’hui, mon choix porterait sur ce modèle. Mais je n’ai pas l’intention d’acheter une voiture. On a fait assez de billets dans les blogs gauchistes pour dire que la voiture, ça commence à bien faire. A Paris, évidemment.

Elle a peut-être un point négatif : il m’est arrivé plusieurs de passer de la cinquième à la sixième en voulant passer à la quatrième. Du coup, on se retrouve sans la moindre puissance et en situation relativement dangereuse… Ce n’est pas la première fois que je loue une voiture avec une sixième mais c’est la première fois que ça m’arrive, à plusieurs reprises, qui plus est. Je suppose qu’il faut un temps d’adaptation (je n’ai fait qu’environ 200 kilomètres).

Il m’est par ailleurs arrivé deux anecdotes avec le GPS.


Voila la première. J’avais entré l’adresse de destination, près d’Evreux. Alors que j’aurais du garder l’autoroute A13 jusqu’à son croisement avec la Nationale 13 (trajet en vert), cet imbécile m’a fait sortir à Mantes La Jolie pour passer par un tas de patelin (trajet en rouge), avec des travaux, des feux rouge… et même un mariage… Du coup, pour faire un trajet d’une vingtaine de kilomètres que j’aurais du faire en une dizaine de minutes à 130, j’ai fait cinq ou dix kilomètres de plus à une moyenne de 60. 20 minutes de perdues, ce dont j’ai horreur (surtout qu’on aurait pu louper l’apéro).

Je suppose que le GPS était avec une programmation permettant d’éviter les péages.

Quand on est arrivé chez nos charmants hôtes, je leur raconte cette histoire et voila Tonnégrande qui me donne tort alors cette andouille avait dormi tout le trajet à cause des multiples apéros qu’il a pris à midi à cause de David qui était passé par là par hasard avec son épouse en rentrant d’Orly.

J’ai alors offert les fleurs à Catherine qui me demande le nom. Je réponds : « Ah ben, j’ai oublié, c’était indiqué sur une étiquette avec le prix. Je l’ai enlevée. Je me rappelle le prix. Tiens ! Je vais te le donner, tu n’auras pas tout perdu : 21 euros ». La rigolade du week-end commençait bien.

Je ne vais pas vous raconter tout le reste, ça serait indécent. Surtout le moment où Didier n’arrivait pas sortir de son fauteuil, à 4h30. Il a fallu que je l’aide.

Venons-en directement au retour. Il était 16h45.

Au moment des embrassades, Catherine me dit « Vous m’envoyez un SMS dès que vous arrivez pour nous rassurer. » Moi : « Ah ! Ben je vais le faire maintenant, ça fera ça de fait. » Je vous l’ai dit : on a bien rigolé. Comme des gamins.

Nous montons dans la voiture. Je démarre. Je desserre le frein à main (opération un peu difficile à maîtriser). La voiture se met à sonner dans tous les sens comme si on était en danger immédiat. Je ferme la porte qui était restée ouverte pour pouvoir continuer à raconter des conneries. Ca s’arrête : c’est la première fois que je vois une voiture qui déclenche une alarme quand le frein à main est desserré alors que la porte est ouverte.

On se casse après une manœuvre périlleuse que j’ai réussi par miracle. Au bout de quelques kilomètres, cet imbécile de Tonnégrande se rend compte qu’il avait oublié sa veste. Arrivé près de la Nationale 13, je trouve un coin pour faire demi-tour… Le téléphone sonne, c’était Catherine qui nous prévenait de l’oubli…

Le trajet du "deuxième retour" se passe sans encombre malgré une A13 un peu chargée vers la fin. Nous prenons le périph.

Cette fois, c’est moi qui ai fait une connerie. Voir la deuxième carte. Nous arrivions par le périphérique et la logique aurais voulu que je sorte Porte d’Italie, que je remonte l’Avenue d’Italie, que je fasse le tour de la Place d’Italie et que je redescende l’Avenue sur 50 mètres pour aller au parking du loueur. Trajet vert. Arrivée Porte de Gentilly, j’ai eu une idée que je trouvais géniale : sortir là, rejoindre le Boulevard Auguste Blanqui par des petites rues et, Place d’Italie et redescendre l’Avenue d’Italie. Cette solution m’évitait de prendre la Porte d’Italie, parfois un peu chargée en fin de week-end et éviter d’avoir le tour de la Porte d’Italie, ce qui me gonfle toujours avec les priorités dans tous les sens et les feux au milieu. Trajet bleu.

