
La connerie étant le seul chemin susceptible de nous faire entrevoir une parcelle de vérité, utilisons la par des moyens de communication efficaces. Le temps qu'on remplisse nos verres.
07 octobre 2011
Vive les mariés !

07 août 2011
Faut-il que je les aime !
10 juillet 2011
Vendredi soir à Bicêtre
26 juin 2011
Jim, moi et la mémoire de la Comète !
N.B. : Les deux dernières photos n'ont pas été prises à la Comète. Les deux premières sont avec les anciens patrons. Les deux autres ne sont pas spécialement réussies mais elles permettent de bien voir ce qu'était la Comète "avant".
17 mars 2011
Ingratitude locale
« ah ! je viens à Paris en fin de mois pour l'état des lieux, tu pourras m'héberger ? »
Ouf ! Je suis toujours bon pour rendre des services !
28 juin 2010
L'anniversaire de Jim
30 mai 2010
Déclaration d'un pot
25 mai 2010
Heureux dénouement
20 mai 2010
Billet couillu
12 septembre 2009
Comett Show

C’est pour ça, d’ailleurs, que je suis arrivé en retard à
Nous étions fâché depuis la soirée de blogueur du 27 août. Je l’ai déjà raconté mais vous avez peut-être oublié. Je résume : à la fin de cette soirée, le vieux a commencé à rouspéter car les assiettes n’étaient pas assez pleine (alors qu’il était facile de faire la pute et d’aller chercher du rab à la cantine). Comme j’étais l’organisateur de la soirée, cette remarque m’a déplu. J’ai demandé au Vieux de fermer sa gueule. Il a cru que je lui faisais la morale et est parti fâché. Je ne lui ai pas fait la morale mais j’aurais du tenter de lui faire comprendre que quand un type se fatigue à organiser une soirée et qu’elle se passe très bien, on ne critique pas un détail.
J’entre. Je serre la paluche de mes deux loustics et commande un demi. Le vieux sort son porte-monnaie et le paye. Pas un mot échangé à part les amabilités d’usage avec Tonnegrande : « ta journée, ça a été ? ».
Je papote avec lui, Jacques nous ponctuant la discussion de quelques jeux de mot toujours aussi foireux. Il souriait. L’air d’avoir gagné une bataille. Une sorte de monarque regardant son peuple bienveillant.
J’ai immédiatement compris qu’il n’en était pas à son premier verre. J’ai aussi compris un détail : on était le 11 septembre. Les retraites sont versées le 10. Je ne suis pas sur mon blog politique : je peux donc dire des conneries. C’est amusant comment une partie de la population se prend pour le roi du monde lors du versement des prestations sociales. Vers le 4 ou 5 du mois, c’est le sommet, avec le RMI qui tombe…
J’avais rendez-vous avec Emilie et Jim à l’Amandine. Emilie devait m’offrir un verre pour ses 25 ans. Ils avaient fait une grosse soirée, mercredi soir, chez les parents d’Emilie pour fêter ça. L’avant-veille, Jim m’avait demandé si je n’avais pas une idée de cadeau. Je n’en avais pas alors pour rendre service, je lui ai dit : « Une demande en mariage ? ». Il l’a fait, l’andouille. Il m’a appelé, mercredi, alors que je dînais avec un Suisse Zinfluent, au cours de la soirée : « Oui, allo ! » « Hé ! Gros ! Je l’ai fait ! » « Hein ? Quoi ? » « Ce que tu m’as dit l’autre jour. » « Heu… » « La demande en mariage ! » « Ah ! Abruti, je plaisantais ! » « Ah ? » « Oui, enfin, j’espère que je serais témoin ! » « Heu… quoi ? ».
Cela dit, je ne suis pas inquiet : ce n'est pas la première fois qu'il lui fait la demande.
