11 février 2006

Vache

Il fait beau aujourd'hui en Bretagne, ce qui relève quasiment du pléonasme.

Donc je diffuse des photos de vaches dans la campagne bretonne.

Mais je n'ai pas de photo de vache bretonne sous la main mais uniquement des vaches sénégalaises, ce dont ne m'en voudra pas mon pote Djibril.

Et je ne suis pas trop sûr qu'il s'agisse bien de vaches. Les vaches, en principe, c'est noir avec des taches blanches. Des zébus peut-être ? Non pas encore ! Des bisons ? Bof. Des buffles ? Faut voir...

En fait, je diffuse pour le principe. Il fait beau, je vais donc aller me promener. En voiture.

Je ne vais tout de même pas laisser passer un samedi sans diffuser une ânerie sur le blog. Comme il n'y a rien de bien dans l'actualité, et qu'en plus on ne peut pas rigoler sur les sujets.

Si un truc aujourd'hui dans l'actualité. Le premier français qui espérait gagner une médaille aux JO, en biathlon, vient d'avoir la 20ème place. Ca commence bien.
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2 commentaires:

  1. Je mats le commentaire là parceque sinon il est trop bas.

    Suite à Connelly en anglais.

    Il y a à peu près un an, tout le monde lisait Da Vinci Code. Un collègue allemand trouvait ça génial et me demandait mon avis. Grosse honte, je l'avais pas lu, je savais même pas de quoi il s'agissait. De quoi passer pour un gors inculte qui ouvre jamais un bouquin.
    La collègue française trouvait ça un peu chiant. L'allemand, qui l'avait lu en anglais lui répond que c'est sans doute parceque la version française est mauvaise.
    La scène se passaant en Angleterre (qu'est-ce qu'ils boivent, c'est incroyable), je passe à la librairie et je m'achète le machin en VO.

    15 jours après, verdict : en anglais aussi, c'est une grosse daube.

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  2. Désolé, je n'ai pas lu Da Vinci Code, ni en anglais, ni en français.

    Je suis un fan de polars américains, c'est une chose. Mais de là à lire n'importe quoi, y'a un pas à franchir.

    Connelly c'est très bien. Kellerman, c'est bien. Bref y'en a un tas. Je lis même du Clancy, faut le faire. Je lis du Ludnum, j'adore. Je lis du "j'ai oublié le nom, mais A comme machin, B comme truc", du Linda La Plante, du J. Evanovich, du Peter Robinson, ... J'en passe...

    Je lis du Lawrence Block, et là on arrive au sommet (mais y'a un rapport avec le A comme machin ci-dessus).

    Maintenant je lis le dernier San-Antonio, où y'a le fils Béru qui disparait.

    Je lis surtout du George P. Pelecanos, et là Tonnegrande pourrait en prendre de la graine.

    Tout ça pour dire que je ne lis que de l'américain. Sauf San-A. Mais Da Vinci Code. Non. J'ai pas envie.

    Sauf sur un point : avant de critiquer, faut lire.

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