Mais, arrivé Boulevard Auguste Blanqui, je me rappelle que je comptais faire le plein de la voiture à Porte d’Italie et qu’il me fallait le faire avant de rendre la voiture de location. La carte du coin était affichée sur l’écran du GPS (pas programmé) et m’indiquait une station à une cinquantaine de mètres à droite. Je tourne. La station en question n’existait pas. Peu importe, une station était indiquée plus loin. Elle n’existait pas. Bah ! Une autre était indiquée. Route barrée. Heu… Je continue, une autre s’affiche. Sens unique (plus exactement, impossible de tourner à gauche à un carrefour, la rue étant séparée en deux par un muret pour éviter aux gens de faire les cons). Ceci est strictement véridique. Trajet rouge (de mémoire, néanmoins). Une fois que j’ai repéré les maréchaux, j’ai décidé de reprendre le plan initial : plein Porte d’Italie. Mais il a fallu que je fasse le tour de cette Porte puis celui de la place, deux choses ce que je voulais éviter…

L’art de perdre un quart d’heure.

Que dire de plus sur cette voiture ? Je croyais que c’était une trois portes. Non. Elle en a cinq mais les poignées des portes arrières sont cachées, ce que je viens de découvrir dans Wikipedia en cherchant des anecdotes pour ce billet.

24 juillet 2012

Les vacances de Tonnégrande

Mes chefs et mes collègues responsables de projets étant pour la plupart en congés et restant le « plus ancien dans le grade le plus élevé » de mon service, j’ai beaucoup de travail, cette semaine. Pas nécessairement en quantité (quoi que… je suis obligé de faire tourner les blogs au ralenti), mais en diversité puisqu’il faut que je me penche sur à peu près tous les dossiers ouverts…

Aussi, hier soir, je suis rentré vanné, en annulant une soirée avec des potes. Directement au comptoir de la Comète !

Là, le drame. Tonnégrande est en congés et sa grosse est en vacances dans sa Guyane natale. Il a donc pris la seule décision qui s’impose : prendre une grosse cuite dès le premier jour pour avoir le temps de se remettre pour la prochaine, samedi à la campagne.

Il lui fallait un compagnon. Je me suis sacrifié malgré la fatigue, de même que Laverdure qui avait drôlement soif.

A 22h, Tonnégrande a commencé à paniquer car la Comète fermait. L'Aéro était encore ouvert. Il y a foncé pour "réserver" de peur que Karim ferme. Je suis arrivé un peu après, le temps de finir mon verre à la Comète. Karim, le patron, était d'humeur joyeuse.

Tonnégrande a réussi à prendre un bus vers 23h30. Je suppose qu'il s'est endormi et est allé jusqu'au terminus.

Mon écran est un peu flou, ce matin. Les vacances de Tonnégrande commencent bien.

09 juin 2012

La candidate de Tonnégrande

C'est ici que sont diffusées des affiches "amusantes" des candidats aux législatives. Merci à El Camino de nous avoir trouvé ça. Tonnégrande m'a fait suivre l'affiche de la candidate de sa circonscription. Ce n'est pas un fake. En cherchant son nom (on ne peut pas l'inventer, d'ailleurs !) dans Google, on tombe sur sa photo (celle là, d'ailleurs) sur le site du Front National.

Je pense que Tonnégrande ne va pas voter pour elle. Allez savoir pourquoi...

20 novembre 2011

15 ans de Comète ! Ca s'arrose ?

Je n’ai pas trouvé de photo d’Henri, à part quelques unes que j’ai prises avec mon premier iPhone et donc de bien piètre qualité. Je voulais juste illustrer mon billet en souvenir de celui qui nous a quitté, hier. C’est ainsi que je me suis replongé, ce matin, dans mes photos de 2001 à 2008, avec toutes ces saynètes, ces réveillons, ces heures au bistro.