Je suis donc arrivé à l’Amandine, hier soir. J’ai dit à Michel : « Tiens ! Le Vieux est à
J’avais compris : le Vieux avait cru Michel et avait voulu faire preuve de magnanimité en faisant le premier pas. C’est pour ça qu’il trônait, Papy ! Persuadé que je serai reconnaissant. Ca me fait rigoler : on va probablement prendre l’apéro ensemble, ce midi. Il va m’inviter à manger (la retraite vient d’arriver) et je vais lui dire ses quatre vérités… Et lui faire comprendre que c’est lui qui me doit des excuses. Il va se fâcher à nouveau. Pouf pouf.
En début de soirée, quand j’étais avec lui et Tonnegrande au comptoir, ce dernier (mais non, pas le comptoir, Tonnegrande, suivez un peu, bordel !) reçoit un coup de fil sur son téléphone professionnel. Nous fermons immédiatement notre gueule : ça pouvait être son chef qui n’avait pas spécialement besoin de savoir qu’il était au bistro. Nous avons vite compris que c’était Marcel Le Fiacre.
La question n’est pas de savoir comment Marcel dispose du numéro de téléphone professionnel de Tonnégrande mais de savoir pourquoi il l’a appelé, lui, plutôt que, dans l’ordre logique : Jacques, moi puis le téléphone personnel de Tonnégrande. Le vide du crâne de Marcel est rempli de pensées sidérantes.
Marcel voulait parler à Jacques. Marcel voulait savoir qui était au comptoir car il ne veut pas parler à Seb.
Suivez, bordel ! J’ai aussi raconté cet épisode. Ils sont fâchés. Un dimanche midi, quelques semaines avant, nous étions à l’apéro, à
Seb était au comptoir hier soir et Jacques le dit à Marcel. Marcel propose de changer de bistro ce que refuse Jacques qui propose à Marcel de boire un coup en terrasse. Au moment où Jacques raccroche, Marcel arrive. Il s’était caché entre
« Le vide du crâne de Marcel est rempli de pensées sidérantes » disais-je.
Je ne comprends pas pourquoi les gens s'étonnent quand ils voient "Maison de Qualité" inscrit sur la porte de la Comète.
30 avril 2009
La cravate d'Olivier

La cravate que je portais hier était gravement usagée. Ce matin, au moment de la mettre, j’ai aperçu la cravate à chier d’Olivier quand j’ai pensé « Ah ! Oui, c’est vrai, il faut que je change de cravate aujourd’hui. » Mesdames, vous ne le savez pas, mais une cravate n’est pas comme un slip : on n’est pas obligés d’attendre le dimanche pour en mettre une propre. C’est donc avec précipitation que j’ai pris la cravate d’Olivier pour me la ficeler où l’on ficelle ces machins habituellement : autour du cou, contrairement à une cravate de notaire. J’aime bien les nouvelles cravates. Je me suis précipité vers mon miroir pour m’admirer.
Non. Trop c’est trop. Cette cravate est vraiment trop à chier. J’en ai donc pris une autre, pas trop usagée. Si la cravate d’Olivier n’avait été qu’à moitié à chier, je l’aurais gardée et mon employeur aurait été déçu. J’imagine ma cheffesse me disant : « Ah ! Pourquoi tu as mis cette cravate à chier alors que celle d’hier était moins à chier ? ».
Il aurait fallu que je lui raconte dans quelles circonstances le nouveau clébard de Jim a pissé sur l’autre à l’Amandine alors que j’étais assis et que je portais le machin pour le foutre sur mes genoux pour éviter de me pencher pour le caresser.
21 février 2009
Néné, t'as trop bu, j'te sers pas
Hier, il a fallu que je mène l'enquête. Je peux donc vous reconstituer l'histoire dans l'ordre.
Néné est arrivé à l'Amandine vers 17h avec un cocard. Comme il était encore plus saoul que d'habitude, Michel a refusé de le servir. Néné a traversé la rue pour aller boire un coup à La Comète.
Nicolas Le Loufiat a repéré le phénomène et a également refusé de le servir. La Branlette venait de finir son service et buvait un coup tranquillement au comptoir. Néné est venu se plaindre à lui. Jim, qui n'était pas de service, l'a envoyé chier. Néné s'est faché. Paf. Tonnegrande a du intervenir. Je ne sais pas ce qu'il faisait au bistro à 17 heures. C'est louche mais ça n'est pas l'objet du billet.
