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29 octobre 2013

Huit ans

Je me rappelle de ce 29 octobre 2005 où j’avais besoin de me créer un espace personnel sur internet pour noter des choses personnelles sans avoir besoin de passer par un machin HTML… J’avais cherché « créer un blog » et je suis tombé sur Blogger. J’ai créé Partageons l’addiction immédiatement. Emballé par l’interface, j’ai immédiatement remplacé mon blog personnel par « Le blog à Nicolas » qui deviendra quelques années plus tard « Partageons nos agapes ». Trois mois plus tard naissait « Partageons mon avis ».

L’actualité politique est tellement dense que j’avais oublié cet anniversaire avant de tomber sur un calendrier par hasard.

8 ans, ça parait énorme.

Il s’est passé quoi, depuis ? La création d’un compte Twitter, d’un compte Facebook, d’une douzaine d’autres blogs, tous abandonnés sauf trois. Des rencontres de gens fabuleux, des engueulades, des retrouvailles. Des histoires d’amitié.

Trois bistros qui changent de patron dont la Comète, trois fois.

Mais moi, toujours au comptoir, pas au même endroit, avec Tonnégrande, indispensable élément de décor, tout comme Ramdane, Patrice, Odette, Joël, Patrice, Djibril,… Des personnages de blogs qui étaient amis dans la vraie vie. Et tous les autres, les participants aux Kremlin des Blogs, des copains de blogs devenus amis.

Ceux que j’ai connus dans les bistros et revus dans les blogs, celui que j’ai connu avant tous les autres.

La bise à tous. Ca s’arrose.

28 septembre 2013

Adieu jegoun.net ?

En ce mois d'octobre 2010 ou 2011, j'ai découvert que aubistro.com était disponible. J'avais déjà  macomete.com pour l'annexe... Je me suis dit que ça ferait un superbe nom de domaine pour ce blog. Je l'ai déposé immédiatement, via Blogger, comme je l'avais fait pour macomete.com (quand je l'ai créé, je voulais en faire mon blog phare puis j'ai renoncé). Dans la foulée, j'ai créé aubistrogeek.com pour le blog geek.

Retournant à ma sieste, je me suis alors dit que c'était ridicule d'avoir un joli nom de domaine pour deux blogs et pas pour le principal, celui qui est un peu connu. J'ai opté pour jegoun.net. J'ai donc déposé les trois noms de domaine le même jour, un 8 ou 9 octobre.

L'année suivante (et peut-être l'année après), le renouvellement s'est bien passé !

Entre temps, j'ai créé d'autres blogs : nicolasjegou.com et lefuroscope.com. Toujours de la même manière, en passant par Blogger, donc Google.

Cette année, ma carte bancaire est arrivée à expiration. J'ai donc reçu un tas de mails me disant de saisir mon nouveau numéro de carte. Ca s'est bien passé pour aubistro.com, aubistrogeek.com, macomete.com, nicolasjegou.com et lefuroscope.com. Pas pour jegoun.net.

Je ne sais plus si j'ai fait une connerie ou si je n'ai pas reçu de mail, toujours est-il que je n'arrive pas à saisir mon numéro de carte.

Plus précisément, cela se passe comme si Google avait oublié que j'avais acheté le nom de domaine par son intermédiaire.

Voila comment jegoun.net risque de mourir dans une dizaine de jours.

20 décembre 2012

La braguette de Marcel au comptoir de mon éditeur ?

Deux amis blogueurs ont récemment sorti des livres avec des textes spécifiques ou des textes de leurs blogs respectifs. J’ai appris après qu’ils avaient été contactés par une maison d’édition spécialisée qui promet une « publication gratuite ». En première analyse, il ressort qu’il n’y a pas de travail d’édition (relecture, promotion,…) et que les livres sont très chers donc difficilement vendables par un auteur peu connu…

Je ne suis pas vexé de ne pas avoir été contacté. Il n’empêche qu’une lectrice friponne (mais réactionnaire) me demande si j’aurais pu succomber à une telle offre. La réponse est clairement négative pour le blog politique. Pour le blog bistro (ici, donc), ça m’aurait intéressé pour des billets relativement anciens avec des extraits comme celui-ci, avec ma visite chez le coiffeur :

« Je suis reçu par ma grande blonde qui me lave langoureusement les cheveux puis m’enturbanne. Du verbe enturbanner, ce qui n’a rien de cochon. Le temps du transport jusqu’à la chaise de coupe (je vous rappelle que ma spécialité c’est le consulting pas la coiffure), nous papotons. Ma grande blonde a la voix éraillée. Probablement la fatigue consécutive à une journée de boulot.

