14 septembre 2023

[Série] Dévoré par les flammes

 


« Les restes carbonisés de Pedro, un policier, sont retrouvés dans une voiture incendiée. Cette découverte déclenche une enquête sur un réseau de relations toxiques, de violences et de scandales sexuels impliquant Pedro et deux autres agents. » Voila comment Google décrit Dévoré par les flammes.

Je ne sais pas trop ce qu’est une relation toxique. Comme ils disent, c’est « issu de faits réels » (et c’est la troisième fois de la semaine que je dis que ça me gonfle) et ça semble tout excuser.

Je traduis pour mes aimables lecteurs : la coupable est vraisemblablement une fliquette salope qui couche avec tout ce qui bouge. Je présente mes excuses à mes lectrices pour l’utilisation de ce terme qui n’a pas, a priori, d’équivalent pour les hommes et je ne fais aucun jugement valeur : chacun couche avec qui il veut, au fond.

 

Il n’empêche que cette série est très chiante. J’ai craqué au quatrième épisode, n’arrivant plus à savoir qui se faisait qui, d’autant que, au premier épisode, tous les hommes se ressemblent : des trentenaires d’un mètre quatre vingt barbus et sans la moindre surcharge pondérale ce qui retire toute crédibilité à la chose.

Pourque j’abandonne « ailleurs » que dans le premier épisode ou au bout de plusieurs saisons, il faut vraiment que ça soit nulle vu que je suis assez bon public, en général. Mais ces histoires à l’eau de rose magouillées en intrigues entre flics à fait déborder le vase qui m’a monté au nez.

 

Le seul point positif que j’ai vu est peut-être le personnage de la femme flic qui dirige l’enquête. L'actrice "principale", Úrsula Corberó, n'est pas mauvaise outre mesure mais elle m'avait surtout impressionné dans son rôle dans la Casa de papel.

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