Nous interrompons ce récit pour une page de publicité. Un grand merci à Rimbus qui est l'invité de la semaine de Vendredi et qui cite le billet où je raconte l'anecdote qui m'est arrivée au boulot récemment : la lumière des chiottes qui s'est éteinte avant que je finisse ce que j'avais à faire.
Ca n'a rien à voir avec Néné, Tonnegrande et Jim mais je tiens à préciser que l'anecdote s'est à nouveau produite. J'ai donc pris deux résolutions : je choisis le chiotte où le bouton de la chasse d'eau est facile à trouver et j'arrête de jouer avec mon iPhone en faisant caca.
25 janvier 2009
10 janvier 2009
Mon nouvel iPhone 3G
Ces emplettes effectuées (putain, j’ai acheté mon PC il y a moins de deux ans : le sien est trois fois moins cher et peut-être plus puissant), j’errais dans le magasin le temps qu’il fasse la queue pour récupérer l’engin et je tombe sur la vitrine avec les téléphones. Je me dis : « Tiens ». Hop ! J’achète. Je vous déconseille de faire ça quand vous avez soif. Une fois la décision prise, il faut passer par un vendeur qui vous édite un truc puis faire la queue pour passer à un guichet où une charmante hôtesse vous change votre abonnement téléphonique… Une bonne heure. Du coup, je suis arrivé en retard à
Il buvait.
J’arrive donc avec Jim à
Je cherche la notice (je suis très prudent quand j’ai un nouveau jouet : je regarde toujours le guide de mise en œuvre). Je ne trouve pas. Je reçois l’aide bienveillante de l’assistance toujours avide d’étudier les nouvelles cochonneries technologiques : Nicolas (pas moi, l’autre), Tonnegrande, Jim, Camille, Laverdure, … Rien ! Juste un truc publicitaire et un vague machin technique sans intérêt.
Je dis : « Bon ». Je branche. Le machin me dit qu’il n’y a pas de carte SIM. Je dis « Tiens, oui, j’ai oublié ». Je tourne le machin dans tous les sens, appuie sur tous les boutons, … Rien. La foule vient à nouveau à mon secours : Rien.
Je dis « Merde » et range le machin dans ma poche et propose une tournée générale pour fêter ma nouvelle acquisition.
J’arrive à la maison et je branche google a qui je dis : « Bordel ! Comment fait-on pour mettre une SIM dans un iPhone ». Il me répond : « Ducon, il faut mettre une aiguille dans le petit trou, en haut ». Dont acte. Ca marche.
Je rallume le truc qui ne me dit plus qu’il n’y a pas de carte SIM. A la limite, j’aimais mieux. Il ne me dit rien mais me présente un joli schéma avec un câble branché. Je dis « Bordel, on verra ça demain matin, je n’ai pas que ça à foutre, j’ai un blog zinfluent à faire zinfluer ». Je remets
Evidemment, le lendemain matin, plutôt que d’être tiré du lit par l’insomnie habituelle, c’est mon réveil qui me dit à 7h15 : « Alors ! T’as pas bientôt fini de roupiller, t’as école aujourd’hui ». Je décide de ne pas travailler le lendemain (aujourd’hui) et d’y consacrer ma matinée.
Ce matin, comme je ne travaille pas, je me réveille à 6 heures et fonce sur le machin où je remets
J’appelle Google « Allo, Google ? » « Oui ! » « Dis-moi, ma poule, comment fait-on pour faire marcher ce putain d’iPhone ? » « Va donc sur le site d’Orange qui t’a vendu le machin plutôt que de me les casser un samedi matin ».
Je vais chez Orange qui m’apprend qu’il faut télécharger un truc puis le lancer puis mettre le SIM puis brancher l’iPhone. Je débranche l’iPhone, télécharge puis installe le machin, puis branche le truc, puis attends que le logiciel s’installe dans l’iPhone puis relance le machin que j’avais fermé par mégarde qui m’apprend immédiatement que je dois télécharger un nouveau truc ce que je fais avec passion mais c’est beaucoup plus long.
