26 mai 2006

Publicité comparative


En ce week-end pascal de l’ascension, je suis revenu me ressourcer à Loudéac.
Ce qui ne m’empêche pas de suivre l’actualité où je vois « Le sidérurgiste européen Arcelor va acheter le groupe russe Severstal en donnant un tiers de son capital au PDG Alexeï Mordachov, pour une valeur de 12 milliards d'euros, dans une ultime tentative de faire échouer l'offre d'achat hostile lancée par son concurrent Mittal. ».

Je ne ferai aucun commentaire, car ce blog n’est pas là pour ça, mais cette histoire de patriotisme économique, c’est pour savoir qui a la plus grosse ?

Donc me voilà à Loudéac à me ressourcer : j’entends par là que la Pelforth de chez Galerne remplace la Amstel de chez Jean : je change de source.
La différence entre Galerne et Jean : Galerne nous vire le week end à la fermeture à 1 heure du matin quelle que soit son humeur alors que Jean ferme à 10 heures quand il est de bonne humeur et la semaine uniquement. Faut dire que le samedi, il ne bosse pas, ce qui fait que c’est un peu compliqué de se retrouver le samedi avec le vieux qui a été viré de tous bistros que Tonnegrande et moi avons le loisir de fréquenter quand nous ne sommes pas retenus à la bibliothèque.

Donc Jean ne travaille pas le samedi, contrairement à Galerne qui ne bosse pas le lundi lui, mais il a un PMU, les conditions sont différentes. Comme il ferme le samedi, il est pressé le vendredi, donc ferme encore plutôt le vendredi que les autres jours et ne nous vire jamais le samedi parce qu’il est ouvert alors que Galerne nous vire tous les vendredis et tous les samedis (au moins quand je suis en Bretagne et qu’il n’y a pas une fête organisées ailleurs).

Vous me suivez ?
Non ?
Ca prouve que la fréquentation des bistros est aussi compliquée que leur gestion, quoi qu'en disent ces patrons qui ne font que nous virer sous prétexte d’une descente probable de la gendarmerie ou d’une nécessité d’aller se coucher de bonne heure sous prétexte d’ouvrir à 5 heures 30 le lendemain matin.

2 commentaires:

  1. Y'a un gros devant la boutique, qui a l'air parfaitement serein et content de lui.
    Tu le connais ?

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  2. Bien vu... Je me demande de qui il s'agit.

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