« Je vous coiffe comment ? » « en silence ».

J’ôte mes lunettes. Ma coiffeuse ne fait rien d’exceptionnel. Juste son boulot : elle me coiffe. Je vais illustrer ce billet avec ma photo avec la coiffure reconstituée. […]

Pendant la coupe elle se penche sur moi à me faire frémir à un point qu’il a fallu que je fasse preuve d’un self contrôle incroyable. Mais mon émotion n’a duré qu’un temps. Quand elle fut assez près pour que je puisse lire son badge sans mes lunettes mais avec son prénom, j’ai lu : « Matthieu ». Ah ?

A la fin du coiffurage, elle va chercher mon manteau. Je le suis. Du verbe suivre. Je constate que non seulement elle n’a pas de poitrine mais qu’elle n’a pas de fesses alors que j'attendais ce suivage avec impatience. Ma grande coiffeuse blonde n’en était pas une[…]. »

Ou alors, celui-ci, qui commence par : « C’est bien plus drôle quand c’est Marcel qui raconte. D’ailleurs Fiso a fait pipi dans sa culotte en entendant Marcel ce qui faisait ronchonner Josiane qui venait de faire le ménage.

Tout commence par Marcel qui se coince la peau du truc (traduisez « la bite » mais Marcel est très prude - il parlait même de « la zigounette ») dans la braguette.

On ne sait pas trop pourquoi. Il nous dit que c’était en allant changer l’eau des patates (traduisez « pisser ») mais j’ai un doute sérieux. Pensez-vous vraiment que, quand un taxi parisien indique avoir un problème de braguette dans le bois de Boulogne, c’est en allant pisser ? »

Je pourrais prendre quelques textes du blog politique, ceux avec "les personnage". Un important travail de sélection serait à réaliser (il y a huit mille billet entre les deux blogs) puis un travail de réécriture d'une part pour améliorer la syntaxe et d'autre par pour supprimer tout ce qui est spécifique au blog (dans le premier extrait, ci-dessus, j’ai fait deux coupes, par exemple).. 

Une introduction courte permettrait de planter le décor et une rapide conclusion serait nécessaire. Quelques passages devraient être ajoutés pour "remplacer" des billets qui ne pourraient être repris mais qui racontent des passages importants de la vie du quartier, notamment les changements de propriétaires des bistros. 

Une conclusion politique pourrait être tirée. L'histoire de mes personnages s'est arrêtée ou presque avec ses changements de patrons. Le comptoir de la Comète a été déserté par ces bonhommes. Il ne reste plus que le Vieux Joël, Tonnégrande et moi... Le vieux Jacques picole à l'Amandine et ne vient plus en soirée au bistro. Marcel Le Fiacre ne vient plus trop au bistro. Le gros Loïc est retourné en province. Djibril a des horaires incompatibles avec les nôtres. Hassan a disparu. Henri et Abdel sont morts. Émilie et Jim sont retournés dans le nord. 

Tous les bistros du quartier ont pris une claque. Les anciens clients disparaissent mais le stock ne se renouvelle pas. La crise économique est passée par là tout comme les évolutions de la société.

Pour ce qui concerne la Comète, il y a eu deux grosses erreurs. La première, en janvier 2008 : le nouveau patron n'était pas fait pour ça. Il ne causait pas avec les clients et il tenait à fermer à 21h. La deuxième, en juin 2008 : le "nouveau nouveau" patron avait décidé de fermer le comptoir à 19 heures à 19 heures pour favoriser la restauration en salle.

Juin 2008 : fermeture du comptoir donc départ des clients. La politique de la maison a changé par la suite mais la crise économique est arrivée, visible dans les bistros à partir du premier semestre 2010. Dans tous les bistros. Les bistros du quartier avaient tenu jusque fin mars, sous perfusion avec les ouvriers et ingénieurs qui construisaient le centre commercial. Il a ouvert fin mars ce qui a généré une nouvelle concurrence. Mais les lieux de restauration rapide dans le centre ferment aussi. 

Les personnages se faisant très rares au comptoir, les billets son partis. Les lecteurs aussi (environ 30% en moins de lecteurs réguliers). 

Revenons à mon livre. Il me donnerait beaucoup de boulot pour un résultat incertain. Le seul truc que je sais est que le blog avait trouvé ses lecteurs pour ses histoires de bistros, ces histoires de la vraie vie. 

