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08 décembre 2014

Contre la bière !

Comme j’ai la réputation de boire de la bière (je ne sais pas pourquoi), quand un type me donne un rendez-vous pour boire un coup, il choisit généralement un bar à bière ou un pub alors que j’ai horreur de ces lieux et des bières un peu spéciales. Mon truc à moi, c’est le bistro, qu’il soit tout petit comme l’Aéro ou gigantesque, genre grande brasserie.

Je ne vais pas en faire une théorie sauf si vous insistez. Vous insistez. Bien.

Tout d’abord, le produit : la bière pression. La température idéale de la bière est aux alentours de 6 à 8 degrés. Elles sont souvent servies plus fraiches car elles se réchauffent naturellement dans votre verre. Or cette fraicheur casse le goût, exactement comme pour le pinard. Imaginions que vous achetiez du vin et que vous ne l’appréciez pas spécialement. Vous le mettez au frigo et vous le buvez quand il a atteint 12° avec un repas ordinaire, une salade, une grillade,… Il passera très bien.

Prenons deux bistros au hasard mais pas trop : la Comète et l’Aéro. Les deux sont séparés d’une cinquantaine de mètres et servent les même bières, à savoir de la Kronenbourg ordinaire, de la 1664 et de la Grimbergen (ou de la Leffe, j’ai un trou de mémoire). Prenez en suite un consommateur de 1664, qui est par ailleurs une excellente bière. Vous le faites boire une 1664 à la Comète puis à l’Aéro. Il va trouver une différence entre les deux. Il ira même jusqu’à dire qu’elle est mauvaise à l’Aéro. Ce n’est pas du snobisme : il y a bien une différence, tout d’abord de température mais aussi de goût. Le tirage est moins important à l’Aéro donc le fut de bière dure plus longtemps et a tendance à s’éventer. Vous vous mettez de mèche avec le patron de l’Aéro et vous recommencez le lendemain. Une 1664 à la Comète, puis, vous allez à l’Aéro qui servira une Kronenbourg ordinaire dans un verre à 1664. Votre client amateur de 1664 la trouvera bonne. Vous faites dire au patron : « Oui, plusieurs clients m’ont fait des remarques, j’ai changé le fût. » De fait, il y a une différence entre les bières mais votre client la mettra sur le compte de la température et finira par dire : « là, elle est bonne, c’est quand même autre chose ! ».

Vous pouvez tester également avec la Grimbergen (ou la Leffe) mais le goût est plus prononcé alors faites le boire trois Grim à la Comète avant de changer de bistro. Il aura oublié le goût initial et acceptera d’expliquer la différence par la qualité du fût.

Je résume : on aime bien la bière fraîche quand elle est à la pression (et même en bouteille) et le froid casse le goût et j’ai mis en évidence deux phénomène. Le premier est que la bière en fût ne se conserve pas très longtemps. Ainsi, un petit bistro ne pourra pas servir assez de bières spéciales en peu de temps pour conserver des bonnes bières. Néanmoins, les usages font que la plupart des bistros proposent au minimum trois pressions : une bière ordinaire, une spéciale et une bière d’abbaye. C’est parce que les clients sont demandeurs mais c’est souvent du pur snobisme. Le deuxième est que le palais est cassé au bout de deux ou trois bières, on ne sait plus relever les différences si on n’est pas réellement connaisseur en bière.

Il y a probablement des amateurs de bière qui seront choqués par ces propos qu'ils auront mal compris. Ce n'est pas très grave. Je vais le refaire à l'envers. La plupart de ceux qui vous expliquent qu'ils aiment les bonnes bières sont comme ceux qui prétendent connaître le vin et vont finir par conchier les bons de vins de pays qui sont si agréables à boire avec des amis sur la terrasse en attendant l'heure d'aller se coucher. Alors ils vont sortir les bons Bourgogne et les bons Bordeaux (en expliquant, souvent, que les Bourgogne sont supérieurs aux Bordeaux), faire les gestes qui vont avec, goûter la première gorgée et savourer centilitre par centilitre. Ils ont raison, c'est bon. Et le reste de la bouteille va y passer sans qu'il se rende compte... Ce qui compte, c'est pourtant ce qui va avec le vin : le repas et surtout le bon moment avec la famille et les amis.

