27 mai 2013

Mes bistros à Loudéac

Je parle souvent des bistros que je fréquente mais assez peu des bistros que je ne fréquente pas. Pourtant, dans mon dernier billet, j’évoque un tas de bistros Loudéaciens qui me rappellent des souvenirs.. Y compris à Bicêtre.

A Loudéac

La Chope : je n’y vais qu’une fois ou deux par an, quand le 1880 est fermé. En fait, les deux bistros sont du même type, avec une clientèle similaire. Malheureusement, il est assez loin de la maison.

Le Café de la Gare : je suis allé une fois, récemment. L’avant-dernière fois que je suis venu en Bretagne, j’avais une soif terrible. Une faune particulière.

Le Colibri : j’y vais parfois. C’est souvent le seul bistro ouvert. Il a une très mauvaise image dans la bande mais est en fait très sympathique.

Le Cornouailles : j’y suis allé tous les vendredis pendant un an. Mais le patron est de droite et oublie son devoir de réserve quand il picole un peu trop. J’ai totalement cessé d’y aller.

Le Nelson : j’y suis allé une fois, avec des potes. C’est typiquement le bistro qui a une mauvaise image de marque mais le patron est très sympa. Ce soir là, nous étions arrivés là par hasard en voulant aller au Pub Notre Dame. Du genre : une bière pour la route. Mais on était resté plusieurs heures, tellement on était bien.

Le Pub Notre Dame : c’est le bistro un peu chic du coin, il fait bar de nuit. J’y vais plusieurs fois par an mais essentiellement quand les autres sont fermés.

Le Sabot : j’y suis allé le mois dernier. Je n’irai plus.

L'Epoque : des copains étaient très clients, à une époque, ce qui me poussait à y aller à l’occasion. Un soir, j’ai soufflé dans le ballon en rentrant. Rien de bien grave (600 francs, quand même…) mais j’y suis plus jamais retourné.

Les Routiers : le patron était souvent au 1880 (avant de se fâcher avec l’ancien patron). Du coup, on y allait parfois, quand le 1880 était fermé (la bande s’y retrouvait tous les lundis).

Au Kremlin-Bicêtre

Chez Pierre : il y a une dizaine d'année, des potes étaient copains avec le patron que j'aimais bien mais pas l'ambiance du bar. Etrange.

Le Brazza : c'est un immense restaurant, près de l'hôpital. On y allait déjeuner, parfois, le samedi, à une époque où la Comète était fermée et où je n'étais pas client de l'Amandine. Ca nous faisait quitter notre petit monde.


Le Jean-Bart : j'y vais de temps en temps quand je veux voir Marcel qui y va de temps en temps en cachette...

L'Espérance : j'y allais à l'occasion mais ça fait bien trois ans que je n'y ai pas mis les pieds. Je ne sais pas pour quoi.

Les Ambassadeurs : j'y trainais vers 1997 et 1998.

Le Marigny : c'est le premier bistro que j'ai connu à Bicêtre quand j'y ai habité, en 1996 (c'est le seul qui fermait un peu tard).

L'Oustalet : c'est le premier bistro que j'ai connu, à Bicêtre, en 1987. Le patron était originaire de la région de Loudéac. "On" m'a envoyé le voir quand je cherchais mon premier appartement. Ca fait plus de 15 ans que je ne suis pas retourné.

Le Théatre : assez proche de chez moi, j'y allais à une époque avec le gros Loïc, mais je n'aime pas du tout l'ambiance. Les clients semble squatter les tables et le comptoir pour jouer au PMU, beaucoup plus que dans d'autres PMU.
 

10 commentaires:

  1. Le café de la gare, il y a une gare à Loudéac ?

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  2. Merci pour cette revue précise des bars de Loudéac ! ça permet de faire le tri ! :o)

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  3. "mais pas l'ambiance du barre."

    Attention: ne plus savoir écrire "bar" me paraît rédhibitoire sur un blog "bistro".

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  4. Grossière erreur cher Nicolas.
    L'ancien patron de l'Oustalet n'a jamais été de la région de Loudéac, il est tunisien et est marié à une fille d'à côté de Loudéac, de Kergan en Saint Caradec plus précisément.
    C'est encore un de ces étrangers qui sont venus en Bretagne pour nous piquer notre travail (il travaillait dans l'aduction d'eau) et en plus celui là est reparti sur Paris avec une de nos copines (Marylise qui est de famille avec Yann B.).
    Chédli et sa charmante épouse habitent toujours Paris du côté de la prison de la Santé.

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    1. Ce n'est pas réellement une erreur : je sais d'où il vient. Je voulais simplement signaler que c'était un pote de Bernard Aubin, que ce dernier était pote de mon père et qu'ils m'ont envoyé, à 21 ans, quand je montais à la capitale, voir un gars du pays installé en région parisienne.

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    2. Toute personne qui épouse une bretonne est considéré comme breton, c'est ce que disait Imam

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