Ce qui m’a frappé, ce sont les changements d’environnement progressifs…

Maintenant, « ma bande » est centrée sur le vieux Joël, Djibril et Tonnégrande, avec quelques apparitions de Patrice et du Vieux Jacques, voire Marcel le Fiacre. Le dimanche midi, je prends souvent l’apéritif avec Patrice, le Vieux Jacques et Alain Le Loufiat. Ils seront probablement avec moi, ce midi.

Il y a aussi les copains blogueurs puisque ils viennent fréquemment à la Comète : Dagrouik, El Camino, Gildan, Gularu, Melclalex, Mip, Olympe, Polluxe, Romain, Seb, Vlad, Yann et tous les autres ! Tiens ! Philippe est passé hier après-midi dire bonjour.

Et il y a Corinne et sa mère que je vois tous les soirs ou presque, à l’Amandine et le week-end, à l’Aéro.

Quand j’ai appris la mort d’Henri, hier, je me suis assis en terrasse, à côté de la porte et je me suis mis à rêvasser sur le temps qui passe et je me suis rendu compte que j’avais totalement laissé passer une date à la quelle je pense pourtant depuis longtemps.

Ca fait à peu près quinze ans, jour pour jour, que je vis dans ce petit monde, celui qu’à une époque je décrivais quotidiennement dans ce blog. J’habite là depuis début 1994 mais c’est le 28 ou le 29 octobre 1996 que j’ai poussé pour la première fois, un soir, la porte de la Comète et que j’ai rencontré les copains de l’époque.

Le 14 novembre 1996 est née Margot, la fille d’Antoine. C’était un peu notre mascotte, à l’époque. Dans cette première bande, il y avait Antoine, donc, sa femme Corinne, Jeannine et Casquette, Jouanneau. J’étais très proche de Jeannine et Casquette, à époque. On mangeait très fréquemment ensemble, le week-end. On est partis plusieurs fois quelques jours en vacances ensemble, dans la patelin de Jouanneau et de Patrice, que j’ai rencontré peu de temps à près et seul « survivant » de la bande.

On se voyait à la Comète en semaine et le dimanche midi et « chez Y » (devenu un restaurant Italien depuis), le samedi et souvent le dimanche matin. Les autres, à l’époque, fréquentaient également beaucoup les Monts d’Aubrac (maintenant détruit pour la construction du Centre Commercial). Ce n’est qu’au début des années 2000, quand il a changé de patron, que je suis devenu client, mais je n’allais plus « chez Y », sans doute parce que je n’avais jamais rien eu à y faire. Les patrons étaient Chinois et ne parlaient pas bien le Français.

J’allais donc tous les dimanches matin aux Monts d’Aubrac où je retrouvais Jeannine et Casquette. C’est là que j’ai connu Régine et Michel, avec qui je suis parti plusieurs fois en vacances. Bizarrement, quand le bistro a fermé, nous avons arrêté de nous voir. Il y avait Alvez, aussi dans la bande.

Ces années là, je me suis fâché avec Jeannine et Casquette. Jeannine avait dépassé les bornes de la saoulerie. Je n’en pouvais plus. De fil en aiguille, j’ai commencé à fréquenter moins les Monts d’Aubrac, peut-être 2005. Des copains m’avaient amené à l’Aéro qui était très festif le samedi soir...

J’ai fini par y aller tous les soirs, en attendant que quelques ivrognes que je ne pouvais pas supporter partent de la Comète.

Vers 97 ou 98, j’étais très lié avec Laurent, un assureur du quartier qui vivait tout seul. Il a fini par se marier, néanmoins (j’étais son témoin) puis j’ai rencontré deux militaires, Pascal et Jeff avec qui on faisait toutes les fermetures de la Comète jusqu’à ce que les aléas de leurs vies les fassent déserter le quartier. Ca a duré quelques années.

A l’Aéro, j’ai connu Ramdane (mon « colloc » en début d’année) et le vieux Joël, Jacky le Boucher. Le Gros Loïc faisait tous les bistros, nous avons sympathisé. Jacky et le vieux Joël m’ont fait découvrir l’Amandine, qui était également très festif, le soir.

Tonnégrande traînait à l’Aéro et nous avons fini par papoter, de même qu’avec le vieux Jacques qui allait en gros dans les mêmes bistros que moi.