Avec la bière, c'est pire ! On ne goûte pas la bière car c'est bien la première gorgée, celle qui est si fraîche, qui est si agréable, qui vous fait apprécier le moment...

Ainsi, je n'aime pas le folklore qui va avec le vin et déteste celui qui va avec la bière. La bière est ce truc qui se boit en sortant du métro ou du bureau... De mon réquisitoire, n'allez néanmoins pas en conclure ce que je n'ai pas dit. J'aime le bon vin et les bonnes bières. Mais je vais continuer ce réquisitoire.

La plupart des gens qui choisissent tel ou tel type de bière parce qu'ils la préfèrent à une autre le font avec un certain snobisme et par habitude. Je connais des lascars qui boivent toujours de la Heineken ou de la Super Bock en bouteille. C'est un phénomène que je n'arrive pas à expliquer : si tu aimes la bière de base, tu la bois à la pression. Qu'on puisse ne pas aimer une bière ou aimer uniquement un type de bière est une chose. Par exemple je n'aime pas les bières d'Abbaye alors que certains adorent ça. Je comprends. Qu'on prenne toujours la même m'échappe, à quelques exceptions près. Par exemple, parmi les blondes légères qu'on trouve habituellement dans les bistros, la 1664 et la Carlsberg sont largement au-dessus du lot (au détail près de ce que je disais en début de billet). Certaines sont même exceptionnelles comme la Pilser Urquell.

"Une bonne bière fraîche en terrasse". Beaucoup d'andouilles vont aimer siroter une bière en terrasse, au soleil, et prendre leur temps. Je comprends ! La bière est la meilleure boisson que l'on puisse boire au bistro en dehors des repas avec le Perrier et le café. C'est bien agréable de prendre son temps, à glander au soleil. Il empêche qu'une bière s'éventer et se réchauffe. Alors passer une demi-heure au soleil avec une bière est grotesque.

Reprenons pour aller à l’essentiel.

Je parlais de la première gorgée d’une bière, en sortant du bureau ou du métro. Vous connaissez certainement le livre « la première gorgée de bière et autres plaisirs minuscules » de Philippe Delerm. Il était resté en tête des ventes pendant des semaines et des semaines. Ce livre avait cartonné. Il décrit différents petits plaisirs de la vie.

Je vais recopier la partie essentielle, l’auteur et l’éditeur ne m’en tiendront pas rigueur : elles sont sur le web : « C'est la seule qui compte. Les autres, de plus en plus longues, de plus en plus anodines, ne donnent qu'un empâtement tiédasse, une abondance gâcheuse. La dernière, peut-être, retrouve avec la désillusion de finir un semblant de pouvoir... Mais la première gorgée! Gorgée ? Ça commence bien avant la gorge. Sur les lèvres déjà cet or mousseux, fraîcheur amplifiée par l'écume, puis lentement sur le palais bonheur tamisé d'amertume. Comme elle semble longue, la première gorgée! On la boit tout de suite, avec une avidité faussement instinctive. En fait, tout est écrit, la quantité, ce ni trop ni trop peu qui fait l'amorce idéale ; le bien-être immédiat ponctué par un soupir, un claquement de langue, ou un silence qui les vaut; la sensation trompeuse d'un plaisir qui s'ouvre à l'infini... En même temps, on sait déjà. Tout le meilleur est pris. On repose son verre, et on l'éloigne même un peu sur le petit carré buvardeux. On savoure la couleur, faux miel, soleil froid. Par tout un rituel de sagesse et d'attente, on voudrait maîtriser le miracle qui vient à la fois de se produire et de s'échapper. On lit avec satisfaction sur la paroi du verre le nom précis de la bière que l'on avait commandée. Mais contenant et contenu peuvent s'interroger, se répondre en abîme, rien ne se multipliera plus. On aimerait garder le secret de l'or pur, et l'enfermer dans des formules. Mais devant sa petite table blanche éclaboussée de soleil, l'alchimiste déçu ne sauve que les apparences, et boit de plus en plus de bière avec de moins en moins de joie. C'est un bonheur amer : on boit pour oublier la première gorgée. »