Pour qu'il marche, il faudrait un vrai éditeur qui en assure "la finition" et la promotion. Il faudrait donc qu'il investisse et je ne crois pas qu'un seul type soit près à investir pour des histoires de petits vieux au bistro. 

Mais je m'en fous. Ce que je veux c'est avoir de nouvelles histoires à raconter et c'est mal barré. Dans quelques années, les bistros de banlieue fermeront à 20 heures, sauf ceux destinés aux branleurs agressifs de moins de trente ans (je me comprends). 

Il n'y a pas que le soir qui "va mal" au bistro. Toute l'activité de comptoir est terminée. Je me rappelle des dimanches midis vers 2005. C'est là que sont nés la plupart des personnages. Je voyais par exemple Régine, Janine, Casquette, Michel, Alvez, Patrice, Jacques, Jim, Marcel, Jean-Michel, 2 Philippe, Djibril, Roger, Jean Luc,... Maintenant, je vois Jacques, Patrice et Alain. Point barre. 

Une page de l’histoire s’est tournée.

L’histoire vaut bien un livre mais je n’ai ni courage ni talent à part celui de faire sourire quelques passants.

16 novembre 2012

RIP Nicolas du Comptoir de la Comète

Pour la première fois depuis près d'un an, nous étions tous les quatre à la Comète. Djibril, Tonnégrande, le vieux Joël et moi. La bande originale, les vrais héros de ce blog, avec Patrice, le vieux Jacques, Marcel Le Fiacre le samedi ou le dimanche. Mes trois compères ont eu des raisons différentes d'arrêter d'aller tous les jours au bistro, ce qui fait que j'arrivais à les voir de temps en temps mais jamais en même temps.

Je m'interroge depuis quelques temps sur l'identité que je dois utiliser en tant que blogueur (et surtout commentateurs de blogs... et surtout des miens). J'utilisais depuis quelques mois "Nicolas du Comptoir de la Comète" mais c'est profondément ridicule. Je publiais, en début de soirée, mes états d'âme sur un autre blog.

Pour ceux de mes lecteurs qui ne connaissent les blogs que pour les lire à l'occasion, je précise que l'identité du blogueur est très important pour des raisons techniques comme pour des raisons "fonctionnelles" liées à la nécessité de conserver un certain anonymat (en français : si un employeur potentiel ou un collègue de bureau tombe sur ton blog en cherchant nom sur Google et tombe sur ton blog, ça peut être gênant...).

En début de soirée, donc, je me demandais s'il ne fallait pas que je commence sérieusement à m'en foutre, de toute ces conneries. Me retrouver au comptoir avec mes trois potes m'a donné la réponse : je m'en fous complètement. Rien ne vaut la vraie vie. Je vais bloguer avec mon vrai nom et basta.

De toute manière, un type qui cherche mon nom dans Google tombe déjà sur mon blog politique mais il tombera aussi sur des dizaines d'autres "Nicolas Jégou" et n'aura jamais la certitude qu'il s'agit vraiment de moi. D'ailleurs tous les zozos qui cherchent à conserver leur anonymat et qui ont un nom répandu devraient aborder ça sous cet angle. Ils sont grotesques mais pas plus que je ne l'ai été.

Si jamais j'ai à chercher du boulot, je supprime PMA et, en quelques semaines, mon blog politique arrivera au fin fond de Google... 

J'ai donc changé mon nom dans Google+ pour rétablir le vrai et je me souhaite donc la bienvenue dans les blogs...

17 mars 2012

Le petit Nicolas à la radio

Je me suis fait engueulé par le vieux qui a appris par hasard que j'étais passé à la radio ! Il s'imaginait que c'était sur France Inter, Europe 1 ou RTL ! Mais non ! C'est sur IDO Webradio, une radio par Internet (donc écoutable dans le monde entier) basée au Kremlin-Bicêtre.

Du coup, je me suis rendu compte que j'avais oublié de faire un billet pour vous dire où l'écouter. C'est ici que ça se passe (merci à Gaël pour la technique). Ca dure une petite trentaine de minutes.

Je ne suis pas fier de ma prestation : je ne suis pas du tout à l'aise à l'oral, je ricane bêtement et je parle trop vite, me répète. Je raconte donc n'importe quoi.

L'art de passer pour un gros con.

Merci à IDO Webradio ! Merci à Claire !

N.B. : l'interview date de quelques semaines (l'actualité a un peu changé depuis).

31 décembre 2011

3ème étape : Loudéac - Le Kremlin-Bicêtre

Ce n’est pas sans une certaine émotion que j’ai retrouvé la Comète, hier soir, après huit jours d’absence, pour la dernière soirée de l’année, l’établissement étant fermé pour le week-end, même qu’il va falloir que je me fasse à manger ce midi et demain.