Je retrouve des photos de 2004, à l’Aéro, avec Marcel et le vieux Jacques. Ces photos montrent que je suis assez pote avec Patrice et le Gros Loïc depuis au moins 2002. Je suis parti en vacances en Belgique avec Ramdane en 2004, donc je suppose que je l’ai connu en 2002 ou 2003.  J’ai des photos de vacances avec Michel et Régine de 2005. Mes premières photos avec Tonnégrande datent de 2006 mais je l’ai probablement connu vers 2003 ou 2004.

J’ai eu 40ans en 2006. Nous avions fêté ça à la Comète. Il y avait :
Christian D, toujours présent mais moins souvent.
Le Gros Loïc, que je continue à voir de temps en temps mais plus trop au bistro.
Michel et Régine, toujours à Bicêtre, mais je ne les vois plus.
Jackie, la « grosse » du vieux Jacques que je vois de temps en temps, visiblement beaucoup moins ivrogne qu’à une époque.
Tonnégrande, toujours présent.
Ramdane qui bosse maintenant à La Réunion et que j’ai par SMS toutes les semaines.
Patrice, toujours présent.
Mouloud, un des patrons des Monts d’Aubrac. Il habite toujours Bicêtre, je le croise tous les deux ou trois mois. Il a maintenant une affaire à Choisy.
Le vieux Jacques, que je vois de moins en moins.
Le vieux Joël, avec qui j’étais beaucoup moins lié que maintenant.
Abdel, le patron de l’Aéro.

Et bien sûr Martine, Josianne, Jim et Jean. Jim, parti dans le nord et les trois autres à la retraite dans la Sarthe. Je les ai tous revu cet été.

Environ un an après, l’Aéro a changé de patron. Abdel est parti dans les Alpes mais a de la famille à Créteil. Pendant quelques temps, il a continué à revenir périodiquement à Bicêtre. Les Monts d’Aubrac ont fermé à cette époque. J’ai concentré mon périmètre autour de la Comète et de l’Aéro, un peu l’Amandine mais beaucoup moins.

Ensuite, la Comète a changé de patron et j’ai commencé à aller tous les soirs à l’Amandine. J’ai gardé cette habitude. Ceci fait que je suis assez lié à Corinne et sa mère, que j’évoquais plus haut, ce qui parait totalement saugrenu compte tenu des autres lascars…

Antoine habite toujours dans le quartier mais ne le fréquente plus. Nous sommes à moitié fâchés pour des conneries.

Vers midi, je vais sortir d’Internet, prendre une douche, descendre prendre un café à la Comète. Je vais aller boire un apéro à l’Aéro et, Corinne et sa mère n’étant pas là, un autre à l’Amandine, puis je vais aller voir les copains à la Comète et y déjeuner. 

21 août 2011

Un diner à la campagne

Pour éviter que des processus calomnieux se mettent en place, il faut que je me presse de faire le compte rendu objectif de cette soirée chez Catherine et Didier Goux avec Tonnégrande.

Mon fier Guyanais et moi nous élançâmes sur l'A13 avec ma Ford Fiesta de location rutilante récupérée chez Europcar le matin même. Bref, on s'en fout.

A table, nous n'avons bu qu'une bouteille de blanc et trois de rouge, ce qui, pour de solides gaillards comme nous, est relativement peu, vous en conviendrez. A l'apéro, Tonnégrande et Didier s'étaient enfilés. Une bouteille de blanc chacun. Pour ma part, je buvais un liquide que je ne connaissais pas que Didier m'a fait découvrir. J'ai cru comprendre qu'il était à base d'orge fermentée, de houblon et d'eau. D'une couleur proche du jaune avec une petite mousse sur le dessus et des bulles qui remontent doucement si on leur en laisse le temps.

Nous finîmes au salon devant d'autres liquides assez proches dont une toute petite bouteille de whisky qui a capitulé assez rapidement (Didier avait réveillé Catherine pour savoir où elle l'avait caché).

A deux heures du matin, nous avions accompli notre mission : plus une goutte d'alcool ne trainait dans la maison.

Ah ! On a mangé aussi, c'était bon.