Qu’on aime ou qu’on n’aime pas le texte, Delerm a raison. La première gorgée est essentielle et on « y » savoure le simple fait de boire une bière. Depuis quelques temps, je finis le boulot assez tard. La première chose que je fais est d’aller au bistro ce qui, en 27 ans de métier, ne m’étais jamais arrivé quand je finissais à une heure raisonnable. Et j’y retrouve ce bonheur qui ne nécessite que deux choses : de la bière qui ne soit pas mauvaise (ben oui, je parle des bières ordinaires mais j’en connais qui sont réellement à chier) et qui soit légère…

Cela étant, pourquoi payer 4€50 un verre alors que le plaisir est le même avec 2€20 ?


Pourquoi aller dans un bar spécialisé en bière alors que la moindre brasserie peut donner ce plaisir (à part pour l’ambiance, fort appréciable, qui peut y régner) d’autant que dès la deuxième gorgée, le plaisir s’estompera… ?

03 septembre 2013

Boire des bière en mémoire des soldats tombés pendant la grande guerre

Quelle belle initiative ! "Theatrum Belli ne propose pas un énième colloque sur cette guerre mais un geste qui serait hautement symbolique et qui, dans cette période de crise, ne coûterait pas un sou pour la collectivité. Alors qu’un colloque où une cérémonie ne touchent que quelques centaines, voire quelques milliers de personnes, ici toute les communautés nationales seraient conviées à participer.

Theatrum Belli propose que les vivants d’aujourd’hui se retrouvent dans la rue le 4 août 2014 à midi avec une chope de bière et qu’ils lèvent ensemble dans une communion mémorielle leur verre en l’honneur des soldats en même temps que résonnent les cloches des églises ainsi que les alarmes des mairies."


A propos de la première guerre mondiale, je vous invite à suivre Mémorial14-18.net qui tient une chronique "100 ans après".

Vous pouvez aussi lire Koltchak qui fait quelques billets sur le sujet, à l'occasion, comme ici (attention, blogueurs gauchistes, certains billets piquent les yeux !).

26 juin 2013

La bière se rachète

En l'occurrence, c'est le number one mondial de la bière qui vient de racheter le numéro deux... Et après, ces enfoirés de brasseurs viendront dire que c'est à cause des taxes que la bière augmente : non. C'est à cause des monopoles. La concurrence est terminée. Habituez-vous à payer vos demis à trois ou quatre euros au comptoir ou passez au vin rouge.

Pendant ce temps que fait Bruxelles ! Barroso est occupé à nous traiter de réactionnaires, mais les autres ? En plus, ils annoncent ça à un heure où, d'après certains, je devrais dormir. Je veille toujours !

11 février 2013

Kronenbourg avec Montebourg !

Non seulement, je défends le Gouvernement mais en plus je me sacrifie pour la bonne marche de sa politique et notamment celle d’Arnaud Montebourg, soutenu par Melclalex. Cette dépêche nous le confirme : « La production manufacturière française a progressé de 0,1% entre novembre et décembre, selon les données publiées ce matin par l'INSEE. »

Pourtant, les économistes avaient parié pour une contraction de 0,3%. Mais « En décembre, les industries agricoles et alimentaires (+1,9%) tirent leur épingle du jeu, notamment à cause de la forte hausse de la production de bière avant l'augmentation de la taxation du 1er janvier 2013. »