Je suis arrivé après une route bonne mais sous la pluie vers 16h30 puis suis rentré à la maison vers 17h15 pour faire un billet politique à la con et un billet moins politique mais autant à la con.

La routine a pu reprendre : SMS de Tonnégrande, hop ! Au bistro !

De nombreux copains blogueurs ont fait leurs bilans des blogs pour l’année. Je vais m’y coller, mais partiellement et pour ce blog uniquement.

Ce blog a reçu 100 000 visites de la part de 80 000 visiteurs particulièrement unique dans leurs genres pour un total de 135 000 pages vues ce qui n’est pas rien.

Le 27 novembre, ce sont plus de 3000 visites qui se sont entassées ici, grâce à la copine de Tsonga…

Consulter la liste des billets les plus consultés me donne honte. Je vous la livre sous forme graphique afin que JJU puisse en faire un bon usage pour ce foutre de la gueule de Gularu et Vallenain.

Aussi, je crois que je vais aller retourner me coucher.

Bon réveillon à tous !

J’ai, pour ma part, rendez-vous avec Patrice à 20 heures à l’Aéro où nous serons probablement rejoints par Djibril, Tonnégrande et le vieux Joël avant d’aller réveillonner chez ce dernier.

08 novembre 2011

Le mariage de Justin Bieber

C'est l'information goulument lancée par mon pote Jean-Jacques dans son blog pour s'amuser et tester des trucs de référencement de blog.

Or il se trouve que j'avais besoin de faire un billet pour tester les flux de mon blog (suite à un léger incident : les tweets émis automatiquement à la sorite de mes billets sont foireux).

Je propose qu'à l'occasion du Kremlin des Blogs du 17 (au fait ! Il y en a un ce soir), nous lancions une requête google : celui qui arrivera en première position se fera offrir une bière par l'autre.

31 octobre 2011

6 ans

Alors que FalconHill fête les 7 ans de son blog, je me rends compte que j’ai oublié de fêter les 6 ans de deux des miens, celui-ci et le blog geek. C’était le 29 octobre 2005. J’aurais du faire la fête, samedi, mais j’ai oublié.

FalconHill revient avec émotion sur l’histoire de son blog, des rencontres faites, des amitiés réelles qui en sont nées. Je pourrais faire pareil mais j’ai la flemme. Je n’aime pas faire ces témoignages d’amitié par contre, j’aime bien rappeler que les blogs, ce sont bien les rencontres qu’on y fait qui comptent et tous les copains avec qui on papote.

Alors je vais rendre hommage à toutes les andouilles avec qui je suis fâché, pour changer. Tous ces braves gens qui n’ont pas compris que les blogs étaient un loisir et que je n’avais pas spécialement envie de me faire emmerder pendant mes heures de blogage.

Il y a suffisamment de cons au bistro.

Mais il y en a de moins en moins, la crise économique est passée par là.

8896 billets de blog (sans compter ceux des blogs que j'ai supprimés).

A 10000, je remets une tournée !

22 octobre 2011

Mon nouveau blog, pas anonyme

Les choses se sont précipitées hier soir. Dans mon trajet en voiture de Paris vers la Bretagne, j'ai pris la décision de créer un cinquième blog pour remplacer mon site web http://jegoun.com (pas mon blog http://jegoun.net !) que je suis presque obligé de fermer fin novembre. Quand je suis arrivé à Loudéac, ma mère n'était pas à la maison. J'ai eu alors l'idée saugrenue de créer le blog « montre en main » pour faire un billet dans le blog geek.

Pour tout vous avouer, il faut plus de 40 minutes pour la totale :
  • création et réglage du blog,
  • création du compte twitter associé,
  • redirection des flux vers Feedburner,
  • achat du nom de domaine et mise en œuvre,
  • backtweets automatiques des billets avec Twitterfeed.

Je vous déconseille de tout faire dans la foulée, comme moi. Ca merde prodigieusement du fait que le nom de domaine ne se répand pas rapidement au travers les différents serveurs... En outre, les flux mettent du temps à sortir ce qui explique que j'ai perdu vachement de temps avec Twitterfeed.

Le cinquième blog, « aux couleurs de mon nom », n'est pas lié aux quatre autres. Ce n'est pas le même compte Google+ qui est utilisé pour le gérer. Il n'y a aucun lien qui puisse lier ce blog aux autres, si ce n'est celui que j'ai fait dans mon billet d'hier.

