29 décembre 2010

Pour quelques centimètres de plus...

Ce n’est pas sans une certaine émotion que la nouvelle est tombée sur nos téléscripteurs, aujourd’hui : Justin Bieber a perdu son pucelage. La nouvelle est émotive mais l’heure est grave : des centaines de fanelettes auraient vendu leurs bottes de radis pour ne pas savoir comment terminer leurs phrases, ce qui est crétin.

Toujours est-il qu’IL est devenu un homme, prépuce gagnant et tout ça.

Alors que d’aucun recueillent les premiers propos des femmes de ménage, nous sommes allés enquêter plus sérieusement.

Notre première rencontre fut avec M. Gomez, père de la petite Séréna dont le trou est doré de l’avant abymé. Il nous a déclaré : « Il est où, che petit con, que che lui ratatine la gueule. »

La petite Séréna a, ensuite, accepté de parlé : « c’était bien mais il a oublié sa montre, ça me gratte, là, en bas. »

Madame Bieber est resté muette mais Monsieur Bieber a déclaré : « Ah ! Il est temps ! Il faudrait qu’il me les ramène à la maison, ses petites salopes, que je puisse en profiter aussi, ne serait-ce qu’en matant leurs petits culs soyeux, leurs fesses épanouies, fraîches comme la rosée du matin, comestibles comme la tartiflette que nous a faite ma petite sœur à Noël ! »

Quant à lui, le pucelage erre maintenant dans les airs. Surtout celui de la dame se rappelle, avec émotion, quand il n’était qu’une frêle membrane, impénétrable pénétrée. Nous sommes tous entourés de pucelages perdus sans nous en rendre compte. Ils nous rentrent dans une oreille à défaut d’autres orifices disponibles et disparaissent dans les méandres dans non mémoires endolories.

Justin n’avait qu’un trou.

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