24 janvier 2013

Geek, bière et vidéo gaie et vidéo glauque

Ce soir, Twitter (et Vine, une filiale) ont sorti un truc pour diffuser des vidéos très courtes, 6 secondes, dans les réseaux sociaux. Je l'ai testé pour mon blog geek et l'illustre Xapur m'a sorti un truc pour la présenter dans le blog. J'ignore si ça va marcher. Ceci est un essai. Il est rare que je diffuse une photo de moi sur mes blogs mais je crois qu'une vidéo est inédite (la vidéo tourne en boucle, si tu la regardes dix minutes, ne vas pas t'imaginer que j'ai bu 100 bières).
Edit : je supprime la vidéo à cause du lancement automatique (le son est pénible). Elle est à voir ici

A part ça, au cas où la première vidéo est ratée, je vais en diffuser une deuxième.

Désolé, j'ai encore oublié de pencher mon iPhone donc la vidéo est dans le mauvais sens. J'espère que Seb Musset ne va pas me donner une baffe.

En sortant de la Comète, je me suis rendu compte que je suivais Manu. J'en parle parfois sur dans mon blog. C'est une pocharde du quartier d'environ 40 ans. La dernière fois, c'était la semaine dernière. J'étais passé à l'Aéro et avait découvert des braves gens, un couple de trentenaires, qui s'était inquiété parce qu'elle s'était cassé la gueule dans le bistro. Elle va se saouler la gueule un peu partout puis rentre chez elle, un peu plus loin que chez moi. J'ai réussi à la faire "tricarde" à la Comète. Je ne veux pas être complice. Mais je ne peux rien faire. Je n'ai rien à dire à la Comète et encore moins dans les autres bistros.

S'ils refusaient de la servir, elle irait picoler ailleurs. Ce soir, je l'ai suivie. Elle rentrait chez elle. Elle va réussir. Les ivrognes arrivent toujours à rentrer. Elle ne mourra pas sur la rue mais dans son lit ou celui de l'hôpital. D'une cirrhose ou d'un crabe, dans cinq ou dix ans. Je ne sais même pas si elle a 40 ans. Disons 36 ou 36. Maigre comme un clou. Déchirée tous les soirs. Ne regardez pas la vidéo. Non seulement elle est ratée mais elle est déprimante. Pas seulement la vidéo. Manu aussi.




Je vous ai bien entendu : "il aurait pu faire quelque chose, le gros". Oui, mais quoi ? La ramener chez elle... Et demain ?

10 janvier 2013

Le jeu de la tireuse à bière

C'est ici que ça se passe (via Melclalex). Bougez la souris pour pencher ou monter le verre. J'ai réussi au troisième essai à tirer une bière parfaite mais j'ai échoué aux suivants...

01 août 2012

Bièreastique

Ma voila tagué par Vallenain qui exige que j’invente une discipline olympique. Quand on connaît mon goût pour le sport, ça ne manque pas de piquant. Néanmoins, en parfait blogueur, je me dois de répondre non sans taguer quelques lascars comme : Yann, El Camino, Melclalex, David et François.

J’ai ainsi convoqué le Directeur Marking du Comptoir de Jegoun pour lui demander d’étudier les impacts sur sa réputation si je parle sérieusement de sport. Vous ne connaissez pas le Comptoir de Jegoun ? C’est normal. C’est le nouveau nom de la nouvelle page Google+ où je publie les billets de mes blogs. Abonnez-vous, c’est gratuit.

Le Directeur a fait une rapide étude et m’a dit : « Bon ! Tu peux parler de sport mais à une seule condition : que tu amplifies les traits habituels de ton blog pour compenser. Il faut que tu parles d’alcool, de cul, que tu mettes des choses dégueulasses et que ça se passe au comptoir. »

J’ai immédiatement pensé à un truc du genre : celui qui boit le plus de bière en une heure mais ça pourrait lasser le spectateur. Alors j’ai dévié. Toutes mes excuses.