Le nouveau blog n'est pas anonyme contrairement aux quatre anciens. Comme beaucoup de blogueurs, je suis obsédé par un relatif anonymat : je ne veux pas que des collègues de travail sachent que je tiens des blogs. Comme vous allez mettre le nouveau blog dans vos blogrolls et lui faire des liens dans vos billets, Google va vite comprendre que le vrai Nicolas J, celui qui habite Loudia et Le KB, est l'autre. C'est toujours assez chaud avec les collègues : ils ne comprennent pas que je sois aussi geek alors que ce sont eux, les jeunes techniciens. Ils se doutent donc que j'ai une activité importante dans les réseaux sociaux et cherchent... Visiblement, ils ne connaissent pas Google.

Mon nouveau blog n'a aucun lien vers les autres (à part par l'intermédaire des blogrolls copains que j'aurais dans ma blogroll).

Jeudi, ma journée de travail méritait un billet de blog mais je ne parle jamais du travail dans mes quatre blogs également par soucis d'anonymat (outre les raisons légales), pour éviter qu'un type que je connais, tombant par hasard sur mon blog, ne devine que c'est moi le taulier et se décide à voir ce que j'y fais d'autre... Avec le nouveau blog, il pourra.

Mes deux premiers blogs (celui-ci et le geek) vont avoir six ans à la fin du mois. Wikio s'arrête ce mois-ci. Une page se tourne. J'ai peut-être bien envie d'essayer quelque chose de nouveau, dans les blogs : le blogage pas anonyme.

Ne sont-ce pas des belles raisons pour créer un nouveau blog ?

Il y en a d'autres mais plus techniques, notamment les évolutions annoncées de Google+ et la probable disparition de Google Reader (je n'ai aucune information, juste un pressentiment...). Je peux multiplier les raisons dans tous les sens. Tiens ! Ce que j'émets dans mes blogs est repris par @leftblogs. Le jour du mariage de la sœur de Jim, j'ai diffusé une quinzaine de billets avec des photos. Si un autre leftblogs se lance dans le même truc, il se prendrait une avoinée de ma part !

Si la création du nouveau blog est parfaitement réfléchie, ce n'est pas le cas du compte Twitter. Advienne que pourra...


28 septembre 2011

J'arrête de bloguer

Jusqu'à lundi seulement, ne vous réjouissez pas trop vite.

Et je n'arrête que partiellement (j'aurais peu accès à un PC jusqu'à vendredi midi et plus du tout après mais je garde l'iPhone).

N'oubliez pas le Kremlin des Blogs, demain soir, en l'honneur de Juju !

21 septembre 2011

Pourquoi, je reçois ce communiqué de presse, moi ?

En tant que blogueur geek, je reçois beaucoup de communiqués de presse. En tant que blogueur politique, ça m'arrive un peu (et surtout des invitations pour des "avant premières" de films).

C'est la première fois que je reçois un communiqué de presse au titre de taulier de "Partageons nos agapes".

Je suis ému.

Je vous le diffuse donc dans son intégralité.

Exclusif : Les bières du Québec et de l'Ontario font escale à Paris avant le Mondial de la Bière de Strasbourg!

Paris le 20 septembre 2011 Mousse Touch, nouveau concept de soirées gourmandes dédiées à la bière, présente la plus grande soirée « Bière » de l'année !

En avant-première du célèbre Mondial de la Bière à Strasbourg, les brasseurs du Québec et de l'Ontario font escale à Paris ! Les micro-brasseries Dieu du Ciel ! à Montréal, Le Naufrageur de Gaspésie, Le Grimoire de Granby, A l’Abri de la tempête des Iles de la Madeleine, Charlevoix de Baie St Paul, et Beau’s en Ontario, seront présentes avec leurs bières aux noms enchanteurs : l'Aphrodisiaque, la Noire Soeur, la Péché Mortel , la Chaman, l’Infernale, ou encore La Vie de château !

Des étoiles liquides, étincelles pour vos palais !

Mousse Touch a choisi pour cette dégustation inédite, un lieu parisien exceptionnel : Le Passage vers les étoiles ! Tout un programme ! L'étoile est en effet le symbole du Brasseur. Représentation symbolique de l'alchimie de la bière, qui repose sur les quatre éléments (terre, feu, eau, air), l’étoile des brasseurs servait au Moyen Age à éloigner les esprits malins ou les incendies afn de protéger les brassins.

Superstition, légende et passion sont à l'origine des noms magiques que les brasseurs québécois et ontariens ont donné à leurs bières : la Corne du Diable, la Désirable, la Corps Morts, la Rosée d’Hibiscus, ou encore la Dernière Volonté.