20 août 2011

Programme des prochaines heures #cuite

1. Passer aux toilettes,
1bis. Faire mes bagages : brosse à dent et chargeur d'iPhone,
2. Aller à la Comète prendre un café et Tonnégrande,
3. Monter dans la voiture,
4. Aller chez Didier Goux (je me suis laissé poussé la moustache façon Hitler, pour lui faire plaisir, Tonnégrande s'étant fait pousser autre chose pour faire plaisir à Catherine Goux quand le vieux sera bourré),
5. Descendre de la voiture,
6. Boire une bière dans le jardin (ou n'importe où, ce n'est pas le plus important),
7. Faire ce que nos hôtes auront décidé (c'est vrai, ça !, je ne vais quand même pas tout faire, ici, moi),
8. Dormir avant de reprendre la route.

Il n'y a pas de hashtag prévu pour suivre la soirée dans Twitter. "#cuitedungrosnazidungrosnoiretdungrosacravateachier"
fait déjà près de 140 caractères.

06 avril 2011

La porte n'était pas fermée [jeu d'écriture !]

Préambule : j’ai le plaisir de participer au 6ème jeu d’écriture proposé ici et relayé . La règle du jeu est simple « A partir de cette photo, toutes et tous les volontaires écrivent un texte. Il n'y aucune contrainte de forme ou le style, seulement celle de s'inspirer de cette photo et de rester sur une longueur raisonnable pour un texte de blog. Les blogueurs publient leur texte, la photo, un lien vers le blog de Louise Imagine et un autre vers le blog à 1000 mains, puis laisse un commentaire sous le billet de lancement pour signaler leur participation. Ceux qui ne sont pas blogueurs mais veulent participer n'ont qu'à envoyer leurs écrits à l'adresse a1000mains@gmail.com en veillant à donner un titre à leur texte ainsi que le nom (ou le pseudo) qu'on devra faire apparaître en ligne. » Mon pseudo est : « Jegoun ». Le titre est dans le nom du billet. Nous y voila.

Ca se passait à la gare centrale de Bicêtre. Les deux grosses personnes de couleur, l’une avec une barbe de couleur et l’autre chantant « Non, je ne regrette rien », sortaient bras-dessus bras-dessous d’une soirée visiblement trop arrosée dans un restaurant gastronomique de la place de la gare, La Comète, et devaient prendre le TGV à destination de leurs iles respectives, le Gbagbo France étant assez mal accroché à sa bitte.

« Il faut absolument que j’aille pisser » dit un des deux compères en roulant les « r ». « Tiens ! Va-z-y aux toilettes, dans le fond, là » répondit l’autre avec le même accent.

S’approchant de ce lieu d’aisance aisé à trouver, ils remarquèrent qu’un gugusse occupait déjà le trône mais avait oublié de fermer la porte, le con. « Ah ah ! Dit l’un » « oui répondit l’autre et en plus, il a une cravate à chier  » perdant subitement son accent.

Ils éclatèrent de rire en pensant qu’il pouvait s’agir de leur copain légèrement chargé pondéralement et avec des cheveux d’une frisitude royale alors qu’il était rentré sagement à la maison, conduit par son chauffeur et raccompagné par la nouvelle serveuse accorte.

Le monsieur dans les toilettes sortit alors et ils remarquèrent qu’il s’agissait d’un policier. Il avait encore le pantalon autour des mollets et dit « Messieurs, bonjour, il n’y a plus de papier, pourrais-je avoir les vôtres s’il-vous-plait ? »

Le gros à barbe blanche sortit alors sa bite un paquet de kleenex qu’il tendit à l’agent puis sortit ses papiers sa bite, la proximité du cabinet ne lui permettant plus de résister. Le gros qui chante « non je ne regrette rien, ni le bien, ni le mal, tout ça m’est bien égal » n’en pouvant plus de voir le policier se torchant et le torché pissant, se mit à rire bêtement.

Quand tout finit, leur train arriva. Il était temps, aucune connerie supplémentaire ne m’inspire.

J'ai bon, là ?

09 février 2011

RIP http://tonnegrande973.blogspot.com

Le traitre ! Il n'a mis aucune forme pour me l'annoncer, au comptoir, hier. L'ancienne idole de blogosphère, l'illustre Tonnegrande, amant rêvé de toutes les cochonnes du Kremlin-Bicêtre a fermé son blog, récemment. Détruit, carrément.

Son dernier billet datait de janvier 2010. Il demandait à ce qu'on ne fasse pas de buzz pour son anniversaire, le 15 janvier.