L’épreuve se passera au pied d’un comptoir légèrement arrondi vers les pompes à bière de manière à ce que les participants puissent s’observer. Les participants auront droit à un espace de 80 cm sur ce comptoir qui aura été renommé pour l’occasion le pissodrome.

Une épreuve se passe par poule avec huit participants. Les deux premiers seront qualifiés successivement pour les quarts de finale, les demi-finales et la finale. Il y aura donc quatre demi-finales et si je compte bien 16 quarts de finale  et 64 « premiers matchs » pour 512 participants au maximum. Chaque épreuve aura lieu entre 17 et 23 heures environ, étalées sur 4 jours différents. Un participant ne pourra donc pas faire deux manches successives la même journée. Tout cela est un détail mais un beau sport doit avoir des règles précises.

Chaque participant sera entièrement nu. Il y aura 8 juges de sexe opposé aux participants qui tourneront toutes les dix minutes pour s’occuper du suivant. Leur rôle sera de vérifier tactilement l’absence de fuite par quelque orifice que ce soit, sauf la bouche. Toute fuite sera éliminatrice, de même que tout début d’érection pour les hommes.

Des épreuves particulières pourront être organisées pour les homosexuels. Des variantes pourront être définies localement pour pouvoir faire concourir en même temps des hommes, des femmes, qu’ils ou elles soient hétéro ou homosexuels. Rien que d’y penser, ça me donne mal au crâne.

Derrière le comptoir, il y aura un espace pour le service. Derrière, il y aura 8 pompes à bière toutes reliées au même fût par des tuyaux qui auront tous la même longueur passant dans un système de réfrigération garantissant exactement la même température à la bière à la sortie (je propose 4° mais ce point reste à étudier) et qui seront équipés d’un dispositif pour vérifier que les bières servies font exactement 25 cl en moyenne.

Toutes les 10 minutes, les juges arrêteront de vérifier les fuites et viendront servir une nouvelle bière aux participants, tous en même temps. Les participants devront boire les bières en dix minutes, sans la moindre marge possible. Au moment du service d’une nouvelle pression, si le verre précédent n’est pas terminé le candidat sera éliminé.

Si un participant ayant trop bu, ce qui ne saurait arriver, ce blog est de grande moralité, vous n’avez pas encore lu toutes les clauses… Bref, si un participant renverse par mégarde sa bière, quel qu’en soit le niveau, il s’en verra servir une nouvelle de 25 cl à la place mais devra la boire dans le temps imparti avec un bonus de 2 minutes si la bière est resservie dans les deux minutes avant l’heure normale (la fin des dix minutes en cours, donc).

Renverser trois verres au cours d’une épreuve est éliminatoire.

La bière sera de la bière blonde légère française ou, plus précisément, de la bière blonde légère telle que nous la buvons ici. L’olympisme est mondial mais Pierre de Coubertin est Français, bordel. Cette épreuve n’aurait pas été faite pour lui, d’ailleurs, s’il conduit. Pierre qui roule n’amasse pas mousses.

Je résume : les participants, du même nombre que les juges-serveurs devront boire un verre toutes les dix minutes. Seront éliminés ceux qui renversent trop, ceux qui ne boivent pas assez vite et ceux qui ont des fuites.

Le vainqueur sera le dernier à aller pisser.

Ce n’est pas une belle épreuve, ça ? Et parfaitement moral : il est presque impossible de prendre une cuite à la bière sans aller pisser.

Elle sera sponsorisée par Ikéa, cette honorable société produisant dorénavant de la bière. J’ignore si elle est en kit. L’information ma été communiquée par @defrancoisjose.

29 mai 2012

La bière ne fait pas grossir !

Il y a des rumeurs qu’il convient de faire taire. Une étude scientifique a prouvé que la bière n’aurait aucun impact sur la bedaine. Les « abdos Kronenbourg » n’existent pas. Les buveurs de bière sont généralement des bons vivants qui ont un joli coup de fourchette. Leurs ventres n’est qu’à imputer sur leurs épouses qui préparent des repas trop riches.