Mousse Touch – Soirée Québec-Ontario
le 19 octobre 2011 de 19h à minuit
Le Passage vers les étoiles
17 Cité Joly
75011 Paris

Un événement d'envergure mondiale en partenariat avec le Mondial de la Bière !

Ces maîtres brasseurs de renommée internationale vous feront goûter leurs nectars gourmands, vous parleront de leur passion, et échangeront avec vous sur les particularités de leurs bières par rapport aux bières françaises.

En partenariat avec le Mondial de la Bière à Strasbourg, événement incontournable pour les brasseurs et les amateurs de bière, Mousse Touch permet aux parisiens de découvrir en exclusivité ces brasseurs passionnés.

Le concept Mousse Touch

Mousse Touch a pour vocation de promouvoir avec enthousiasme la culture de la bière, comme boisson de dégustation et de gourmandise. Qu’elle soit artisanale, régionale, internationale, la bière est synonyme de convivialité, de fête, et de partage !

Cette soirée et les suivantes ont également pour mission de rassembler les amateurs comme les connaisseurs autour des brasseurs et des spécialistes de la bière, pour échanger informations, impressions, et faire rimer bien boire avec bien manger !

Enfn, Mousse Touch souhaite développer la connaissance de la bière en France, faire connaître la créativité brassicole par des manifestations à caractère culturel, gastronomique, médiatique, et touristique.

Retrouvez tous les informations sur l'événement, les brasseurs présents et les bières sur le site
http://www.mousse-touch.net/


25 mars 2011

Etre bien dans ses blogs

Ce billet aurait du être diffusé ce matin mais il me manquait la réponse à une bête question : dans quel blog dois-je le publier, parmi les quatre ? J’ai passé la matinée à réfléchir. Il aurait été mieux dans le blog politique, puisqu’il a plus de lecteurs. Il aurait été bien aussi, dans le blog geek, puisque le sujet porte sur les blogs. Il aurait été parfait « au comptoir » puisqu’il parle de mes blogs.

Mais c’est ici qu’il doit être, dans ce cas j’appelle parfois « le blog bistro » ou « le blog familial », qui est le plus ancien (le blog geek a été créé avant mais je ne le considérais pas comme un blog, le blog politique a plus de succès simplement parce qu’il est plus facile de bloguer en se basant sur l’actualité).

Didier Goux a fait un billet « d’autosatisfaction » à propos de son propre blog. Il a été repris par Yann Savidan. Je dois donc faire pareil et en profite pour lancer une chaîne. J’interpelle donc, par ordre alphabétique d’URL, Dadavidov,  Le Coucou, Gabale, Nicolas et Romain. Que des mecs, ça permettra de tenir des propos graveleux, comme au comptoir. Mais j’ignore le thème de cette chaîne.

Contrairement à eux, j’ai vraiment quatre blogs sur-actifs (les trois autres sont disponibles dans la rubrique « mes comptoirs » en haut de la colonne de gauche de ce blog) mais n'ont qu’un seul compteur de visites (hormis le GA que j’utilise pour mes stats mensuelles) car je considère les quatre comme une seule et même entité, tout simplement parce que je ne peux pas être en train de diffuser un billet sur les quatre en même temps. S’il y a trois blogs, c’est bien parce que les lecteurs ne sont pas forcément les mêmes (des lecteurs de mon blog politique pourrait être déroutés si j’y fais un billet pour décrire la cuite d’un copain) mais je l’ai souvent regretté et passé des heures à réfléchir à une autre formule mais qui n’aurait eu comme avantage, au final, que de répondre à une impulsion subite pour contenter… mon contentement.

C’est en y pensant que j’ai créé un quatrième blog, le comptoir, qui aurait du devenir « cette nouvelle formule » très progressivement. Puis un jour, relativement récemment (en septembre, je crois, mais le blog a plus de cinq ans), j’ai eu une idée. Et si « aubistro.com » était libre ? Il l’était, j’ai acheté le nom de domaine, j’en ai trouvé un pour les deux autres.

Un coup de nettoyeur à vapeur partout pour unifier la présentation des quatre blogs et la nouvelle formule était en place, parfaitement dépouillée, pas de bannière, peu de widget, juste l’essentiel dans la colonne de gauche : un machin faisant la passerelle avec les autres blogs, un autre avec les comptes Twitter et Facebook (mais comme un passage obligé, pas par plaisir) puis l’essentiel, ce qui devrait être au centre de tous les blogs parce qu’elle est l’âme de ce loisir, de ce réseau social : la blogroll !

