28 juillet 2013

Retard : une heure cinquante

Illustration : blogueur content d'être arrivé après un voyage de 6h30 au lieu de 4h40, mais épuisé et abattu par la chaleur. 


La SNCF est toujours aussi gonflée : elle a réussi à mettre le retard sur le dos de l'entreprise qui faisait des travaux à Laval. C'est de bonne guerre mais je vais reprendre les trajets en voiture... Bah ! On va être remboursés. 

A Montparnasse, ils distribuaient des bouteilles d'eau. Mais ce n'est pas de ça que j'avais envie. 

La SNCF est toujours aussi gonflée. Il se sont excusés à Montaparnasse pour une heure quarante de retard. On devait arriver à 18h22. On est arrivés à 20h13. 

Enfin. J'arrive à l'Aero. Le vieux Joël me dit qu'il a mal au poignet. Je lui dis : fais pas chier, tu as encore une crise de goutte. Ah non ! Me dit-il, c'est au pied que j'en fais.

Dix minutes après : ah ben je pense que tu as raison.

La vie continue. 

9 commentaires:

  1. J'ai cru que tu étais encore dans le train. Content de te voir rentré.

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  2. Ouf ! Alors Moscou c'était bien ?
    Bon, l'important est que vous n'ayez pas loupé un virage, déjà, hein.

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    1. Tu peux virer le commentaire si ça te fait pas marrer du tout.

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    2. Mais non ! En fait je n'arrive pas en retard à la maison mais au bistro.

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  3. Coucou Nico !!!
    Tu es enfin arrivé ! ouf !
    Ah !!! la SNCF ! Y'aurait trop à dire !!!!!!! ;o)
    BISES et bon début de semaine !

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    1. Ce commentaire a été supprimé par l'auteur.

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    2. Bab,

      Mets te commentaires au bon endroit !

      Nancy,

      Merci. Bonne semaine !

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  4. Je remets donc mon commentaire ici (il s'adressait effectivement à Nancy, et je n'envie pas les ouvriers de la SNCF)
    Il faut dire qu'avec tous ces arbres tombés (sur la ligne de Bordeaux c'était encore bien pire, paraît-il), la SNCF avait fort à faire. Je rappelle qu'à Nantes, un facteur a été foudroyé en pleine matinée samedi.

    " Enfants, voici les bœufs qui passent,
    Cachez vos rouges tabliers ! "

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