El Camino et Melclalex peuvent être rassurés, de même que JJU, Yann, Romain, Didier, Gildan, Pierre, FalconHill, Poireau, Dada, Politeeks et Gularu. Y’en a qui vont gueuler parce que je les mets dans les gros. Tant pis. Tiens ! Je vais ajouter Romain P. Il devrait finir gros.

Par contre, nous allons mener une étude sur les buveurs de bière pas gros, tels Philippe, Seb, David, Marco, Antoine, Authueil, Olivier, Dedalus, Homer, Gaël, NicoCerise, Louis, Jean, Mehdi, Marc, Eric, Mtislav, Rimbus, Sarkofrance, P’tit Louis, Nicolas et Bembelly.

Je ne cite aucune gonzesse dans mes listes, vous comprendrez pourquoi.

La présence de Marc Vasseur, Mehdi et David chez les maigres et de « certains » chez les gros montre, que la bière n’a pas le même impact sur la coiffure chez mes maigres que chez les gros. Mais ceci n’est pas scientifique : l’échantillonnage n’est pas assez important.


15 mars 2012

Payez moi une bière via Twitter !

Antoine m'en avait parlé hier. Le Modérateur la présente aujourd'hui dans son blog. Ca se passe sur le site Tweet-a-Beer et c'est une excellente idée.

Je vous laisse, je vais négocier avec le patron de la Comète pour qu'il ouvre un compte Paypal, ça sera plus simple...

22 février 2012

The Perfect Beer is in Paris !


Voila une information qui fera plaisir à Férocias, Aurel, Nicocerise, Laurent, Mike, Homer, Elmone, Jean, Dedalus, Xapur, Thierry, mtislav et Guillaume, je la présente donc ici telle que je l’ai reçue…


Oh My God ! The Perfect Beer is in Paris !
(Traduction : Tonnerre de Brest ! On fête la St Patrick en avant-première à Paris !)
Mousse Touch, le concept de soirées gourmandes dédiées à la bière.
Le Mercredi 07 Mars 2012, Paris accueillera l'événement organoleptique incontournable de ce début d'année : la réunion des meilleures brasseurs bretons, irlandais et britanniques.
Pour sa troisiéme édition, Mousse Touch accueillera des marques et des brasseurs de renommées mondiales, réunis pour la première fois dans la capitale. Vous pourrez savourer des bières aux flaveurs étonnantes comme :
·         Guinness et Kilkenny ,
·         Spitfire ,
·         Murphy's ,
·         Brewdog ,
·         Mac Ewan's
·         ou encore le cidre Magner's !
Et de nombreuses autres bières ... 
Les brasseurs Irlandais et Anglais seront accueillis, selon la tradition Mousse Touch, par leurs confrères bretons. La Brasserie Lancelot présentera ses bières artisanales qui puisent leurs noms dans les légendes de la fôret de Brocéliande et l'histoire de la Bretagne. La Brasserie des Côtes d'Armor Val de Rance, présente dans plus de 20 pays sur 5 continents, exposera son cidre naturel certifié « Qualité France ».
Mousse Touch a choisi un lieu parisien à la hauteur de l'événement : Le Bateau Concorde Atlantique !
Mousse Touch – Soirée « St Patrick avant l'heure »
le Mercredi 7 mars 2012 de 19h à minuit
Bateau Concorde Atlantique
Port Solférino – Face au 23 quai Anatole France
Parking devant la péniche - 75007 Paris
Accès : Métro (ligne 12) Assemblée Nationale ou RER C Musée d'Orsay
En savoir plus sur le concept Mousse Touch :
Mousse Touch a pour vocation de promouvoir avec enthousiasme la culture de la bière, comme boisson de dégustation et de gourmandise. Qu’elle soit artisanale, régionale, internationale, la bière est synonyme de convivialité, de fête, et de partage !
Ces soirées ont également pour mission de rassembler les amateurs comme les connaisseurs autour des brasseurs et des spécialistes de la bière, pour échanger informations, impressions, et faire rimer bien boire avec bien manger !
Enfin, Mousse Touch souhaite développer la connaissance de la bière en France, faire connaître la créativité brassicole par des manifestations à caractère culturel, gastronomique, médiatique, et touristique.
Retrouvez tous les informations sur l'événement, les brasseurs présents et les bières sur le site http://www.mousse-touch.net/