La nouvelle formule était née. J’y suis bien et je crois que les lecteurs aussi, qu’ils fréquentent un seul ou plusieurs des blogs. Sinon, ils n’y seraient pas et alors je m’en foutrais. D’eux, du fait qu’ils ne soient pas là, de tout. Ce sont mes blogs, ce qu’ont du mal à comprendre certains lecteurs, notamment à propos du blog politique mais aussi, depuis, dans le blog geek, qui connaît un succès croissant.

Depuis le début, ma façon de bloguer a connu plusieurs modifications.
Il y a d’abord eu cet été 2007, où j’ai bien réfléchi aux blogs pour rédiger une série de conseils. Tous les blogueurs devraient faire de même. Il ne s’agit pas de faire un billet décrivant ses états d’âme mais bien une série pour cerner la question parce qu’on a trop d’a priori, parfois. Je me rappelle d’un débat que j’avais eu avec une blogueuse à propos de la bannière de son blog (et de l’absence de bannière dans les miens). Elle disait l’avoir faite pour satisfaire ses lecteurs alors que, visiblement, il s’agissait plus de satisfaire elle-même, de se sentir plus chez elle. En fait, une bannière trop visible, avec des couleurs vives, perturbe le lecteur. C’était juste un exemple…

Ainsi, de cet été 2007, j’en ai tiré un grand enseignement, pour mon blog politique : éviter les billets longs quand c’est possible (il y a toujours des fois où on se lâche…). Traiter en trois pages un sujet qui sera traité le lendemain par tous les éditorialistes qui traîne dans la toile ne sert à rien, à part se faire plaisir. De même, faire un billet un peu technique fera oublier au lecteur.

La deuxième modification de ma façon de bloguer concerne le blog geek, à l’été 2009. Vous n’avez rien vu, ce n’est pas grave. Il a juste fait, à cette occasion, un bond dans les classements de blogs. J’y reviendrai.

La troisième modification est plus intéressante et n’a connu son aboutissement que lors de la mise en place de la « nouvelle formule ». J’ai compris que la blogroll devait être au centre de tout, mêlant les blogs politiques et les autres (surtout dans le blog politique qui a plus de visites). Si j’en parle ici, c’est parce qu’auparavant je dénigrais les blogrolls, dans la mesure où je ne les utilisais pas. C’est le nouveau machin proposé par mon hébergeur qui m’a fait changer d’avis (les blogs apparaissent dans un ordre chronologique, selon le dernier billet publié).

N.B. : Je n’ai pas de mode de gestion précis pour cette blogroll. Si un blog que je fréquente n’y est pas, c’est probablement que j’ai oublié de le mettre…

La nouvelle formule n’a pas changé ma manière de bloguer (à part que disposer d’un quatrième blog m’a permis d’y mettre ce qui polluait les autres…).

La dernière modification que je tiens à signaler ici est le fait que je ne réponde plus systématiquement aux commentaires alors qu’ils sont essentiels dans ce que j’aime dans cette activité : dialoguer avec gens, même un simple « merci » pour un commentaire laissé par un pote qui me signalait juste avec sympathie qu’il était passé. Je regrette de ne plus répondre systématiquement pas seulement parce qu’y prenais plaisir, mais, d’une part, parce que ça me parait la moindre des choses et, d’autre part, parce que c’est probablement un des éléments du relatif succès de ces blogs.

Quel succès ? Je n’en sais rien mais je ne peux pas faire un billet pour expliquer comment je me sens bien dans mes blogs sans parler de Wikio et de son fameux classement.

Mon billet d’hier portait sur la bière et le snobisme relatif de certains qui « dénigrent » les bières de base. Depuis le temps, mes lecteurs auront compris que je suis amateur de ces bières « de base », la Amstel, dans l’ancienne Comète et au PMU, la Pelfort au 1880, la Kanter à l’Amandine et la Kro à l’Aéro et à la Comète. Des années que j’en bois que j’en suis satisfait. Quand j’étais malade, récemment, avec trois semaines sans alcool, je n’ai pas bu de bière, ça ne m’a pas manqué vraiment, mais la reprise a été un vrai bonheur.

Alors je ne vois pas pourquoi j’arrêterais de « wikioter », de faire des liens vers les copains, de lire des dizaines de blogs, de promouvoir dans Twitter les bons billets des copains, d’afficher un widget dans ma colonne de gauche, de fanfaronner au bistro à propos d’un fumeux premier blog politique de France, voire d’un blog geek de premier plan (mais sans visiteurs).