Du coup, nous voilà vers 7h00 où je décide d’aller aux toilettes où je constate qu’il n’y a plus de papier. Je savais bien que j’avais un truc urgent à faire hier soir. C’est de la faute à Tonnegrande : il m’a poussé à aller boire un coup à l’Amandine plutôt qu’à aller faire un tour chez Leclerc.
Je me retiens. Pas seulement de ronchonner.
Mon téléphone était chargé. Je compose le numéro de mon fixe : ça marche. Je veux appeler Jim pour lui demander si
Le répertoire de l’iPhone est vide. « Ah ! » me dis-je, « c’est nouveau ça ? » Plutôt que de me lancer dans des manipulations ridicules et dans des requêtes google du même métal, je consulte le site Orange qui me dit gentiment comment copier les contacts de
A ce propos, il y a un épisode que je ne vous ai pas raconté. Jeudi soir, j’avais donc été avec lui acheter son ordinateur portable. Cette andouille a passé la nuit dessus (il m’a envoyé un SMS à 1h30 pour me dire de le réveiller à 6h mais si vous avez bien lu ce billet, je ne me suis moi-même pas réveillé)… Il s’est couché à 4 heures sans pouvoir dormir… mais je suppose qu’il avait à proximité une bouteille quelconque vu la tronche qu’il avait quand je l’ai vu, hier matin, vers 7h40. Ben mon cochon ! D’ailleurs, il a été dans le jus pendant tout le service du midi.
Bon. Je reprends. J’éteins l’iPhone, enlève la puce, la mets dans l’ancien téléphone, recopie les numéros du téléphone sur la puce (un par un, la galère). Je remets la puce dans l’iPhone et refais le machin pour recopier les numéros de
Ca marche. J’envoie donc un SMS à Jim. Fausse manip. Je lui envoie « Je b ». J’avais tapé le b par erreur et au lieu de l’effacer j’avais envoyé le message. Il me répond : « Quoi ». J’étais bien emmerdé, il était déjà 8 heures et
J’envoie un message d’excuses. Avant de sortir, je décide de voir comment je pouvais sauvegarder le répertoire de l’iPhone vers le PC. Ce n’est pas neutre : il fallait que j’active Outlook sur le PC. Après, j’essaie en vain d’écouter de la musique avec la fonction iPod de l’iPhone. J’envoie un mail de SOS au seul type au monde qui pourrait ne pas me trouver ridicule de ne pas y arriver. Comme il a un iPod, il doit savoir comment ça marche.
Je me pointe à
Je vais chez Leclerc et achète du papier, du sucre, du Chinon et de l’Eau de Javel et des bricoles à bouffer. Que des trucs indispensables. Mon interlocuteur secret m’avait répondu mais j’avais déjà plus ou moins fait les manipulations qu’il m’a recommandées.
Le résultat est toujours le même : quand je choisis iPod sur l’iPhone le mot affiche « Chargement » et un petit truc rond tourne (comme le machin sous Vista qui a remplacé le sablier d’XP) pour me dire que c’est en cours.
Il est alors 11 heures et je décide de faire un billet pour annoncer mon acquisition et lancer un SMS : « Comment fait-on pour écouter de la musique avec l’iPhone alors que iTunes semble confirmer que la musique est bien chargée dans l’iPhone ? »
Il est 11h40 et je n’ai toujours pas été aux toilettes. Je voulais aussi démontrer, suite à des échanges sur PLR, que j’étais plus rapide à faire des billets tout en mettant en lien sur Tonnegrande et un sur Didier qu’à faire marcher des machins technologiques !
Au fait ! Je n'arrive pas à aller sur Internet avec le machin : Orange n'a pas encore modifié mon forfait... Je pense qu'il faut que j'attende la date anniversaire de ma précédente formule, le 8 février. Quelqu'un peut-il me le confirmer ?
21 décembre 2008
Tenez-vous bien aujourd'hui : c'est Jim le patron de la Comète