20 janvier 2012

Vive le foot !

Grâce à Captain Haka, je sais maintenant que la vente de bière sera dorénavant obligatoire dans les stades de foot.

08 décembre 2011

La bière sauve des vies !

Un sympathique Twittos me rappelle un fait divers dont nous avons causé avec Tonnégrande hier soir : « un habitant de l'Alaska, s'est retrouvé coincé pendant trois jours dans la neige, sur une route perdue ». Il n’avait que quelques bières (congelées) à sa disposition pour survivre. Le type a réussi à la gratter pour en « boire » un peu et à survivre pendant trois jours.

En cherchant dans Google pour avoir plus d’explication, je suis tombé sur une autre histoire d'un type sauvé par de la bière, encore plus incroyable.

Un type brulé à 40% pensait que l’hôpital était fermé et a décidé de se saouler à la bière pour oublier la douleur ou passer le temps (l’histoire ne le dit pas). Quand il est arrivé à l’hôpital, 17 heures après, il était en pleine forme, surprenant beaucoup les toubibs.

Il aurait du mourir d’un choc « hypovolémique » (une baisse rapide de la pression artérielle et du volume du sang) mais le liquide ingurgité l’a maintenu en vie.

Et on trouve toujours des ronchons pour critiquer la bière.

21 septembre 2011

Pourquoi, je reçois ce communiqué de presse, moi ?

En tant que blogueur geek, je reçois beaucoup de communiqués de presse. En tant que blogueur politique, ça m'arrive un peu (et surtout des invitations pour des "avant premières" de films).

C'est la première fois que je reçois un communiqué de presse au titre de taulier de "Partageons nos agapes".

Je suis ému.

Je vous le diffuse donc dans son intégralité.

Exclusif : Les bières du Québec et de l'Ontario font escale à Paris avant le Mondial de la Bière de Strasbourg!

Paris le 20 septembre 2011 Mousse Touch, nouveau concept de soirées gourmandes dédiées à la bière, présente la plus grande soirée « Bière » de l'année !

En avant-première du célèbre Mondial de la Bière à Strasbourg, les brasseurs du Québec et de l'Ontario font escale à Paris ! Les micro-brasseries Dieu du Ciel ! à Montréal, Le Naufrageur de Gaspésie, Le Grimoire de Granby, A l’Abri de la tempête des Iles de la Madeleine, Charlevoix de Baie St Paul, et Beau’s en Ontario, seront présentes avec leurs bières aux noms enchanteurs : l'Aphrodisiaque, la Noire Soeur, la Péché Mortel , la Chaman, l’Infernale, ou encore La Vie de château !

Des étoiles liquides, étincelles pour vos palais !

Mousse Touch a choisi pour cette dégustation inédite, un lieu parisien exceptionnel : Le Passage vers les étoiles ! Tout un programme ! L'étoile est en effet le symbole du Brasseur. Représentation symbolique de l'alchimie de la bière, qui repose sur les quatre éléments (terre, feu, eau, air), l’étoile des brasseurs servait au Moyen Age à éloigner les esprits malins ou les incendies afn de protéger les brassins.

Superstition, légende et passion sont à l'origine des noms magiques que les brasseurs québécois et ontariens ont donné à leurs bières : la Corne du Diable, la Désirable, la Corps Morts, la Rosée d’Hibiscus, ou encore la Dernière Volonté.