Parce que j’aime bien ça. Le classement Wikio n’est que le reflet de ce que j’aime dans les blogs.

Comme boire un bon demi ordinaire bien frais, le soir, avec les copains. Je n’apporte pas de réelle importance à la « qualité » de la bière parce que, comme beaucoup, je la bois froide ce qui en casse tous les goûts.

Alors je ne vais pas m’intéresser à la qualité d’un classement. Je laisse les polémiques à d’autres.

Et tant pis pour eux, s’ils n’ont pas de copains avec qui boire une bière.

Ou papoter par blogs interposés…

Si je ne réponds plus systématiquement aux commentaires, c'est que cette manie me minait (la peur d'oublier, la nécessité de refaire un tour tous les matins, ...) et me détournait de certaines de mes occupations (en Français : en sortant de réunion, je consulte ma messagerie professionnelle puis ma messagerie personnelle : le traitement des commentaires me faisait sombrer à nouveau dans le blogage...).

Alors je réponds souvent mais pas toujours. Ce n'est pas très grave, mes commentateurs m'en excuseront, ils savent que je blogue pour eux (ceci n'est pas un machin faux cul : je blogue pour le dialogue avec les gens, quand je dis "pour eux", ça veut dire "pour moi parce que j'aime dialoguer avec eux").

J'y suis très bien, dans mes blogs, comme dans ceux des copains...

30 décembre 2010

2010 en 15 billets sur aubistro.com

FalconHill nous donne ainsi la liste des 15 billets les plus lus sur son blog en 2010. Je vais faire pareil pour chacun de mes blogs (14 billets, ici, j’ai du faire une couille)… Au bistro, sur un total de 110 000 pages vues, les billets les plus « populaires » sont ci-dessous. Généralement, aucun commentaire ne s’impose : le titre suffit à expliquer la gloire du billet.

A noter que ces billets très « lus » le sont beaucoup plus que ceux de Partageons mon avis… Comme quoi, le cul… A noter aussi que la plupart des billets ne sont pas de cette année…


Ce billet (sans titre !) contient les paroles « des oiseaux gazouillent au printemps ». J’ai un blog culturel.


Je reprends la photo pour illustrer le présent billet. Je n'explique pas le succès (peut-être des recherches google sur "Grosse vache" mais je ne les ai pas repérées).

http://www.aubistro.com/2008/10/zac-efron-nu-sous-la-douche-toutes-les.html   - 746

Edit : le présent billet illustrera la série "comment foirer un titre de blog lors de la première publication". C'est corrigé.

29 octobre 2010

Cinq ans déjà...

Le taulier de ce blog vous informe qu'il ne racontera pas ses vacances ce soir dans ce billet : il est parti faire la fête pour ses cinq ans. Pas du taulier, du blog.

Pourtant j'avais une Clio de location et des anecdotes de machine à café d'autoroute à raconter, comme ce type qui gueulait parce que le type avant lui n'était pas assez rapide et que j'ai été obligé d'engueulé parce que 20 secondes (j'ai compté) avec la fin de la « cuisson » de son café, indiquée par un joli sifflement, il n'avait pas encore pris son gobelet.

En deux jours, j'ai lu 16 Lucky Luke et un recueil de vieux textes de Guy Bedos. Si !

On vit très bien (deux jours) sans Internet.

27 octobre 2010

A la plage

Les commentaires sont temporairement fermés : j'ai bien le droit de prendre des vacances, non ? Tous les détails ici.

09 octobre 2010

Au bistro !

C'est nouveau et ça vient de sortir ! Il fallait que j'y pense... "Au bistro" est le cri de guerre de je pousse dans Twitter tous les jours quand je bosse (voir d'autres) à 18 heures précises, heure à laquelle j'arrête tout travail (sauf urgence), bricole quelques trucs sur Internet, m'engouffre dans le métro avant de pointer à la Comète.




Voilà la nouvelle adresse de ce blog !

18 février 2010

Partageons nos apéros

La maison Pernod-Ricard ayant annoncé des mauvais résultats (j'aime bien faire des liens vers la Belgique), j'ai décidé de changer le titre de ce blog par soutien unilatéral. Wikio voudra bien changer ce qu'il faut changer dans leurs bases de données dans ce cas.

(twitté par Slovar et Melclalex : je ne sais pas pourquoi une partie des twitters mettent @jegoun dans les billets qui parlent d'alcool ou de bistro, même @rosselin le fait !)

Consommez avec modération et avec moi.