Nous avons respecté ses demandes.

Mais il a craqué. Assailli par un spam Chinois dans les commentaires d'un billet, son incapacité technologique l'a contraint à fermer le blog alors qu'il aurait pu fermer les commentaires.

Il bloguait si peu qu'il ne nous manquera pas. Il était néanmoins resté dans mes flux. Je ne l'aurai plus qu'autour de nos futs.
Amen.

15 novembre 2010



Je ne voudrais pas stigmatiser Samuel Jackson mais son homologue Val-de-Marnais a eu un sérieux coup de pompe, dimanche vers 4 heures du matin. Ce coup de pompe est exclusivement lié à son travail très prenant et très physique.

La photo étant à l'envers, je vous invite à faire pivoter votre écran de 90% (désolé, mais je n'ai aucun outil, sur le poste de travail que j'utilise, pour retourner la photo, je ne sais pas pourquoi, maintenant, toutes les photos envoyées de l'iPhone par mail sont automatiquement retournées à la réception et si on la fait pivoter avec Paint - seul machin à ma disposition, ça se retourne à nouveau dans blogger).

Edit : j'avais oublié de flouter... En le faisant, la photo s'est remise à l'endroit.

12 novembre 2010

Samuel Tonnégrande

Si vous passez à Bicêtre et que vous croisez ce Monsieur, cela veut dire que Samuel L. Jackson est à Bicêtre. S'il boit du vin rouge, par contre, c'est que Tonnégrande lui ressemble vraiment.

11 octobre 2010

On a retrouvé Tonnégrande

L’émoi fut grand : Tonnégrande avait disparu. Pas au bistro vendredi. Pas au bistro samedi. Pas au bistro dimanche. Il a fini par m’envoyer un message énigmatique, dimanche, vers 13 heures. Soyez rassuré.

J’étais pourtant prêt à émettre un avis de recherche. J’avais exhibé d’un billet de blog cette photo anthropométrique, datant d’une précédente disparition.

10 octobre 2010

L'Horodatage binaire de Tonnégrande et Olivier P.

Ce n’est pas sans une sincère émotion que je confirme à mes lecteurs que nous sommes le 10/10/10 et qu’il est 10h10. C’est très binaire, comme horodatage. Simplifions : ça fait 682.

Binaire, c’est aussi le cas du monsieur sur la photo mal cadrée que j’ai envoyée dans Twitter, hier, en faisant croire que c’était l’épouse de @M_Le_Maire alors qu’il s’agit du type qui vend des matelas, sur le trottoir, certains jours.

Hier midi, nous avons eu la surprise de voir Olivier P. et son fiston. Olivier va bien. Les cheveux repoussent. La chimio est terminée et le crabe semble noyé dans la mayonnaise. Il est tout maigrichon ce qui est assez rare de la part d’un client de la Comète.

Par contre, la chimio a sévèrement atteint les neurones : il est venu à Paris pour assister au salon de l’auto. En plus, il a oublié de réserver une chambre d’hôtel et tous les hôtels de Paris sont pleins à cause du salon de l’auto.

Pire ! Il voulait absolument trouver un hôtel près de Bicêtre pour aller voir le mach de foot à l’Aéro. Faut être tordu.

A part ça, Tonnegrande a disparu. Il devait aller voir son toubib, mercredi soir, mais il avait trop bu. Il devait aller voir son toubib, jeudi soir, mais il avait trop bu. Du coup, on ne l’a pas vu vendredi : on a soupçonné un sursaut de sérieux et on ne s’est pas inquiétés. Néanmoins, hier, il n’était pas à l’apéro et ce n’est pas un homme du genre à louper ce genre de cérémonie. En 48 heures, trois de mes SMS sont restés sans réponse. Je lui ai donc envoyé un mail. Il n’a pas répondu. C’est très inquiétant. Ou alors, il devient gâteux.


03 juin 2010

Salut les gros !

La deuxième soirée avec la nouvelle Comète vu aussi bien que la première ! Il y a une excellente ambiance, bien meilleure que la semaine précédente, ce qui n’a rien à voir avec le changement de propriétaire (les gens ont plus d’oseille depuis la paie et la terrasse a été mise en configuration d’été), à part des bricoles comme le changement de musique ou le changement de carte qui attire les curieux. Je crois que l’hiver a été long.