Mousse Touch – Soirée Québec-Ontario
le 19 octobre 2011 de 19h à minuit
Le Passage vers les étoiles
17 Cité Joly
75011 Paris

Un événement d'envergure mondiale en partenariat avec le Mondial de la Bière !

Ces maîtres brasseurs de renommée internationale vous feront goûter leurs nectars gourmands, vous parleront de leur passion, et échangeront avec vous sur les particularités de leurs bières par rapport aux bières françaises.

En partenariat avec le Mondial de la Bière à Strasbourg, événement incontournable pour les brasseurs et les amateurs de bière, Mousse Touch permet aux parisiens de découvrir en exclusivité ces brasseurs passionnés.

Le concept Mousse Touch

Mousse Touch a pour vocation de promouvoir avec enthousiasme la culture de la bière, comme boisson de dégustation et de gourmandise. Qu’elle soit artisanale, régionale, internationale, la bière est synonyme de convivialité, de fête, et de partage !

Cette soirée et les suivantes ont également pour mission de rassembler les amateurs comme les connaisseurs autour des brasseurs et des spécialistes de la bière, pour échanger informations, impressions, et faire rimer bien boire avec bien manger !

Enfn, Mousse Touch souhaite développer la connaissance de la bière en France, faire connaître la créativité brassicole par des manifestations à caractère culturel, gastronomique, médiatique, et touristique.

Retrouvez tous les informations sur l'événement, les brasseurs présents et les bières sur le site
http://www.mousse-touch.net/


La bière, à bout de bras !


Mon honorable confrère nous informe, vidéo à l’appui, de la tenue d’un concours original : « Le Masskrugstemmen est un sport originaire de Bavière en Allemagne. Le but de ce sport ? Tenir une bière le plus longtemps possible, bras tendu. « C’est à peu le concours de l’homme fort de Bavière. »

Ce qui m’étonne le plus, dans cette histoire, c’est qu’on puisse avoir envie de tenir un verre de bière plein le plus longtemps possible.


D’ailleurs, ceux d’entre eux réunis au sein des Leftblogs ont tenu une conf call (c’est le nouveau nom pour dire qu’on s’est passés un coup de bignou) pour décider de demander officiellement la sortie de l’Allemagne de la zone Euro.


14 septembre 2011

La bière – des origines à nos jours

"Beaucoup d’émotion ce mardi à Bénifontaine lors de la présentation de La bière - des origines à nos jours, ouvrage coécrit par Delphine Levissse et Jacques Messiant aux éditions La Voix."

A lire ici.

Très travailleurs nos confrères du Nord.

13 septembre 2011

Cuvée des Trolls

Grâce à un méticuleux travail de Dagrouik et à l'oeil vif de Rimbus, nous savons maintenant que la Cuvée des Trolls est une bière.

Cette bière serait appropriée pour le prochain Kremlin des Blogs (qui aura lieu après-demain, je vous rappelle).

Je contacte donc immédiatement le patron de la Comète pour qu'il s'en procure quelques futs.

Surtout pour les ivrognes Yann, El Camino, Melclalex, Gularu, David, Vlad, Gildan, Monsieur Poireau, ... parce que moi, vous savez, la bière, hein...

(photo)

12 août 2011

Des ventres à bière

Parmi nos huit mannequins, vous reconnaitrez assez facilement Vlad, El Camino, Melclalex, Gildan, Yann (c'est le vieux), Romain, David et P'tit Louis.

Trouvé ici, blog que j'ai trouvé par Polluxe et que je recomande.

26 juillet 2011

69 raisons de préférer la bière aux femmes

01- Une bière froide est une bonne bière.
02- On arrive toujours à faire mousser une bière.
03- Une bière est toujours prête et humide.
04- Une bière n'a jamais la migraine.
05- On peut consommer 2 bières en même temps sans complications.

La suite est à lire ici.