Si je vous parle de ça c’est parce que j’ai oublié de vous narrer une anecdote, hier. Elle m’a plongée dans une hilarité sympathique.

Je ne sais pas si vous savez que les jeunes s’appellent « gros » entre eux, maintenant. « Hé ! Gros, t’as pas vu machin ? » « Hé ! Gros, tu n’as pas une clope ? » « Ca va, Gros, tu as passé une bonne journée ? » La routine.

Comme en plus, le gros Loïc et moi nous appelons réciproquement « le gros », tout le monde s’appelle « gros ». Et c’est très bien ainsi.

En quittant la Comète, Tonnégrande, mardi soir, première soirée avec le nouveau patron, Tonnégrande a dit « Allez ! Salut les gros » en parlant à Jim et au patron.

Patron qui a une corpulence du même ordre d’idée que la mienne, voire plus si affinité.

J’ai donc signalé par un regard sa connerie à Tonnégrande qui ne savait plus où se foutre, d’autant que le patron essaie de faire croire à Tonnégrande que ce n’était pas grave…

08 avril 2010

La barbe blanche était prémonitoire

Depuis quelques jours, mon blog prend une orientation « blog masculin ». Par le passé, il avait eu un fond de commerce « bistro » avec, parfois, une orientation « people ». Aujourd’hui, le blog va prendre une orientation familiale…

L’illustre Tonnégrande qui a fait la joie de ce blog et de ses visiteuses pour la longueur de son argumentation disposait deux caractéristiques essentiels : gros et barbe blanche.

La grosseur est partiellement liée à un abus de produit divers mais aussi, il faut le dire, à la justification d’un certain statut social, il faut bien le dire. Etre un gros noir nécessite d’être gros.

La barbe blanche était, jusqu’à ce matin, une parfaite énigme.

C’est alors que l’événement s’est produit, ce matin : sa fille ainée a enfanté.

Etant un gros mal idiot, j’ai oublié de lui demander si c’est une fille ou un garçon. Ou les deux, le cas échéant. C’est au cours d’une conversation téléphonique importante, au moment de raccrocher, qu’il m’a dit : « au fait ! Je serai en retard au bistro ce soir, il faut que j’aille voir ma fille à la maternité, ça y est je suis grand père. ». J’aurais pu répondre « Ah ! C’est une fille ou un garçon ? » mais je me suis retenu : il me l’a probablement déjà dit et j’ai oublié. La seule chose qui m’intéresse est de savoir quand il paiera une tournée générale pour fêter l’événement.

Mesdames, je sais, vous voulez savoir le poids, la taille, … et toutes ces choses qu’on demande dans ces circonstances joyeuses mais je vais le laisser répondre en commentaire.

N.B. : Tonnégrande, quand on demande la taille, il s’agit de celle du bébé, mais si, comme l’autre, elle s’exprime aussi en centimètres.

Toutes mes félicitations à la mère, au père, aux grands mères, aux grands mères, à la tante et à la médecine qui permet, de nos jours, à des individus tels que Tonnégrande de se reproduire et d’assurer la descendance.

N.B. : Didier, oui, le bébé est probablement noir. C’était prévisible, hein ! Je suis désolé.

J’espère que l’enfant vieillira bien et que, dans une cinquantaine d’années, si c’est un garçon, il ne finira pas au comptoir d’un rade de banlieue avec quelqu’un d’autre qu’un gros frisé à cravate à chier.

Par contre, moi, je vieillis mal ! Je traine au bistro avec des vieux… Y’en a même qui sont grands-pères.

01 mars 2010

Tonnégrande ne fera pas la journée sans immigrés

On le saura : c’est aujourd’hui la journée sans immigrés. Tonnégrande était bien d’accord pour ne pas aller travailler mais il a eu très peur quand il a vu « Journée sans consommation ». Je me suis renseigné : la Guyane étant française depuis 1503 date à laquelle on l’a piquée à Christophe Collomb qui avait le dos tourné, un Guyanais ne peut que difficilement être considéré comme un immigré.


04 février 2010

Tonnégrande est Akbar Zeb

Mais il ne pourra pas être ambassadeur target="_Blank" au Pakistan.